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Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
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"Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde.
Bonne visite à tous !
Guérisseurs, Coupeurs de feu, Leveurs, Signeurs ou Panseurs de secret… Depuis des siècles, ils soulagent la douleur et de nombreuses personnes font toujours appel à eux. Et même les hôpitaux recommandent parfois le recours à ce type de soins !
À travers les témoignages de plusieurs "Panseurs de secret" et des images de leur quotidien, le film nous fait découvrir avec l’aide d’intervenants scientifiques, leurs différentes facettes : leur lignage, leur importance dans le tissu humain des communautés rurales, l’évolution de leur statut à travers leurs migrations urbaines. Les panseurs nous livrent ici leurs formules et nos intervenants en décryptent le sens, les croyances associées et les racines culturelles.
Le film donne un ensemble d’explications sur les différentes pratiques des panseurs. Par des expériences effectuées et reconnues par le milieu scientifique, il apporte les éléments de réponse disponibles à ce jour sur la pratique millénaire des "Panseurs de secret".
Des traditions ancestrales aux neurosciences, partez à la découverte de la plus méconnue des figures de la culture populaire de l’hexagone...
"Panseurs de secret" - Un film écrit et réalisé par Philippe Rouquier qui a été rediffusé lundi 14 janvier 2019 sur France 3 Bourgogne Franche-Comté. Une coproduction France 3 Bourgogne-Franche-Comté et Cosmopolitis Productions.
Si vous désirez commander le DVD accompagné de son livret de 24 pages, cliquez ICI
« Des gens discrets qu’on trouve lorsqu’on va les chercher
et qui se font oublier le reste du temps… »
Marcel Proust
Jocelin Morisson est journaliste scientifique depuis plus de 20 ans et a collaboré à de nombreuses revues et magazines (Inexploré, Nexus, Le Monde des religions, Nouvelles Clés, La Vie, VSD hors série). Il est également auteur et coauteur de plusieurs ouvrages sur le thème des états modifiés de conscience et de la parapsychologie scientifique.
Résumé du livre :
L'humanité sombre-t-elle dans une folie collective ? Le monde est-il promis au chaos ou faut-il seulement se résigner à un clivage toujours grandissant entre ceux qui profiteront demain d'un prétendu « progrès » - robotisé et déshumanisant - et les laissés-pour-compte ? Inverser cette tendance mortifère exige des lumières nouvelles, qui transforment cette « crise du sens » en opportunité. Les clés se trouvent dans la nature humaine elle-même et dans l'émergence déjà sensible d'une spiritualité à la fois révolutionnaire, laïque et rationnelle. Dimension essentielle de l'existence, mais aussi subjective et mal cernée, la spiritualité ne s'oppose plus désormais à la science ni à la raison. En se confrontant à l'énigme de la conscience et de la réalité, la science redécouvre en effet le cœur d'enseignements spirituels largement dévoyés au fil des siècles par les jeux de pouvoir et de domination. Il en ressort que nous sommes reliés aux autres et à la nature par des liens invisibles mais ô combien réels et puissants.
Voilà un ouvrage qui arrive à point nommé ! Je l’avais déjà depuis un moment sous le coude puisque c’est lors du Colloque au mois de mars 2018 sur "La Conscience et l’Invisible", qui s’est déroulé à Toulouse, que j’ai eu le plaisir de le faire dédicacer par son auteur. Mais depuis, je ne sais pas pourquoi, quelque chose en moi ne se décidait pas à l’ouvrir et aujourd’hui, avec tous les évènements qui se déroulent actuellement, j’ai compris…
Dans ce livre, Jocelin Morisson nous livre une synthèse de toutes ses années de rencontres, d’enquêtes et d’explorations qui l’ont amené à effectuer ce magistral travail d’analyse et de réflexion de notre société autour de divers sujets qui vont des dérives de la finance à l’émergence d’une spiritualité laïque.
En réunifiant la science, la philosophie et la spiritualité, c’est une nouvelle compréhension de l’humain qui pourrait émerger et se transcender. En redécouvrant notre nature profonde qui n’est pas d’être individualiste, compétitif, ni culturelle, mais celle qui nous définit avant tout en tant qu’être humain interdépendant en lien avec le vivant, dans toutes ces dimensions visibles ou invisibles, c’est une tout autre réalité qui se révélerait que celle réductionniste et déformée de nous-mêmes dans laquelle nous nous enfermons, étouffons…
Car en réalité, il n’y a qu’une seule crise, c’est celle du sens, et elle est fondamentalement spirituelle.
Heureusement qu'un sursaut éthique, une nouvelle compréhension de l’humain et de l’humanité commence à se faire ressentir universellement ! Alors, osons, faisons l’expérience de qui nous sommes vraiment en (re)devenant cet être véritable afin que tous ensemble nous puissions construire un monde plus harmonieux et plus aimant, le monde de demain.
Pour aller plus loin :
Petite présentation du livre L'Ultime Convergence - Quelle spiritualité pour éviter le chaos ? par Jocelin Morisson
Pour aller encore plus loin :
Interview de Jocelin Morisson sur son livre L'Ultime Convergence - Quelle spiritualité pour éviter le chaos ? lors du Colloque "La Conscience Sans Limites : une voie pour explorer l'univers" qui s’est déroulé à Lyon le 24 novembre 2018.
Cet objet en forme de cigare venu d'au-delà du système solaire alimente les études depuis plus d'un an et personne n'a encore totalement écarté la folle hypothèse d'un engin artificiel.
"Oumuamua" signifie messager en langue hawaïenne a été découvert le 19 octobre 2017 avec le télescope Pan-STARRS1 situé à Hawaii qui traque les objets croisant la Terre.
Ce n'est pas l'hypothèse la plus plausible, et personne ne prétend le contraire. Mais l'arrivée d'un objet spatial en forme de long cigare en provenance de l'espace intersidéral n'a pas manqué d'intriguer la communauté scientifique et le grand public. Et aujourd'hui encore, certains n'excluent pas totalement la possibilité qu'il puisse s'agir d'un engin construit par des extraterrestres.
Oumuamua, c'est son nom, est un objet rouge sombre, en apparence rocheux, d'environ 400 mètres de long, une dizaine de fois plus long que large, tournant sur lui-même.
Lorsqu'il a été détecté, on a aussitôt pensé à une classe d'objets célestes, envisagés par la théorie mais qui n'avaient encore jamais été observés : les astéroïdes interstellaires. Il s'agit d'astéroïdes comme les autres, ou presque, des blocs composés de mélanges de roches formés dès l'origine d'un système solaire, mais nés autour d'une autre étoile avant de s'en éloigner et de traverser l'espace intersidéral. Venu d'ailleurs, Oumuamua a ainsi traversé notre système solaire avant de repartir loin, très loin de nous.
Une comète ? oui mais...
Mais cataloguer Oumuamua n'est pas si facile, et encore aujourd'hui il est un casse-tête pour les spécialistes. Car l'hypothèse astéroïde a pris rapidement du plomb dans l'aile : Oumuamua a accéléré lors de sa sortie du système solaire, alors que la force gravitationnelle du soleil aurait dû au contraire le ralentir.
Les astronomes ont alors pensé qu'il pouvait s'agir d'une comète et non d'un astéroïde. Les comètes contiennent en effet des gaz gelés qui se réchauffent aux rayons du soleil, et finissent par se dégager en jets susceptibles de jouer un rôle de propulseur, un phénomène connu sous le nom de "dégazage" et qui explique la fameuse queue des comètes.
En observant les données collectées lors du passage d'Oumuamua, les scientifiques ont cependant remarqué qu'il manquait un élément essentiel pour qu'il s'agisse d'une comète. Si elle avait dégazé, où étaient les gaz ? Ni queue ni halo n'ont été observés autour d'Oumuamua. De plus, une étude récente de Roman Rafikov, un astrophysicien de l'université de Cambridge, montre que les forces qui auraient dû le faire accélérer et produire une queue, s'il s'agissait d'une comète, l'auraient brisée en morceaux.
On revenait donc à la case départ : un objet inconnu.
Dans un autre article publié le même jour sur CNews les chercheurs du Harvard Smithsonian for Astrophysics estiment pour leur part que l'objet, 10 fois plus long que large, de couleur rouge et noir et se déplaçant à 315 431 km/h, pourrait être « d'origine artificielle ».
« Oumuama pourrait être la première sonde opérationnelle envoyée intentionnellement vers la Terre par une civilisation extra-terrestre », écrivent les chercheurs dans un article rapporté par CNN.
Ces derniers estiment aussi que l'Oumuamua pourrait être une « voile solaire » comparable à celle fabriquée sur notre Terre, et qui permet aux vaisseaux spatiaux de se déplacer grâce à la radiation émise par les étoiles. Les chercheurs pensent que le fait que l'objet se déplace à haute vitesse et sur une trajectoire inhabituelle pourrait signifier qu'il n'est plus en service.
« Oumuamua est le premier objet jamais vu dans notre système solaire que l'on sait provenir d'autre part », écrivent également les scientifiques.
Et cette semaine, dans Paris Match l’article de David Ramasseul relate que l’astrophysicien Avi Loeb, dans une interview donnée au journal israélien Al Haaretz, explique pourquoi il estime que l’étrange astéroïde Oumuamua pourrait être un vaisseau d’origine extraterrestre.
Avi Loeb, chair of Harvard’s Astronomy Department, pictured The Harvard Gazette
« Je me moque de ce que pensent les gens » : Avi Loeb, directeur du département d’astronomie de l’université de Harvard n’a pas la langue dans sa poche. Ni les idées : dans un article publié par The Astrophysical Journal Letters, revue de référence de la discipline, Avi Loeb émet l’hypothèse que l’astéroïde Oumuamua, premier objet observé dans notre Système solaire sans en être originaire, pourrait avoir été fabriqué par une civilisation extraterrestre. (« Si j'ai raison, c'est l'une des plus grandes découvertes de l'Histoire »La suite de l'article sur Paris Match)
Trouver des objets ressemblant à Oumuamua, que l'on puisse analyser de plus près, nous apporterait des réponses sur la nature du premier objet interstellaire jamais détecté par l'humanité. Même si le mystère plane encore autour d’Oumuamua, ce visiteur venu d’ailleurs mérite bien sa place dans l'histoire des sciences comme l’explique si bien l’astrobiologiste Karen J. Meech de l’Institut d’astronomie de l’Université d’Hawaï dans cette vidéo.
« Je pense que “Oumuamua” a beaucoup d’autres choses à nous apprendre […]. Plus important encore, je pense que ce lointain visiteur a vraiment confirmé le fait que notre système solaire n’est pas isolé. Nous faisons partie d’un milieu bien plus grand et, en effet, nous pourrions bien être entourés de visiteurs interstellaires sans même le savoir. Ce cadeau inattendu a peut-être soulevé plus de questions qu’il n’a apporté de réponses, mais nous avons été les premiers à saluer un visiteur d’un autre système solaire. » Karen J. Meech
Pour aller encore plus loin :
Découvrez également la toute dernière interview de l’astrophysicien Ari Loeb. En voici un extrait :
Pourquoi vous intéressez-vous à la recherche d’une intelligence extraterrestre ?
« Je pense que la question « sommes-nous seuls ? » est la plus fondamentale de la science, car elle a d’importantes implications sur la manière dont nous voyons notre place au sein de l’univers. Si nous trouvons la preuve de l’existence d’une autre civilisation, nous réaliserons peut-être que nous ne sommes pas les plus intelligents du quartier, et qu’il existe des technologies plus avancées que les nôtres, parce d’autres ont eu plus de temps pour les inventer. »
Pour retrouver la suite de cet entretien, cliquez ICI
Philippe Baudouin est philosophe et chargé de réalisation à France Culture (Radio France). Il a notamment dirigé et préfacé la réédition du texte de Thomas Edison, Le Royaume de l’Au-delà chez Jérôme Millon en 2015 et est également l’auteur du livre Les Forces de l’ordre de l’invisible aux éditions Le Murmure en 2016.
Résumé du livre :
Et si, après avoir déposé ses 1093 brevets dont la lampe à incandescence, la pile alcaline, la chaise électrique ou le phonographe sont quelques-unes des inventions les plus marquantes, Thomas Edison (1847-1931) était parvenu à mettre au point une machine pour communiquer avec les morts ? Si le nom de Thomas Edison est communément associé à de nombreuses prouesses techniques, il en va tout autrement de ses recherches psychiques. Alors que la plupart de ses biographes ont exploré les moindres détails de son œuvre, ils restent toutefois silencieux sur les expérimentations que mena pourtant Edison, durant les dix dernières années de sa vie, autour des phénomènes spirites. Quel fut au juste son projet inachevé de "nécrophone" ? Que parvint-il à entendre ? Longtemps oublié et méconnu, Le Royaume de l'au-delà est l'unique texte de Thomas A. Edison à rendre compte de ses recherches sur l'occulte.
On connaît plus Thomas Edison pour ses diverses inventions, en revanche, ce que certains écrits ont oublié de mentionner, ce sont les expérimentations spirites que Thomas Edison a menées durant les dix dernières années de sa vie en tentant de mettre sur pied un appareil pour communiquer avec les morts, baptisé par Philippe Baudouin la machine "nécrophonique".
C’est en 1920 que Thomas Edison ose faire une déclaration à la presse sur l’idée d’amplifier des voix qui pourrait venir d’outre-tombe sur la base de son invention le phonographe.
Le 15 janvier 1921, la revue illustrée "Je sais tout", publie une traduction française de cet entretien où il s’amuse à écrire que « si l’appareil que je construis pouvait être un canal, entrant à flots dans le monde inconnu, nous aurions fait un grand pas vers l’Intelligence suprême »
"Un des plus récents portraits du savant américain Edison, l’inventeur du phonographe, dont les récentes recherches pour parler aux morts font grand bruit en Amérique". Je sais tout n°181, 15 janvier 1921, pp. 77-78
Edison mourut en 1931 et cet attrait pour le spiritisme a été découvert dans le dernier chapitre de ses mémoires publiées intégralement en 1948 où il relate ses interrogations sur ce monde invisible. Toutefois, lors des réimpressions suivantes, ce fameux chapitre intitulé « Le Royaume de l’Au-delà » se voit censuré…
Même si aucun prototype de la machine n’a jamais été mis à jour, ce n’est que 30 ans après sa mort qu’une revue en publia un croquis que l’on peut redécouvrir dans ce livre.
Pour l’anecdote, quelque temps après son décès, Mme Edison a raconté qu’avec son collaborateur William Walter Dinwiddie, son mari avait conclu un "pacte électrique" en se promettant que si l’un des deux viendrait à mourir, de faire signe à l’autre par le biais de... la machine.
J'ai cherché à construire un appareil scientifique, permettant aux morts, si la chose est possible, d'entrer en relation avec nous. Si ce que nous appelons "personnalité" subsiste après la mort, si les êtres qui ont dépouillé la forme humaine ne peuvent agir et se mouvoir, ils communiqueront, du moins avec ceux qu'ils ont laissés ici-bas, grâce à mon appareil qui leur donnera cette possibilité "d'agir".
De cette invention, il ne reste plus que les notes de Thomas Edison que je vous invite à découvrir à travers cet étonnant ouvrage dans lequel Edison expose sa théorie personnelle sur « Le Royaume de L’Au-delà », précédée par l’introduction de Philippe Baudouin qui nous éclaire un peu plus sur le contexte historique de ces Machines nécrophoniques.
Pour aller plus loin :
Les machines à communiquer avec les morts - Retour sur l'invention du nécrophone, cette machine à communiquer avec les morts qui intéressait beaucoup l'inventeur américain Thomas Edison.
Pour aller encore plus loin :
En cliquant sur le PDF ci-dessous, à partir de la page 7, vous pourrez voir quelques anciennes illustrations du fameux "nécrophone" d’Edison extraites des revues de l’époque.
Ce livre est dédié à tous ceux qui, par les mots, par l’image, ou par les voyages, recherchent la formule du bonheur, guettent une autre vie, font un pas toujours plus léger sur le chemin du voyage intérieur…
Des photos réconfortantes et gaies adossées à de superbes citations cueillies au gré des lectures d’un passionné de littérature. Un récit de voyage plein d’humanité.
Mais être, être est bonheur.
Être : se transformer en fontaine,
vasque de pierre dans laquelle l’univers descend comme une pluie tiède.
Milan Kundera
Éclats de joie - Alexandre Sattler et Stéphanie Machto
Alexandre court le monde un micro à la main et l’œil aux aguets, toujours en quête de beauté. Et dans sa course, il cueille avec jubilation des sourires complices et des éclats de rire… Stéphanie tisse des mots avec une infinie délicatesse et, sous ses doigts de magicienne, chaque image prend plus d’éclat encore… Rencontre au sommet… de la joie.
Éclat d’un œil, éclat de voix,
Éclat de rire, éclat de joie,
Le bonheur chasse la souffrance
Et fait le nid de l’innocence.
Par la seule force d’un sourire
On peut rebâtir un empire,
Par la seule force de l’amour
Notre vie gagne jour après jour.
Au premier matin du monde - Fondation IRIS - Stéphanie Ledoux
À bord de bateaux traditionnels indonésiens, les expéditions emmenées par la Fondation Iris ont sillonné les lieux les plus secrets de la Papouasie occidentale et des Petites îles de la Sonde. Cet ouvrage témoigne de la beauté singulière et de l'incroyable biodiversité qui règnent encore dans cet univers préservé mais en péril.
Chaque expérience de beauté
rappelle un paradis perdu et
nous restitue chaque fois
la fraîcheur du premier matin du monde.
François Cheng