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  • : Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
  • Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
  • : "Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde. Bonne visite à tous !
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22 mai 2025 4 22 /05 /mai /2025 17:38

Éditions Symbiose

 

Ce qu'il faut avant tout savoir :

Solweig est une médium spirite et clairvoyante. Sa pratique du bouddhisme zen lui a permis de canaliser sa médiumnité qu'elle pratique aujourd'hui en public lors de conférences.

 

Quatrième de couverture :

Disciple du Maître bouddhiste zen Deshimaru, qui a contribué à répandre la pratique de zazen en Europe, Solweig devient nonne zen soto à 28 ans. Dès qu'elle quitte le dojo dans lequel elle enseigne, elle retrouve un quotidien dont l'unique point commun avec le zen est de vivre dans "l'ici et maintenant". Solweig est une femme qui suit son instinct et son goût pour l'aventure l'emmène à vivre des expériences hors des sentiers battus, accompagnée de personnages singuliers. Le récit de Solweig nous fait voyager en France, en Afrique avec des aventures aussi extravagantes que bouleversantes. Ponctué par des enseignements bouddhistes, c'est un road trip plus que rock'n roll, à l'écriture incisive. Solweig prendra conscience de sa médiumnité passée la cinquantaine. Médiumnité qui lui aura rendu jusque-là bien des services et évité le pire. "Devenir médium ne s'apprend pas, on l'est le plus souvent."

J’ai découvert ce livre de Solweig peu avant sa venue dans mon association, où elle a donné une conférence passionnante. Curieuse d’en apprendre davantage sur son parcours avant de la rencontrer, j’ai entamé la lecture… et voici ce que j’en ai retenu.

Le parcours de Solweig est pour le moins atypique, jalonné de rencontres inattendues et d’expériences hors du commun. De la danse classique au bouddhisme zen, en passant par la vie de hippie et la médiumnité, elle nous entraîne dans une aventure humaine des plus surprenante.

Dès l'âge de 4 ans, la danse s’impose comme une évidence. Elle la vit comme un appel intérieur, une vocation déjà ancrée en elle.

Après de nombreuses péripéties, notamment dans le sillage de Mai 68, elle embrasse un mode de vie nomade, fait de voyages, de rencontres avec des beatniks et des marginaux, et se construit au fil de ses pérégrinations.

À 22 ans, sa découverte du bouddhisme zen marque un tournant : elle suit l’enseignement de Maître Taisen Deshimaru durant quinze ans et est ordonnée nonne en 1980.

Cette étape l’amène à une profonde introspection, mais la danse reste présente, et elle finit par l’enseigner.

« La danse relie le corps et l’esprit et élève l’âme. […] La danse vous transcende, vous amène au dépassement, c’est aussi puissant qu’une méditation, une communion totale en lien avec “plus grand que soi“, exactement comme la médiumnité. Il faut s’oublier soi-même pour se trouver soi-même. »

En 2008, un événement bouleversant marque une nouvelle étape. Sa fille, sur le point de devenir mère, subit une hémorragie grave lors de l’accouchement. Alors que Solweig cherche désespérément du réconfort, le hasard la met en contact avec une médium.

Une conversation s’engage, puis un SMS inattendu change sa vie : la médium lui confie qu’elle reçoit, depuis leur échange, de nombreux messages à son sujet, l’invitant à reconnaître ses propres capacités.

D'abord réticente, Solweig refuse de s’identifier à ce don. Mais les signes se multiplient, les messages se précisent, et surtout, une information troublante — la description exacte d’un disciple de Gandhi qu’elle a connu — finit de la convaincre.

Peu à peu, elle accepte cette dimension insoupçonnée d’elle-même et découvre que cette faculté, elle la porte peut-être depuis toujours : sa propre mère lui a confié qu’elle la possédait également.

Ce témoignage sincère, dense et hors normes alterne entre récit de vie, exploration spirituelle et éveil intérieur. Solweig partage avec pudeur et force une histoire où la résilience se mêle à l’extraordinaire.

Un livre touchant, que j’ai lu d’une traite, tant le chemin parcouru est vertigineux.

 

Pour aller plus loin :

Sylviane Jung a récemment reçu Solweig, qui revient sur les grandes étapes de son parcours atypique au cours d’un échange passionnant.



🎧 À écouter également :

Solweig était l'invitée de Mickaël sur la Radio du Lotus, dans un podcast à découvrir ICI.

 

Retrouvez Solweig sur :

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8 mars 2025 6 08 /03 /mars /2025 14:00

Éditions Vérone

 

Ce qu’il faut avant tout savoir :

Louis a décidé d’écrire ce livre à la suite d’une expérience peu ordinaire. Homme de foi, il a consacré onze années de sa vie à l’Hospitalité Notre-Dame de Lourdes. Son désir d’aider les personnes en souffrance a été exaucé par la grâce divine. Dès lors, il n’a cessé d’accomplir sa mission avec dévouement.

Quatrième de couverture

L’objectif de ce livre est de sensibiliser le corps médical aux bienfaits d’une aide parallèle, qui n’entrave en rien la médecine allopathique, mais apporte un complément bénéfique et du confort aux personnes souffrant physiquement ou psychiquement. Si, la plupart du temps, les médecins tolèrent la présence d’un magnétiseur au chevet des malades, de manière générale, ils ne reconnaissent pas les bienfaits apportés... C’est du moins notre but en commençant ce récit à quatre mains. Mais il prendra une dimension supplémentaire en doublant cette relation si particulière d’un patient et de son thérapeute, d’une rencontre humaine d’une intensité et d’une beauté incommensurables. Une expérience qui transforme à jamais, et qui éclaire la route qu’il reste à parcourir…

Dans ce témoignage, Louis retrace son parcours de vie. Enfant turbulent, il fut envoyé par ses parents dans un collège disciplinaire, afin qu’ils puissent s'occuper de sa sœur, dont la santé était fragile.

Après avoir obtenu son certificat d’études en 1959, il intègre une école de commerce pendant deux ans, dans l’espoir, pour ses parents, qu'il prenne plus tard la direction de l’entreprise familiale.

À dix-huit ans, Louis commence à travailler dans l'usine de chaussures fondée par son père et ses deux oncles. Cette année-là, il rencontre sa future femme, Michèle, avant d’être envoyé en Algérie pour effectuer son service militaire.

À son retour en France, Louis reprend sa place dans l’entreprise familiale. Les années passent, et il choisit de prendre sa retraite.

Il se tourne alors vers l’Hospitalité Notre-Dame de Lourdes, où il accueille et soutient les pèlerins malades. En 2005, il devient vice-président de l’organisation, un rôle qu’il assume pendant cinq ans.

Toujours animé par l’envie d’aider les autres, Louis développe ses capacités en magnétisme qu’il utilise pour soulager les souffrances humaines.

Fidèle à sa mission et désireux de la mettre au service d’autrui, il l’applique pendant plusieurs années, notamment auprès de Christiane, une amie infirmière et mère de famille, qui lutte contre un cancer. Le magnétisme de Louis l’aidera à mieux supporter son traitement médical.

Louis sera également guidé par Claudine, une voyante renommée dans les années 1990, qui l'accompagnera dans son parcours.

Ce livre raconte avant tout l’histoire de Christiane et de son combat, tout en portant un message fort : un cri du cœur adressé à la médecine allopathique, l'invitant à ne pas négliger les bienfaits du magnétisme.

Ce témoignage illustre combien cette pratique peut être un complément précieux aux traitements conventionnels.

 

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25 février 2025 2 25 /02 /février /2025 18:33

MAMA Edtions

 

Ce qu’il faut avant tout savoir :

Ancien chef de groupe au GIGN, Jean-Luc Calyel est de nature rationnelle. À carrière opérationnelle est marquée par des missions d’exception. C’est dans cette unité d’élite, qu’il explore, malgré lui, d’autres dimensions de l’existence, révélant en lui une foi inébranlable et inspirante.

 

Quatrième de couverture :

Touché en plein cœur : « Ce n’était pas une ogive faite de cuivre et de plomb, mais une énergie faite d’amour et de bienveillance ». Né d’une mère catholique et d’un père agnostique, Jean-Luc Calyel intègre le GIGN à vingt-trois ans avec pour unique bagage les convictions patriarcales. Il en sort, quinze ans plus tard, chef de groupe opérationnel et Dieu chevillé au corps. Rien ne le prédestinait à vivre un parcours initiatique. Rien ne le destinait à s’ouvrir à la Foi. Rien, absolument rien, n’avait été semé en lui pour que Dieu prenne, un jour, Sa place. Après vingt-quatre années de réflexion et d’hésitation, Jean-Luc Calyel explique aujourd’hui comment la Foi a pris naissance en lui, pas-à-pas, jusqu’à expérimenter un jour à sa plus grande surprise : La Divine Connexion. « L’instant fut tout aussi extraordinaire qu’inattendu »

Jean-Luc Calyel est avant tout auteur de romans et de bandes dessinées. Cette fois-ci, après avoir longuement hésité, il a décidé de partager son parcours initiatique, un cheminement qui a débuté au sein du GIGN.

Issu d’une famille catholique non pratiquante, Jean-Luc a grandi entre une mère croyante, mais réservée et un père agnostique convaincu, persuadé que la spiritualité et les religions ne sont qu’un amas de mensonges. À force d’observer le monde qui l’entoure, Jean-Luc finit par adopter les convictions de son père.

À 18 ans, il quitte le domicile familial pour accomplir son service militaire dans la gendarmerie maritime, avec un objectif précis qui lui tient à cœur : intégrer le GIGN, ce qu’il réussit à accomplir à 23 ans malgré le scepticisme et les railleries de son entourage.

« Il n’y a que deux choses qui séparent le possible de l’impossible : deux lettres et un état d’esprit. »

À 28 ans, après une désunion, Jean-Luc ressent de plus en plus le besoin de se reconstruire et de se ressourcer. C’est à travers la prière, conseillée par certains de ses camarades ayant vécu des phénomènes irrationnels, qu’il trouve une source de réconfort.

Poussé par sa curiosité et son esprit cartésien, Jean-Luc cherche à comprendre les expériences de ses camarades en les questionnant régulièrement.

L’un d’entre eux va accepter de se confier à lui en relatant des faits incroyables survenus suite à un accident de plongée qui le propulsa brutalement d’un état matériel à un état immatériel, en présence d’êtres lumineux et bienveillants.

Ce récit, empreint de sincérité et de courage, ébranle profondément Jean-Luc, qui se retrouve confronté à des interrogations existentielles jusqu’au jour où sa carrière de plongeur est mise en péril.

C’est à ce moment qu’il fait une rencontre qui changera sa vie. Cette rencontre va l’aider à reprendre du service et, surtout, à vivre une expérience subaquatique des plus stupéfiante, ouvrant ainsi une porte vers une nouvelle dimension spirituelle.

Cet événement marque le début d’un long parcours parsemé de vicissitudes, d’épreuves difficiles, qu’il qualifie de « cadeaux mal emballés », car ces expériences l’aident à transformer sa manière de penser. Elles l’encouragent à lâcher prise et de s’en remettre à cette puissance supérieure.

En se libérant ainsi de ses certitudes, laissant son cœur le guider et s’ouvrir à la Foi, Jean-Luc va être témoin de synchronicités très troublantes qui l’amèneront à vivre une grâce ultime qui déverrouillera toutes les portes de son esprit cartésien et pulvérisera ses derniers doutes.

Ce témoignage est tout simplement vertigineux ! Comme le dit lui-même Jean-Luc Calyel, rien ne le prédestinait à vivre l’expérience du « grand Tout », à fusionner avec l’énergie d’Amour inconditionnel ni à faire l’époustouflante expérience de la Divine Connexion.

« Ce n’était pas une ogive faite de cuivre et de plomb, mais une énergie faite d’amour et de bienveillance »

Une quête spirituelle fascinante et inspirante, qui m'a interpellée, car elle révèle ce qui nous relie tous.

 

Pour aller plus loin :

Jean-Luc Calyel, ancien membre du GIGN (Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale) et invité par Lilou Macé, a servi pendant 15 ans au sein de cette unité d'élite en tant que chef de groupe. Son parcours, qui l’a conduit de son engagement dans le GIGN à une transformation spirituelle inattendue, est raconté dans son ouvrage Du GIGN à la foi, publié par Mama Éditions.

 

Voici un petit aperçu de son incroyable et splendide Divine Connexion que vous pouvez retrouver sur Facebook dans l'émission "Clique" sur MyCanal

@clique_tv "La divine connexion m'a traversé de part en part." - Ancien chef de groupe du GIGN, Jean-Luc Calyel raconte son incroyable rencontre avec la foi. #religion #foi #gign #temoignage #parcoursdevie #itwclique #clique ♬ son original - Clique TV

 

Pour parcourir les premières pages, cliquez ICI

Pour en savoir plus sur l'auteur, rendez-vous sur son site :

 

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6 janvier 2025 1 06 /01 /janvier /2025 13:32

Éditions Ar Clozen

 

Ce qu’il faut avant tout savoir :

Marie-Dominique Pot. Sociologue, anciennement chargée de recherches pour le CNRS, la Direction du Patrimoine Ethnologique et des Conseils généreux. Docteur ès Lettres et Sciences humaines. Diplômée en Philosophie et formations en arts plastiques. Prix de thèse de la Ville de Nantes en 1986.

Quatrième de couverture :

« J’ai voulu cette compréhension de textes comme un mélange de séquences poétiques, éparses, en brisures. Des personnes, des lieux et des livres sont passés dans le temps d’une vie, laissant un sillage de parfums, de culture faite de légendes celtiques, de christianisme revisité, de rencontres fugaces, de questionnements. Sensibles, sensitives, ces simples traces marquent un esprit de solitude. Légère, mais profonde, j’ai souhaité une histoire effleurée, éclatée, sans chronologie, laissant juste un peu de poussière d’or sur les doigts, et de la distance rêvante, espérant un monde meilleur. »

En me plongeant dans ces fragments de vie, je ne m’attendais pas à être aussi éblouie par l’élégance de la plume de Marie-Dominique Pot. 

Pour mieux en comprendre l'essence, je vous invite à vous reporter à la quatrième de couverture, car il est bien difficile de résumer un tel ouvrage qui vous amène dans des lieux chargés d’émotions, empreints de souvenirs de l’auteure qui inévitablement font ressurgir les nôtres. C’est un livre qui se vit. 

Tous les soirs, j’étais heureuse de savoir que son livre m'attendait, que j’allais pouvoir savourer ses écrits faits de tendresse, de poésie et de petits riens qui font tout. 

Ce livre est un véritable bijou qui, hélas, ne se trouve pas partout, mais s’il vous intéresse, n’hésitez pas à contacter l'auteure à l'adresse indiqué sur son site : Marie-Dominique Pot

 

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8 décembre 2024 7 08 /12 /décembre /2024 18:29

Chafouine Éditions

 

Ce qu'il faut avant tout savoir :

Marion Du B’, est auteure depuis plus de dix ans. Formée depuis 2017 à la PNL, à la communication non-violente, à diverses techniques de développement personnel et de postures bienveillantes envers son prochain, elle écrit des romans humoristiques qui font tout simplement du bien aux lecteurs. Début 2020, l’auteure monte sa propre maison d’édition : Chafouine édition, pour publier un roman témoignage sur le décès de sa maman survenu brutalement en 2016 dans les Pyrénées, alors qu’elle se trouvait au Cambodge pour y effectuer une mission humanitaire. En 2024, Marion du B’ a lancé des stages d’écriture de libération émotionnelle. L'ouvrage "Et puis un jour, j'ai choisi de vivre" a été coécrit avec Lætitia, Sabine, Alice et Jonathan lors de son stage d’écriture libératrice en avril 2024.

Quatrième de couverture :

Derrière ces témoignages poignants et bouleversants, quatre voix se lèvent pour briser le silence qui entoure les blessures profondes infligées par des violences subies. Parmi ces voix, celle d’un homme, offrant ainsi une perspective unique et tout aussi révélatrice sur les conséquences dévastatrices que ces traumatismes peuvent avoir sur nos vies. Ces quatre âmes, qui ont participé au stage d’écriture libératrice de Marion Du B’ en avril 2024, ont vécu l’horreur : passant des agressions sexuelles durant la première partie de leur vie aux violences conjugales plus tard, elles ont toutes un jour, pourtant, décidé de choisir la vie, de vivre et non de continuer de survivre.

Trois participants, venus de diverses régions de France, se sont rencontrés lors d’un stage de reconnexion à soi par l’écriture organisée par Marion Du B’.

Durant ce stage chacun a pu partager leurs ressentis et s’exprimer à travers l’écrit en déposant sur papier tout ce qui leur était trop lourd à porter. Tous leurs doutes, leurs souffrances, leurs angoisses pour mieux les regarder afin de s’en libérer.

Tour à tour, chacune de ces personnes prend la plume pour briser le silence sur les blessures profondes infligées par les violences qu’elles ont subies dans l’enfance. Ce sont des témoignages bouleversants qui mettent en lumière les conséquences dévastatrices que ces traumatismes ont pu engendrer dans leurs vies, mais également dans tout leur être.

Je n’ai pas l’habitude de m’exprimer sur ces sujets que l’on a bien souvent tendance à étouffer. Pourtant en parler est nécessaire afin de protéger, d’offrir à ces enfants, ces adultes une vie exempte de violences, de traumatismes de tout genre et pour briser ce silence, chaque voix compte.

Ce livre, qui pourtant aborde un sujet poignant, est magnifique, car nous suivons ces trois femmes (dont Marion du B') et un homme sur les chemins qui les ont amenés à braver leur ombre, à se reconstruire grâce aux divers exercices qui leur ont permis de découvrir une nouvelle version d’eux-mêmes.

Ces témoignages de résilience sont une source d’inspiration, car ils nous démontrent cette force insoupçonnée, cette lumière qui demeure en chacun de nous et que nous pouvons tous faire jaillir pour vivre pleinement notre vie.

 

Pour aller plus loin :

Voici une émission de Sylviane Jung dans laquelle elle a interviewé Sabine Clerc qui apparaît dans cet ouvrage et dont vous pouvez écouter un petit extrait où elle parle de son expérience.

 

- Si vous désirez commander le livre dédicacé par Sabine, cliquez sur le lien suivant : Puis un jour, j'ai choisi de vivre

- Pour découvrir les autres livres de l'auteure  : Marion du B'

- Pour la suivre sur sa page Facebook : Marion Du B'

- Sur son compte Instagram : mariondub_auteure

 

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Praticienne en Fleurs de Bach et Fleurs de l'Atlas

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Aujourd’hui il est reconnu que la majorité de nos symptômes physiques proviennent d’un déséquilibre émotionnel.

 

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