Éditions Publibook, 2006, 354 pages.
Tandis qu'Alicia Geschkalaï et Théa Strauss apprennent à se connaître, Laurine, depuis ses récentes découvertes, s'inquiète en ce demandant qui est réellement Théa, qu’elles sont ses intentions, qui se cache derrière ce visage aux traits torturés et assoiffés de vengeances et pourquoi reste t’elle évasive sur un passé que les filles devinent confusément terrible et particulièrement dangereux ?
À force de chercher des réponses à ses questions, Laurine, avec l’aide de sa sœur Rachel, parvient à rassembler les pièces d’un puzzle morbide et effrayant qui va révéler à son amie Alicia qu’elle est la fille d’un monstre et d’un criminel de la pire espèce. Mais à force de fouiller dans le passé, elles vont devenir la cible d’une étrange machination où la vérité, sur la belle Elaura et celle des héritiers fous du troisième Reich, risque d’éclater au grand jour.
Comparativement au premier, dans ce second tome, la plume de l’auteur a évolué, a pris de l’assurance, apportant ainsi de la maturité à ses personnages.
Plus j’avance dans cette trilogie et plus je me demande comment tout ceci va se terminer, même si je commence à avoir ma petite idée là-dessus, mais méfiance, car des rebondissements de dernières minutes peuvent encore me surprendre…
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