Biographie :

Ancien reporter de guerre, Stéphane Allix est devenu journaliste au printemps 1988, à l’âge de 19 ans, en rejoignant clandestinement un groupe de résistants afghans en lutte contre l’occupant soviétique. Durant les années qui ont suivi il a voyagé à travers le monde, réalisé des films, et écrit plusieurs livres. Il a couvert différentes guerres, en Somalie, au Cachemire par exemple ; beaucoup en Afghanistan. Il a vu la mort, devant ses yeux, palpable et si curieuse. Il lui a touché la main...

« Des dizaines de milliers de personnes à travers le monde ont des choses à nous dire sur notre monde. Le travail de l’INREES va permettre à notre société de mieux les écouter. »

Depuis près de vingt ans, il poursuit inlassablement la même enquête : comment le monde fonctionne-t-il ? Qui sommes-nous donc ? Rien d’autre ne compte plus pour lui que l’exploration des frontières, la découverte de l’inconnu. Ce faisant, il a acquis une solide expérience de journaliste d’investigation. Depuis quatre ans, il se consacre à l’étude des questions vertigineuses que certaines découvertes scientifiques soulèvent quant à la nature de notre univers. Dans ce domaine, il a réalisé combien le témoignage humain peut être une porte d’accès d’une richesse insoupçonnable vers des dimensions nouvelles de la réalité. À l’aide d’une méthodologie rigoureuse et irréprochable, il est scientifiquement possible d’explorer le récit de ces innombrables témoins, et d’en tirer une connaissance utile.

En juillet 2007, Stéphane Allix a fondé avec le Dr Bernard Castells l’Institut de recherche sur les expériences extraordinaires (l’INREES), une association à but non lucratif dont il est le président. Parrainé par le psychiatre Stanislav Grog, le psychologue Kenneth Ring, le spationaute Jean-François Clervoy, l’astronaute américain Edgar Mitchell (Apollo 14), le réalisateur Jan Kounen et de nombreuses autres personnes éminentes, l’INREES rassemble aujourd’hui des professionnels de santé, des psychologues, des psychiatres, des psychanalystes, ainsi que des chercheurs, des cinéastes ou des écrivains, désireux de porter avec rigueur, méthode et ouverture un regard neuf sur les expériences humaines extraordinaires vécues par un grand nombre de personnes.

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter :

Le site et le blog de l’INREES

Bibliographie :

* 1998 – La petite cuillère de Schéhérazade, (Éditions

              Ramsay),

* 2002 – Carnets afghans, (Éditions Robert Laffont),

* 2003 – Afghanistan, aux sources de la drogue,

              (Éditions Ramsay),

* 2003 – Afghanistan, visions d’un partisan, (Éditions

              Transboréal),

* 2006 – Extraterrestres : l’enquête, (Éditions Albin

              Michel),

* 2009 – La mort n’est pas une terre étrangère,

              (Éditions Albin Michel)

* 2009 – Manuel clinique des expériences

              extraordinaires. Collectif. (InterÉditions)

Markus Zusak

Oh Éditions, mars 2007, 527 pages

Traduit de l’anglais (Australie) par Marie-France Girod

1939, en Allemagne nazie, la Mort rode partout et bien peu de personnes réussissent à lui échapper sauf Liesel Meminger, une petite fille de 9 ans, qui par trois fois y est parvenue. Un cas surprenant qui intrigue et captive la Mort au point qu’elle va s’y intéresser en racontant la destinée de cette fillette. Elle va alors découvrir son secret, d’où vient ce pouvoir qui lui fait affronter les évènements avec tant de force : Liesel vole des livres…

Un roman dont la Mort est la narratrice, voilà qui est assez original et très réussi. Parfois on rit, souvent on pleure et à chaque évènement on est immanquablement touché en plein cœur. Un envoûtant et émouvant roman que je vous recommande !

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