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  • : Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
  • Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
  • : "Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde. Bonne visite à tous !
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1 novembre 2008 6 01 /11 /novembre /2008 00:03

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29 octobre 2008 3 29 /10 /octobre /2008 00:19




















Éditions Philippe Rey, 2007, 489 pages.
Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Claude Seban.



Le jour de la fête des Mères, Nikki, jeune journaliste rebelle et célibataire, se rend chez sa mère qui vit seule depuis la mort de son père.

Dans une ambiance feutrée, on y découvre Gwen Eaton, une mère optimiste à toute épreuve qui ne vit que pour sa famille et les autres, comme ces quasi-inconnus rencontrés dans la semaine qu’elle a conviés à sa petite fête. Une mère trop lisse trop parfaite aux yeux de Nikki qui mène une vie indépendante avec un homme marié, ce qui a le don de consterner sa mère qui souhaiterait qu’elle ressemble davantage à sa prévisible et raisonnable grande sœur Clare.

Deux jours plus tard, gardant encore une profonde amertume de l’accrochage avec sa mère, Nikki reçoit un coup de fil de Clare affolée qui n’arrive pas à la joindre. N’y tenant plus, Nikki se rend sur place et découvre horrifiée, sur le sol humide du garage, le corps ensanglanté de leur mère...

À partir de cet instant-là, on pourrait penser avoir à faire à un simple polar si l’on ne connaissait pas très vite l’assassin. C’est vers une tout autre enquête que l’incroyable et énigmatique Joyce Carol Oates nous entraîne dans ce passionnant roman, celle d’une enquête psychologique qu’entreprend Nikki sur sa mère.

Se retrouver brutalement orpheline à 31 ans, submergée par le chagrin de s’être quittée fâchée, Nikki essaye de faire revivre sa mère à travers les souvenirs d’amis qu’elle interroge et s’aperçoit ignorer totalement le passé de Gwen Eaton.

Qui se cache derrière cette femme douce et convenable que l’on surnommait
« Plume » ? Petit à petit, ces deux femmes se dévoilent, Nikki face au deuil se découvre une autre personnalité et, au fur et à mesure que l’on avance dans cette histoire, l’émotion se fait ressentir. Je vous recommande donc cette fabuleuse auteure que j’ai découverte avec « Nous étions les Mulvaneys » (gros coup de cœur) et compte bien vous en faire découvrir d’autres !


Prologue :

    « La dernière fois que vous voyez quelqu’un sans savoir que ce sera la dernière fois. Et tout ce que vous savez maintenant, si seulement vous l’aviez su alors. Mais vous ne saviez pas, et maintenant il est trop tard. Et vous vous dites Comment aurais-je pu savoir, je ne pouvais pas savoir.
    Vous vous dites.

    Je raconte ici comment ma mère me manque. Un jour, d’une façon qui ne sera qu’à vous, ce sera aussi votre histoire. »



Existe en poche


















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26 octobre 2008 7 26 /10 /octobre /2008 16:00



















Éditions 10/18, 2008, 430 pages.
Traduit de l’anglais (Écosse) par Elisabeth Kern.




Après « 44 Scotland street » voici le deuxième tome de la série où la vie poursuit son cours dans l’immeuble d'Édimbourg. Pat vit toujours en colocation avec Bruce qui est aussi irritant que par le passé, voir plus depuis qu’il a été licencié de son emploi d’expert immobilier. Domenica continue de commenter la marche du monde avec son esprit mordant et pousse Pat à rencontrer Peter, un bel étudiant au visage angélique. Le petit surdoué Bertie se sent de plus en plus prisonnier de sa mère qui nourrit à son égard une ambition démesurée…

Que d’histoires !! On ne s’ennuie pas à suivre les péripéties qui se bousculent à chaque étage. Avec un humour "so british", Alexander McCall Smith nous offre une virevoltante galerie de portraits. Toutes ces histoires qui se croisent et se décroisent se dévorent avec gourmandises. Vivement le troisième !



"A déguster, donc.... avec plaisir" c'est l'avis de Clarabel



Pour celles et ceux qui ont lu le premier comme
Amanda, Cathulu, ClochettePapillon, Kathel, Michel & Dasola, si ça vous dit, je peux vous envoyer la suite ! N'hésitez pas à me la demander dans les commentaires !



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26 octobre 2008 7 26 /10 /octobre /2008 08:54





Biographie :

Distingué, prévenant, une stature imposante mais le regard malicieux, cet Écossais né en 1948 au Zimbabwe, où il a passé toute son enfance, est devenu, par hasard en 1978, écrivain en gagnant un concours d’histoires pour enfants.

Son premier roman, à partir d’une nouvelle sur le Bostwana où McCall Smith a vécu un an, remonte à 1995. Depuis, cet incurable graphomane n’a plus lâché sa plume, tout en poursuivant une brillante carrière de professeur de droit appliqué à la médecine à l’université d’Édimbourg où il vit toujours avec son épouse, médecin de formation et devenue juriste elle aussi.

Cet écrivain est internationalement connu pour avoir créé le personnage de la première femme détective du Botswana, Mma Precious Ramotswe, héroïne d'une série qui compte déjà huit volumes.

Il est également l'auteur des aventures d'Isabel Dalhousie, présidente du Club des philosophes amateurs, et de 44 Scotland Street, qui inaugure les « Chroniques d' Édimbourg », un roman-feuilleton relatant les tribulations d'un immeuble peuplé de personnages hauts en couleur.

Quand il n'écrit pas, Alexander McCall Smith s'adonne à la musique - il a créé en collaboration avec sa femme le « Really Terrible Ochestra » dont la particularité est d’accueillir des musiciens non professionnels en les laissant multiplier les fausses notes à loisir !


Bibliographie :

« Contes africains » :

* 2006 – La femme qui épousa un lion, (Éditions 10/18)

Série « Mma Ramotswe » :

* 2003 – Mma Ramotswe détective, (Éditions 10/18),
* 2003 – Les larmes de la girafe, (Éditions 10/18),
* 2004 – Vague à l’âme au Botswana, (Éditions 10/18),
* 2004 – Les mots perdus du Kahalari, (Éditions 10/18),
* 2005 – La vie comme elle va, (Éditions 10/18),
* 2005 – En charmante compagnie, (Éditions 10/18),
* 2006 – 1 cobra, 2 souliers et beaucoup d’ennuis,
              (Éditions 10/18),
* 2008 – Le bon mari de Zebra Drive, (Éditions 10/18),

Série « Isabel Dalhousie » :

* 2005
Le club des philosophes amateurs, (Éditions
              des DeuxTerres),
* 2006 – Amis, Amants, Chocolat, (Éditions des Deux
              Terres),
* 2007 – Une question d’attitude, (Éditions des Deux
              Terres),
* 2008 – Le bon usage des compliments, (Éditions
              des Deux Terres)

Série « Chroniques d’Édimbourg » :

* 2007 – 44 Scotland Street, (Éditions 10/18),
* 2008 – Édimbourg Express, (Éditions 10/18),





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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 23:11




















Éditions Belfond, 2007, 408 pages.
Traduit de l’américain par Valérie Bourgeois.



Mariam à 15 ans, c’est une « harami » une bâtarde. Après le suicide de sa mère, elle se trouve mariée de force à un homme exécrable de trente ans son aînée qui l’oblige à porter la burka en la maltraitant, car elle ne parvient pas à lui donner un héritier.

Rescapée d’un bombardement, Laila, une jeune afghane de 14 ans, trouve refuge chez Mariam et Rachid, ce dernier décide de l’épouser. D’abord rivales, elles vont devenir complices dans le malheur, car Laila subit la même cruauté.

Toutes deux, dans un pays ravagé par la guerre où les talibans imposent leurs lois barbares, inhumaines, brûlent les livres, interdisent tout simplement de vivre, vont s’allier pour essayer de fuir cette tyrannie, en espérant trouver la liberté.

Le premier mot qui me soit venu à la bouche en refermant ce livre et essuyant mes larmes est « Magnifique ! ». Après « Les cerfs-volants de Kaboul », l’auteur a encore su me toucher, il nous ouvre les portes de l’Afghanistan et à travers le regard de Mariam et Laila, c’est toute l’histoire politique et religieuse d’un pays qui défile sous nos yeux.
On s’attache à ces femmes, on crie, on pleure avec elles et il est impossible de refermer ce roman sensible et plein d’émotion sans savoir si un jour elles reverront se lever sur Kaboul les mille soleils splendides.


Le site officiel de l'auteur




Merci Martine d’avoir fait voyager ce livre.


Ce livre fait l'unanimité sur les blogs comme chez : Naina, Gambadou, Sole, Solenn, Hervé, Mireille, Biblioblog, Saxaoul, Bernard, Liliba...


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