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Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
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"Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde.
Bonne visite à tous !
Et ce n’est pas fini puisque Ludovic Richer nous conte les mystères de l’Atlantide en se basant sur le récit platonicien, l’histoire et la mythologie antique. Quant à Didier Lafargue, c’est à travers L’Atlantide dans la littérature qu’il nous mène, un rêve qui s’affirme comme le miroir de l’âme humaine… Et Guy Williams nous dévoile L’Atlantide de Christia Sylf.
Vous aurez également le plaisir de retrouver Franck Ferrandis et ses Carnets de Tao sur Mu et les Atlantes. Pascal Cazottes avec cette énigmatique histoire de La Terre Creuse… Marie Roca qui prend le relais en nous conviant à réfléchir sur cette étrange question Notre Terre abrite-t-elle d’autres créatures en ses "creux" ?
Ensuite nous partons au Pérou avec Joss, qui nous expose son hypothèse sur ces fameuses grandes lignes de Nazca... puis nous continuons à explorer la civilisation précolombienne avec Evelyne Bijaye qui nous dévoile la Mystérieuse Chan Chan…
Et pour finir, Stéphane Royer nous parle de cet étrange lien entre l’Atlantide, le Triangle des Bermudes et les Ovnis… Sans oublier ma petite rubrique littéraire qui clôt cette magnifique et passionnante revue en vous proposant deux ouvrages à ne pas manquer sur ces mystérieux Atlantes…
Si vous êtes passionné par ces peuples qui nous ont précédés, n’hésitez pas à vous plonger dans cet exceptionnel numéro de 156 pages sur l’Atlantide et les civilisations disparues qui ont des choses à nous apprendre...
Petite info complémentaire :
Jusqu’au 8 février, profitez de 20% de réductions sur certains articles que vous pourrez retrouver dans la boutique en cliquant ICI
Et j’en profite également, pour les amateurs d’Histoire, que le nouveau livre de Pascal Cazottes, qui rend hommage aux Glorieux Soldats de La Grande Armée, est disponible sur le site de Génération Cités d'Or en vous rendantICI
Le Père Maximilien Kolbe est né à Zdunska Wola, près de Lodz en Pologne, en janvier 1894. Entré en 1907 au séminaire des Franciscains Conventuels, il fut envoyé à Rome pour y poursuivre ses études ecclésiastiques. Alors qu'il était encore étudiant, il fonda avec quelques frères la Mission de l’Immaculée. Ordonné prêtre en 1918 et revenu en Pologne, il commença son apostolat à l'aide d'une revue, Le Chevalier de l'Immaculée. En 1927, il fonda un "Couvent-Maison d'édition" en Pologne ainsi qu’au Japon. Il fut emprisonné pour la première fois en 1939 par les Allemands. Arrêté définitivement le 17 février 1941, il fut enfermé dans le camp d'Auschwitz où il fut tué par une injection de phénol le 14 août 1941. Son corps fut brûlé au four crématoire le lendemain, fête de l'Assomption. Il fut canonisé par le Pape Jean-Paul II le 10 octobre 1982.
Résumé de l'album illustré :
Fin juillet 1941 à Auschwitz, le franciscain Maximilien Kolbe fait le sacrifice suprême. Il offre sa vie en échange de celle d'un père de famille. Cette fin héroïque ne doit pas faire oublier ce que fut le reste de la vie de cet homme hors du commun : journaliste, créateur d'une gigantesque aventure de presse, missionnaire au Japon... la vie de Maximilien Kolbe fut d'une richesse stupéfiante pour un homme qui ne souhaitait que la pauvreté. Une vie au service de la Vierge Marie.
Fin juillet 1941, dans le camp de concentration d’Auschwitz, se déroule un tri sélectif suite à l’évasion d’un prisonnier. Dix malheureux sont choisis au gré du hasard pour être isolés dans un cachot sans eau ni nourriture, dont un père de famille qui supplie le capitaine Fritzsch de l’épargner.
Mais le choix est fait, jusqu’à ce qu’un autre prisonnier demande à prendre la place de cet homme. C’est Maximilien Kolbe prêtre catholique. À la stupéfaction générale, le capitaine accepte l’offre du prêtre.
Ces dix hommes se retrouvent dans le bloc 11, sans aucun vêtement. Dans la pénombre de ce cachot sordide, un dialogue s’instaure entre le Père Maximilien Kolbe et un homme qui a réussi, malgré la fouille, à garder sur lui un médaillon de la Vierge venant de la fondation que Maximilien Kolbe a créée.
Dans cette prison, face à la mort qui les attend, l’homme demande au Père Maximilien comment lui est venue l’idée de fonder cette Mission de l’Immaculée et le monastère de Niepokalanow situé en Pologne.
Le franciscain Maximilien lui dévoile son secret. Quand il n’avait qu’une dizaine d’années, il aimait se réfugier dans une petite église pour prier et c’est là, dans une lueur intense, que la Vierge Marie lui est apparue, sans un mot, avec juste deux couronnes, une blanche et une rouge, qu’elle tendit vers lui en l’invitant à choisir…
À partir de cet instant, la vie de Maximilien Kolbe fut profondément bouleversée. Plus tard, il prit également conscience de la force d’intercession de la Vierge en écoutant un témoignage qui l’amena à fonder la M.I, la Mission de l’Immaculée en distribuant, en guise de protection, la médaille miraculeuse de la rue du Bac.
Petit à petit, les hommes, prisonniers dans ce bunker de la faim, commencent à se nourrir des paroles de ce franciscain, au grand dam des soldats allemands qui n’en peuvent plus de les entendre chanter des cantiques.
Dans cet album illustré, c’est toute l’incroyable histoire de la vie de Maximilien Kolbe qui défile sous nos yeux, sa jeunesse, ses voyages, toutes ses oeuvres, dont la création d’une revue afin de toucher l’Esprit et le Coeur des êtres humains dans le monde.
C’est un témoignage magnifique, très touchant, rempli d’amour, de foi et de compassion. Un bien bel hommage que rend l’auteur pour ce prêtre canonisé par le pape Jean-Paul II en 1982.
À la fin de l’album se trouvent quelques photos représentant les différentes périodes de la vie de ce saint homme.
Pour aller plus loin :
Voici un bref résumé de la vie de Maximilien Kolbe dans lequel vous pourrez voir quelques-unes de ces photos, dont celle de François Gajowniczek (l'homme que Maximilien Kolbe a sauvé) avec le pape Jean-Paul II lors de la canonisation du prêtre.
Les jardins botaniques de Kew se trouvent à l’ouest de Londres, dans la ville de Richmond, et font partie des plus prestigieux au monde.
Ces fabuleux jardins ont été créés en 1759 et abritent une exceptionnelle collection botanique : 30 000 espèces de plantes, dans l’herbarium 7 000 000 de plantes préservées ; 750 000 ouvrages dans la bibliothèque et 175 000 dessins et documents graphiques. Ces jardins occupent une superficie de 125 hectares.
Le botaniste Carlos Magdalena est responsable de la nurserie tropicale où il s’évertue à protéger les espèces les plus rares.
Quand le petit train touristique sillonne les jardins de Kew, un drôle de spectacle se joue parfois devant les serres tropicales. Il arrive que Carlos Magdalena y accueille personnellement les visiteurs venus admirer le lieu où ce botaniste espagnol bichonne 7 000 espèces de plantes et de fleurs.
Invariablement, ses collègues jardiniers se prosternent alors devant lui comme s'il était un dieu vivant ! La blague est née en 2010 quand un journal ibérique a écrit un article sur lui en le surnommant « Le messie des plantes ».
C'est que l'horticulteur s'est fait une spécialité de rapporter de ses expéditions à travers le globe les espèces les plus rares. Du désert péruvien au bush australien en passant par les méandres de l'Amazone…
Carlos Magdalena parcourt le monde pour observer les plantes dans leur habitat et prélever les graines, fleurs ou fruits nécessaires à leur conservation.
De ses expéditions dangereuses, il revient les carnets griffonnés d'idées de protocoles de sauvegarde et le sac plein de spécimens végétaux.
Sous les serres de Kew Gardens s'épanouissent aujourd'hui des spécimens aux fleurs roses, bleues, blanches ou violettes...
À l’extérieur, une passerelle unique en son genre, haute de 18 mètres et longue de 200 mètres, pour avoir une vue imprenable sur la canopée.
Dans son livre, Carlos Magdalena raconte comment il a confectionné à Kew Gardens une sorte "d'Arche de Noé" pour ces végétaux dont la survie est menacée.
Pour observer la reproduction des nénuphars géants, il a longé le fleuve Amazone où vivent des chauves-souris mangeuses de poissons et les fameux capybaras, les plus grands rongeurs du monde qui ressemblent à des cochons d'Inde géants.
Ses pas l'ont aussi porté dans la jungle la plus haute de la planète à Bornéo pour y trouver des orchidées uniques au monde.
Celui que l’on surnomme le "Messie des plantes" souhaite que tout un chacun prenne conscience de leur importance.
«Les Kew Gardens sont connus partout. Dès que quelqu’un repère une plante qu’il ne connaît pas, il nous le fait savoir et on se déplace», explique-t-il. Ses équipes font aussi de la sensibilisation auprès des populations locales.
Carlos Magdalena souhaite aujourd’hui que chacun, un par un, prenne la relève:
«Reverdissons le monde et plantons un avenir.»
Pour aller plus loin :
Voici une petite visite guidée de ces splendides jardins !
Claire Barré est romancière (Ceci est mon sexe, Hugo&Cie, 2014, Pourquoi je n’ai pas écrit de film sur Sitting Bull, Robert Laffont, 2017) et scénariste, notamment d’Un monde plus grand de Fabienne Berthaud. Claire Barré s’est ouverte à la spiritualité et au chamanisme en 2014, suite à une apparition du chef Sitting Bull. Sa vie en a été bouleversée.
Ernie LaPointe est l'arrière-petit-fils de Sitting Bull, chef de tribu des Lakotas (Sioux). Ernie LaPointe est porte parole de la culture amérindienne qu’il fait vivre à travers le monde. Il est également le président et fondateur de la Sitting Bull Family Foundation. Dans son ouvrage Sitting Bull, sa vie, son héritage, il nous transmet le récit familial de la vie et la mort du célèbre chef indien. Actuellement Ernie LaPointe réside à Rapid City, dans le Dakota du Sud, avec son épouse Sonja.
Résumé du livre :
Né en 1948, élevé et instruit par sa mère, femme médecine dans la Réserve de Pine Ridge, Ernie se retrouve orphelin à dix-sept ans. Il s'engage alors dans l'armée et perd sa foi dans l'enfer du Vietnam. Souffrant de stress post-traumatique, sans domicile fixe, alcoolique, il vit des années d'errance. Après avoir traversé cette nuit de l'âme, il en appelle à Wakan Tanka, le Grand Mystère, et le défie de lui porter assistance. Une aide lui est donnée, et Ernie, guidé par des hommes médecines, commence alors une nouvelle vie : celle des retrouvailles avec les pratiques spirituelles de ses ancêtres. Il devient Sun Dancer, comme son arrière-grand-père avant lui, retrouve le chemin de la Chanupa, la Pipe sacrée, et reçoit des visions du futur qu'il partage dans ce récit. Alors que le réchauffement climatique et les menaces d'effondrement pèsent sur l'humanité, Ernie LaPointe partage des enseignements qui pourraient nous aider à nous éveiller et à quitter les territoires de la peur pour affronter, ensemble, l'avenir qui se prépare.
« Je m’appelle Ernie LaPointe, mais mon nom lakota est Kangi Sie, ce qui signifie : Crowfoot (Patte de Corneille). Je suis l’arrière-petit-fils de Tatanka lyotake, ce grand holy man lakota que vous connaissez sous le nom de Sitting Bull. »
Après avoir vu apparaître le visage de ce fameux chef Sitting Bull flotter devant elle, Claire Barré a entrepris des recherches afin de comprendre ce qui lui arrivait. Cette incroyable aventure la conduite à rencontrer Ernie LaPointe, afin de lui raconter l’intrusion de son ancêtre dans son champ de vision (1).
Ernie n’a pas été surpris par cette apparition puisque, pour lui, pour sa culture, la communication avec les esprits des morts est une chose naturelle. Après plusieurs interviews et rencontres avec Ernie LaPointe, Claire Barré décide de mettre par écrits les différents épisodes de sa vie, son parcours de résilience afin de mettre en lumière l’histoire américaine du point de vue d’un Natif.
Quand Ernie était petit, sa mère lui a confié : « Ta vie est pareille à un voyage. Un jour, elle s’arrêtera, et tu pourras alors rejoindre le Monde des Esprits. Mais, avant ce retour vers les terres de tes ancêtres, j’espère que tu auras la chance de voir tes quatre visages : ton visage d’enfant, ton visage de jeune homme, ton visage d’homme et ton visage de vieil homme. »
C’est ce que nous propose Ernie dans ce livre, de revisiter avec lui les quatre visages de sa vie, ses pratiques spirituelles qui lui ont été transmises par un Heyoka (homme médecine relié aux esprits du tonnerre et des éclairs), ses enseignements et visions qu’ils lui sont apparus au fil des années.
En lisant ce témoignage, j’avais l’impression d’entendre Ernie, de voir défiler sa vie si bien racontée, de le suivre sur les pas de son enfance, d’être attentive quand sa mère lui transmet les quatre piliers fondamentaux de la culture Lakota, de rire avec lui, de partager ses souffrances tellement ses années d’errance après la guerre du Vietnam l’ont plongée dans le désarroi le plus total.
N’arrivant pas à gérer les effets de ce stress post-traumatique qui le plonge dans l’alcool, dans cette nuitnoire de l’âme où il n’y plus la moindre lueur d’espoir, Ernie décide de s’en remettre à Wanka Tanka, Le Grand Mystère, en lui demandant un signe, en lui lançant un défi auquel, contre toute attente, Wanka Tanka va y répondre...
C’est le début d’une renaissance, d’une reconnexion à sa culture « C’était comme si je me souvenais, au fur et à mesure, de tous les rituels. »
À partir de ce jour, Ernie entame un chemin de guérison qui va l’amener à rencontrer des hommes médecines, à participer à des cérémonies, à devenir un Pipe Carrier (Porteur de Pipe sacrée) avec sa Chanupa afin d’accueillir les esprits, les visions du futur qui se présentent à lui et suivre, comme son arrière-grand-père Sitting Bull, la voie spirituelle des Sun Dancers.
Dans la dernière partie de l’ouvrage, Ernie LaPointe partage ses pensées sur le monde moderne, ses visions du futur afin de tenter de nous éveiller sur ce qui est réellement en train de se passer, qu’il est grand temps de changer, de modifier notre façon de vivre afin de sortir de ce cycle infernal dicté par cette société de consommation qui détruit notre Terre et tous les êtres qui la peuplent.
« Nous devons nous éveiller de notre sommeil, redécouvrir la nature de notre âme et retrouver sa mission, la raison pour laquelle elle est venue sur cette terre. Il s’agit de partir à la rencontre de son cœur, de son esprit et de son âme, de comprendre ce qu’ils souhaitent. »
Et surtout, de quitter ce dôme de la peur qui nous empêche d’avancer, de croire en nous, en nos capacités, car « C’est à toi d’agir, à toi de créer ta vie. »
Pour aller plus loin :
L’ouvrage Sun Dancer - Sagesse et visions d’un Natif américain présenté par Claire Barré qui a recueilli les récits oraux de son ami Ernie LaPointe.
Pour aller encore plus loin :
Argent, travail, réussite... Oubliez tout ça et écoutez la leçon de spiritualité d'Ernie LaPointe. Alors que la crise écologique menace, l'arrière-petit-fils du chef sioux Sitting Bull nous conseille de prendre du recul sur les attributs valorisés par la société.
Dans une autre petite vidéo, Ernie La Pointe nous éclaire sur la mort dans la culture Lakota...
Claude François, surnommé Cloclo, a été l’un des plus grands artistes français. Sa carrière fut couronnée de succès. Malheureusement, le 11 mars 1978 à 16 heures, la France est sous le choc en apprenant la triste nouvelle : Claude François est mort électrocuté dans sa baignoire en voulant redresser une applique électrique.
Ce que l’on sait moins, c’est qu’un mois avant son décès, Claude François voit apparaître au pied de son lit une étrange femme habillée en blanc.
Effrayé par cette silhouette blanche qui le fixe du regard, Claude, ne sachant plus quoi faire, décide de se confier à sa soeur Josette. Cette dernière lui conseille de mettre une petite bouteille d’eau bénite sur sa table de nuit en guise de protection.
Claude François s’exécute. Quelques jours après,il est soulagé en disant à sa soeur qu’il n’a plus aucune vision. Mais la semaine d’après, Claude François est retrouvé mort dans sa baignoire...
À son enterrement, Kathalyn, sa dernière compagne, a tenu à déposer sur le cercueil de Claude François la petite bouteille d’eau bénite .
En découvrant cette histoire racontée par sa soeur Josette dans la vidéo ci-dessous, cela m’a fait repenser au livre des Dames blanches de Stéphanie Del Regno dans lequel elle nous conte ces étranges apparitions fantomatiques au chevet des mourants.
Ces Dames blanches que l’on surnomme les messagères dont leur rôle est d'annoncer l'arrivée prochaine d’une naissance ou d’une mort à la personne concernée. Comme ce fut le cas, la veille de leur trépas, pour l’empereur Charles Quint, le Prince Louis-Ferdinand de Prusse et bien d’autres…