Ce qu'il faut avant tout savoir :
Le Dr Jean-Jacques Charbonier, anesthésiste-réanimateur, étudie en toute indépendance les états de conscience modifiés et les expériences de mort provisoire depuis plus de vingt ans. Auteur de plusieurs publications dont Les 7 Bonnes Raisons de croire en l'au-delà, La Mort expliquée aux enfants ou encore La Conscience intuitive extraneuronale, il donne de nombreuses conférences en France et à l'étranger et est régulièrement invité dans les émissions de radio et de télévision.
Résumé du livre :
Aussi incroyable que cela puisse paraître, il nous est désormais possible de rentrer en contact avec nos défunts en étant placé sous hypnose. Cette expérience inédite est d’un puissant réconfort quand on est dans la douleur d’un deuil ou angoissé par la mort. Dans ce nouvel ouvrage, le Dr Jean-Jacques Charbonier nous présente les résultats d’une étude sur plus d’un millier de personnes qu’il a lui-même placées sous hypnose. Les ateliers de Trans Communication Hypnotique (TCH) qu’il propose ne désemplissent pas et connaissent un succès sans précédent. Ce livre est l’histoire de cette aventure hors du commun et présente les différents témoignages de celles et ceux qui ont participé à ces voyages si particuliers.
Dans ce livre, préfacé par le Dr Mario Beauregard, chercheur en neuroscience, Jean-Jacques Charbonier nous explique dans quelle circonstance il en est venu à expérimenter la communication induite avec les défunts par le biais de l’hypnose.
À l’automne 2013, devant se rendre au Canada pour donner des conférences afin d’y expliquer cette dissociation de la conscience analytique cérébrale (CAC) et de la conscience intuitive extraneuronale (CIE) présentée dans son ouvrage « Les 3 clés pour convaincre les pires épreuves de la vie », son éditeur Guy Trédaniel lui suggéra de proposer également un atelier afin de les faire participer, comme c’est de coutume là-bas avec les "workshops".
Réfléchissant à cette proposition, c’est par un incroyable concours de circonstances que l’hypnose s’est révélée à lui, et pour un médecin anesthésiste ce fut une bonne occasion de se former aux méthodes d’hypnose déjà employées par ses confrères.
Après avoir mis en place un procédé s’adaptant aux ateliers afin de connecter les futurs participants aux images archétypales de l’au-delà, rencontrées par les expérienceurs lors de leurs expériences de mort provisoire, il ne restait plus qu’à tester la Trans Communication Hypnotique (TCH).
Les premiers essais ont commencé à Montréal. Suite aux témoignages des participants qui pensèrent avoir reçu un contact avec des défunts et qui ont ressenti par la suite un réel apaisement face au deuil, cela encouragea Jean-Jacques Charbonier à persévérer dans cette voie afin de vérifier la reproductibilité de ces vécus subjectifs sous hypnose.
À ce jour, et sous l’égide de Marc Leval d’ABC Talk, ces ateliers ne désemplissent pas et des centaines de témoignages émanant de divers milieux et cultures ont pu constater l’efficacité de la TCH. Devant un tel engouement, Jean-Charles Chabot, fondateur de l’Institut International d’Hypnose Spirituelle (IIHS) a désormais pris le relais au Canada.
Dans l’attente d’une accréditation médicale, Jean-Jacques Charbonier, par le biais de l’IRCCIE (Institut de Recherche et de Communication sur la Conscience Intuitive Extraneuronale) qu’il a fondé dernièrement, propose à d’autres médecins, hypnologues et personnels soignants de se former à la TCH.
Cette thérapie pour le deuil, même si elle se différencie, n’est pas sans rappeler celle des deux médecins américains : le psychiatre Brian Weiss, spécialiste de la thérapie sous hypnose, qui dans son ouvrage intitulé « Nos vies antérieures, une thérapie pour demain » révélait également ce processus curatif :
« D’aucuns jugeront que des retrouvailles de ce genre ne sont pas autre chose qu’un produit de l’imagination et une façon de prendre ses désirs pour des réalités. Mais ni l’un ni l’autre ne peut exercer le puissant effet salvateur constaté lorsque le sujet reprend conscience de la nature éternelle de l’âme et des liens qui l’unissent à ses proches maintenant disparus. […] »
Et surtout celle du Dr Allan Botkin, psychologue clinique, qui a découvert la CIAM (Communication Induite Après la Mort), lors d’une séance d’EMDR, et qui a été décontenancé de voir ses patients, la plupart des anciens combattants, se sortir d’un profond traumatisme, souvent lié au deuil, grâce à cette technique qui leur ont permis de rentrer en communication avec les défunts :
« Durant les quelques années qui ont suivi, j’ai été en mesure d’induire cette expérience avec 98 % de fiabilité en suivant à la lettre cette séquence ; à chaque fois, j’étais stupéfait de constater que cela fonctionnait. Quoiqu’il se passât, quelle qu’en fût la source, cette procédure résolvait le chagrin et le sentiment de perte traumatisant de mes patients. Le plus souvent, ils repartaient joyeux. […]
La thérapie de la CIAM est efficace. Elle guérit les patients. Elle apporte une confiance et une force intérieure qui font durer la guérison. Que demander de plus ? Si la recherche soutient ces découvertes cliniques, j’estime qu’il serait contraire à l’éthique qu’un psychothérapeute ne se serve pas de la thérapie de la CIAM pour aider les personnes endeuillées. […] »
Tout ceci démontre bien que quand on arrive à mettre en veille notre conscience analytique, on peut tous vivre des choses incroyables, jusqu’à franchir une frontière qui nous semblait impossible, sauf bien sûr, pour certaines personnes.
Pour aller plus loin :
"Dans ce "Facebook Live", vous pouvez entendre l'histoire de la TCH, la nouvelle technique de transcommunication hypnotique. C'est technique de communication avec les défunts qui se révèle être beaucoup plus que cela. Venez découvrir les types d'expériences qui sont vécus par les TCHistes !" Jean-Charles Chabot
- Sa page Facebook et son compte perso
- Le site de sa fondation IRCCIE (Institut de Recherche et de Communication sur la Conscience Intuitive Extraneuronale
Dernières minutes :
Quelques heures après avoir posté mon article, voici ce que Jean-Jacques Charbonier en a pensé :