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  • : Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
  • Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
  • : "Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde. Bonne visite à tous !
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12 novembre 2017 7 12 /11 /novembre /2017 17:25

Si dans les années 80 vous avez regardé ce dessin animé, qui était surtout destiné aux enfants, peut-être que vous allez vous souvenir de ce passage ou plutôt de ce message qui résonnerait aujourd’hui comme un avertissement tellement ce que dit cet être d’une autre civilisation est incroyablement visionnaire. Je pense qu’à l’époque on était bien loin de comprendre la profondeur et l’importance de ses mots…

(En cliquant sur la vidéo, il faudra aller sur YouTube pour la visionner)

Cette série “Il était une fois… l’Espace” d’Albert Barillé a été diffusée en 1982.

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8 novembre 2017 3 08 /11 /novembre /2017 12:07

Hozhoni Éditions

 

Ce qu'il faut avant tout savoir :

Eric Tourneret est photojournaliste depuis près de trente ans. Les abeilles - auxquelles il a déjà consacré quinze années de travail - sont pour lui la clé de voûte de l’abondance de la nature. Les images extraordinaires qu’elles lui ont inspirées ont fait le tour du monde. Il passe du microcosme de la ruche au grand reportage. Explorant toute la palette des techniques et tous les styles photographiques, en cherchant toujours à transmettre et partager émotion et émerveillement.

Sylla de Saint Pierre a mis dans cet ouvrage la richesse de sa plume, inspirée par sa fascination et son amour des abeilles, et la rigueur de ses enquêtes, héritée d’une carrière dans la communication éditoriale. Elle partage désormais son temps entre coaching et écriture et rejoint ici une aspiration profonde : participer à la préservation de la nature, condition première de la pérennité de l’humanité, en partageant un peu de son infinie beauté.

Jürgen Tautz  été l’élève de Martin Lindauer, qui fut celui de Karl von Frisch. Professeur à l’université bavaroise Julius Maximilian, il a fondé le groupe BEE, centré sur la recherche fondamentale sur la biologie de l’abeille. Il est aussi un promoteur actif des sciences du vivant auprès du grand public, avec le projet HOBOS (HOneyBee Online Studies), une plateforme de recherche et d'éducation en ligne qui permet aux scientifiques, étudiants et à tout un chacun, de consulter données et images collectées sur une ruche équipée de multiples capteurs et caméras.

 

Résumé du livre :

Avec de nouvelles photos époustouflantes réalisées au cœur de la colonie, en France et dans le monde, tout comme en laboratoire, adossées à un texte qui fera date par la qualité de son écriture et sa solidité documentaire, riche de fascinantes informations. On y découvre comment est organisée la colonie « superorganisme» en termes de communication, de démocratie et de décision, comment elle s’emploie à lutter contre les maladies ou comment les abeilles s’adaptent aux événements et régulent la température. On y apprend comment elles opèrent pour choisir la reine, quelle transformation épigénétique peut intervenir ou quelle est la vraie nature du vol nuptial, l’appel silencieux des fleurs, l’alchimie du nectar, l’importance des fragrances et du parfum royal, comment le goût du sel se trouve au bout des pattes, le rôle des éclaireuses ou quelle est la fonction de l’oeil  composé… On y comprend l’incidence de l’architecture sur la communication et celle des chambres vides au sein du rayon de miel, l’existence d’un web des abeilles, la multiplicité des langages et les raisons du souffle de la colonie, leurs incroyables capacités cognitives et leurs quatre mémoires, les conditions de l’essaimage colonisateur et les secrets de la génétique.

Après Les Routes du Miel, Eric Tourneret et Sylla de Saint-Pierre, en compagnie de Jürgen Tautz spécialiste de la biologie des abeilles, nous invitent à les suivre dans l’univers merveilleux des colonies à la rencontre de la science et de la poésie de la vie. C’est une captivante et enrichissante exploration au sein de l’intimité des abeilles. La beauté des illustrations accompagne à merveille les études scientifiques les plus récentes.

« Il y a beaucoup d’amour dans ce livre, celui qui lie les fleurs aux abeilles, et celui qu’elles nous inspirent. Peu d’animaux nous sont plus étrangers que les insectes. Les abeilles elles-mêmes suscitent souvent la crainte. Pour les comprendre, il nous faut pénétrer au coeur de leur cité de cire, s’émerveiller de l’intelligence de leur société que nul ne gouverne, mais aussi des étonnantes capacités cognitives de chaque petite butineuse, s’émouvoir en les contemplant dans leur labeur… et reprendre lien avec la nature. »

Un splendide ouvrage à offrir ou à s’offrir qui j’espère contribuera également à la prise de conscience de leur sauvegarde !

« Les abeilles ont été si célébrées par les naturalistes, tant anciens que modernes, on en a raconté tant de merveilles qu’on est généralement convaincu qu’elles sont, de tous les insectes et peut-être de tous les animaux, ceux à qui notre admiration est due à plus d’un titre. Nous découvrirons bien du faux dans le merveilleux dont on a voulu leur faire honneur. Le faux merveilleux qui leur a été attribué sera remplacé par du merveilleux réel qui a été ignoré » Réaumur, Mémoires pour servir à l’histoire des insectes, 1741.

Pour vous donner un aperçu de ces très belles photos qui illustrent ce livre, je vous invite à cliquer sur l’image ci-dessous :

 

Pour aller plus loin :

Découvrez l'étonnant making-off des photos du livre "Le Génie des Abeilles" de et avec Eric Tourneret. Ou directement ICI si jamais il y a de la pub.

 

 

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30 octobre 2017 1 30 /10 /octobre /2017 10:19

Guy Trédaniel

 

Ce qu'il faut avant tout savoir :

Olivier Clerc est l'auteur de 16 livres, avec des traductions dans une quinzaine de langues. Il a écrit quatre recueils de métaphores, dont La grenouille qui ne savait pas qu'elle était cuite, best-seller international depuis 12 ans, et Graines de Sens (2016). Il a aussi publié deux titres phares sur le pardon : Le Don du Pardon (2010) et Peut-on tout pardonner ? (2015). Olivier Clerc est à l'origine des Cercles de Pardon qui se multiplient dans une dizaine de pays à ce jour.

Résumé du livre :

En 1999, après avoir traduit en français et publié Les Quatre Accords Toltèques, Olivier Clerc part à Teotihuacan, Mexique, pour suivre un stage d'une semaine avec Don Miguel Ruiz. Au cours de ce séjour, Don Miguel lui fait vivre une expérience radicalement transformatrice, lui faisant du même coup cadeau d'un outil aussi simple que puissant : le Don du Pardon. Dans ce livre pratique, Olivier Clerc présente cet outil toltèque unique, jamais révélé auparavant, qui peut aider chacun à trouver le soulagement, le pardon et l'amour auxquels nous aspirons tous, comme ce fut le cas pour lui et les autres personnes présentes. ¤ Avez-vous de la difficulté à pardonner aux personnes qui vous ont fait du mal ? ¤ Est-ce que vous vous en voulez de ne pas parvenir à pardonner, malgré vos efforts ? ¤ Souhaitez-vous libérer votre coeur de l'étau du ressentiment, des rancoeurs et de la haine ? ¤ Aimeriez-vous que l'amour s'écoule plus librement à travers vous ? Le Don du Pardon sert précisément à cela. Il n'exige aucune compétence ou connaissance préalable. Il peut être pratiqué par n'importe qui, n'importe où. Faites l'essai !

Dans la première partie de ce livre Olivier Clerc nous relate sa rencontre avec Don Miguel Ruiz dont il est le traducteur. Durant son séjour au Mexique, à Teotihuacan, Olivier Clerc est loin d’imaginer qu’il va vivre une expérience des plus bouleversantes qui changera complètement son existence et dont il mettra dix ans avant de pouvoir la partager.

J’avais conscience qu’autant une expérience peut être profondément transformatrice pour celui qui la vit, autant elle peut être difficile à restituer d’une manière qui permette à ceux qui ne l’ont pas vécue de la partager, d’en saisir l’essence […]

C’est dans cette seconde partie qu’Olivier Clerc nous explique en détail comment chacun d’entre nous peut mettre à profit cet enseignement sur le Don du Pardon qui a pour vocation de nous libérer de tous les ressentiments qui nous étouffent, nous empêchent d’avancer et surtout d’aimer.

Le Don du Pardon est bien plus qu’une simple phrase, c’est un renversement complet de notre compréhension habituelle du processus même du pardon, car il nous fait prendre conscience de nos propres jugements, de nos actes qui nous ont barricadés et, par conséquent, nous ont fait plus mal encore.

Je vous invite à découvrir Le Don du Pardon qui est un outil merveilleux destiné à nous soulager de nos propres souffrances.

Si vous voulez instaurer la paix dans le monde, commencez par l’établir à l’intérieur de vous-mêmes. (proverbe tibétain)

Pour la petite anecdote, par curiosité, j’ai voulu participer à un Cercle du Pardon qu’a mis en place Olivier Clerc et je dois dire que ce fut un moment extrêmement émouvant, l’émotion de chaque personne présente était palpable, car nous ressentions dans notre cœur ce lien qui nous unit tous.

 

Pour aller plus loin :

Présentation du Don du Pardon enregistrée par Olivier Clerc en 2011.

 

 

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23 octobre 2017 1 23 /10 /octobre /2017 08:29

Voici une histoire de rêves étranges racontée par Guy Breton dans le Tome 2 des “Histoires magiques de l’histoire de France” qui a été écrite par Henryk Sienkiewicz lui-même, l’auteur de "Quo vadis ?", et par Anton Niedermeier qui l’a publiée dans ses Souvenirs.

 

En juillet 1901, les familles en villégiature à Biarritz pouvaient voir, chaque jour vers midi, un élégant quinquagénaire promener, au milieu des cabines de baigneurs, un regard profond, une barbiche soignée et une mélancolie venue de toute évidence du nord de l’Europe.

Les dames et les demoiselles, sous leurs ombrelles, le considéraient avec une curiosité insistante. […] Le personnage les fascinait. N’avaient-elles point là, devant les yeux, à portée de la main même, le célèbre romancier polonais Henryk Sienkiewicz, auteur de Quo vadis ? roman traduit en vingt-deux langues et dont l’adaptation française, sortie en librairie un an plus tôt, en juin 1900, atteignait déjà le tirage de 100 000 exemplaires, chiffre extraordinaire pour l’époque ?

Le prestige dont jouissait l’écrivain était si grand qu’aucune de ses ferventes admiratrices n’aurait eu l’audace de lui adresser la parole, même pour lui bredouiller le plus insipide compliment.

Or, ce que les Françaises, à leur grand regret, n’avaient pas le courage de faire, une Anglaise l’osa. C’était une charmante jeune fille blonde aux yeux myosotis. Un soir, dans le hall de l’hôtel où il était descendu, elle l’aborda et lui dit qu’elle avait lu Quo vadis ? et en avait été bouleversée.

Sienkiewicz, ravi et un peu troublé, l’invita à boire une tasse de thé. Ils se revirent le lendemain, puis tous les jours suivants et prirent l’habitude de se promener ensemble.

Un matin, le romancier dit à la jeune miss :

— Je n’ai pas l’habitude d’attacher de l’importance aux songes, mais j’ai fait cette nuit un rêve étrange qui me laisse une impression de malaise dont je ne peux me débarrasser… Je me trouvais dans une rue où il y avait un corbillard derrière lequel se tenait un jeune homme blond aux yeux très clairs, vêtu d’un costume bleu à boutons de métal. Je le revois très distinctement…

— Vous parlait-il ?

— Non. Il me souriait en me regardant fixement et m’invitait d’un geste à monter dans cette voiture des morts… Je me suis réveillé très oppressé…

La jeune Anglaise s’intéressait aux sciences métaphysiques. Il lui arrivait même, lorsqu’elle était à Londres, d’aller écouter les conférences faites par des membres de la Society for Psychical Research. Elle conseilla au romancier de noter son rêve sans en omettre le moindre détail.

— Peut-être, dit-elle, a-t-il une signification que vous découvrirez un jour…

Docilement, Sienkiewicz suivit le conseil de son amie. Le lendemain matin, lorsqu’ils se retrouvèrent sur la plage, la jeune miss remarqua que l’écrivain paraissait préoccupé. Elle le questionna.

— Vous n’allez pas me croire, dit-il, mais j’ai fait cette nuit le même rêve qu’hier. Le jeune homme que je vous ai décrit, vêtu de façon identique, m’invitait en souriant à monter dans un corbillard. Je reculais, mais il avançait vers moi et tendait la main pour m’agripper… C’était horrible ! Je me suis réveillé en sueur. Croyez-vous que cela annonce que je cours un danger ?

La jeune fille le rassura, disant qu’il était bien difficile de savoir quand on avait affaire à un rêve prémonitoire et que les spécialistes étaient incapables de se prononcer. Puis ils parlèrent d’autre chose.

Mais le lendemain matin, lorsque la petite Anglaise sortit de son hôtel, elle trouva Sienkiewicz encore plus déprimé que la veille.

— Que vous arrive-t-il ? Ne me dites pas que vous avez encore fait le même rêve ?

— Si ! Exactement le même ! C’est épouvantable et ce corbillard me hante. Je sais que je vais y penser toute la journée, comme hier et comme avant-hier.

La petite Anglaise lui prit le bras.

— Aujourd’hui, je ne vous quitte pas […] et ce soir, nous dînerons ensemble.

À minuit, lorsqu’ils se quittèrent, Sienkiewicz souriait.

— Merci ! Grâce à vous, je crois que je vais passer une nuit sans cauchemar…

Le lendemain, à huit heures, la jeune fille était devant la porte de l’hôtel du romancier, un peu anxieuse.

— Alors ?

— Fini ! J’ai rêvé de vous !

Sienkiewicz resta encore quelque temps à Biarritz sans que son étrange rêve revînt le tourmenter. Puis un soir, il fit de tendres adieux à la petite Anglaise et prit le train pour Paris où l’on préparait une adaptation théâtrale de Quo vadis ?

Là, il s’installa dans un hôtel de la rue de Rivoli. Vers midi, il voulut aller déjeuner, quitta sa chambre et se dirigea vers l’ascenseur. La cabine était justement à l’étage et le liftier tenait la grille ouverte.

Sienkiewicz s’arrêta horrifié ; le garçon, un adolescent blond aux yeux clairs qui le regardait fixement en l’invitant à entrer dans l’ascenseur, était le personnage qu’il avait vu en rêve. Même costume bleu, mêmes boutons de métal, même sourire étrange, même geste de la main…

Épouvanté, l’écrivain fit demi-tour et se précipita vers l’escalier qu’il descendit en courant. Arrivé au rez-de-chaussée, il entra dans la salle de lecture et se laissa choir dans un fauteuil.

À peine s’y trouvait-il qu’il entendit un fracas si épouvantable qu’il perdit connaissance. Quand il revint à lui, des gens couraient dans le hall et un employé lui apprit que l’ascenseur venait de s’écraser sur le sol.

Il se leva, se fraya un passage dans la foule et vit des corps étendus sur le tapis. Au milieu d’eux, il reconnut tout de suite celui du liftier blond au costume bleu orné de boutons de métal…

 

Sources :

  • Histoires magiques de l’histoire de France, Tome 2, page 172 à 174, Editions France Loisirs, 2000.
  • Anton Niedermeier, Souvenirs.
  • Aimé Michel, Naissance de la science des rêves, in Le Mystère des rêves, Ed. Planète.
  • Hervey de Saint-Denys, Les Rêves et les moyens de les diriger, Ed. Tchou.
  • Steven et Monfang, Le Dossier fantastique du rêve, in Le Mystère des rêves, Ed. Planète.

 

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13 octobre 2017 5 13 /10 /octobre /2017 10:08

 

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L’Édito - Automne 2017 (extrait) :

Qu’est-ce qui distingue les contes des mythes ? Quelles puissance évocatrice et proximité fraternelle, quel écho ontologique les seconds ont-ils en nous pour qu’ils relèvent d’un ordre différent des premiers, échappant aux contingences du temps et de l’espace ?

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A la Une de ce magazine bimestriel :

Rencontrer son ombre - Une voie vers la complétude

Elle est partout : tapie au fond de notre psyché, de notre famille, de notre communauté, de notre nation, de notre planète. Telle la fée Carabosse, on se garde bien de l’inviter à la fête, car l’ombre incarne tout ce que nos conditionnements éducatifs, sociaux et religieux nous ont appris à refouler. En vain, et c’est tant mieux, puisqu’oser rencontrer son ombre ouvre des horizons de liberté et e plénitude insoupçonnés.

Pour consulter le sommaire et feuilletez le magazine, cliquez ICI

 

 

 

En bref :

Présente dans toutes les traditions (occidentale, chinoise, amérindienne, celte, égyptienne, indienne, tibétaine...) sous différentes formes, l’astrologie s’est construite tel un jeu d’équilibre visant à réenchanter le monde. Loin des grandes prédictions annonciatrices, ce dossier d’Inexploré lève le voile sur les questions fondamentales que pose l’astrologie et sur ce qu’elle nous invite à découvrir : une dimension quasi mythologique, indéchiffrable sur le plan scientifique mais permettant peut-être, pour les chevaliers les plus aguerris, d’appréhender le zodiaque pour guider nos chemins de vie et établir, qui sait, un lien entre nous et l’âme du monde.

Pour consulter le sommaire et feuilletez le magazine, cliquez ICI

 

 

Édito - par Jean-Michel Grandsire (extrait) :

"La France aime les commémorations et cela tombe à pic car, dans ce Parasciences, nous n'allons pas déroger à la règle. Nous allons, bien sûr, évoquer les 70 printemps des soucoupes volantes... dont la première apparition moderne précède de quelques mois le très fameux crash de Roswell. Nous allons aussi fêter les 100 ans des fées de Cottingley. Ce sera l'occasion de revenir sur un cas qui a défrayé la chronique. Et nous n'oublierons pas, bien entendu, un fait qui aurait pu être anodin mais qui est peut-être le plus important XXe siècle : le miracle de Fátima."

Cette revue étant disponible uniquement sur abonnement, voici le site où vous pouvez vous la procurer : parasciences.net

 

 

 

Sans oublier le dernier petit nouveau mook “Spirit”, que vous pouvez découvrir en cliquant ICI

 

Vient de paraître également le n°4 du magazine trimestriel "Science & Au-delà" que vous pouvez trouver en kiosque.

 

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Praticienne en Fleurs de Bach et Fleurs de l'Atlas

Retrouvez moi sur mon AUTRE BLOG si vous désirez un conseil ou voir les différentes formules et préparations, y compris pour vos animaux :

 

 

Aujourd’hui il est reconnu que la majorité de nos symptômes physiques proviennent d’un déséquilibre émotionnel.

 

Grâce aux Fleurs de Bach ou Fleurs de l'Atlas (Fleurs de Bach sans alcool), vous allez pouvoir rééquilibrer vos émotions et comportements.

 

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