

Éditions Robert Laffont, 2006, 171 pages.
C’est un roman noir à vous glacer le sang, à vous révolter contre Simon, le protagoniste de cette histoire morbide, qui vous entraîne tout au long de ces cent soixante et onze pages dans sa fuite. Pourquoi il fuit me diriez-vous ? Parce qu’il vient de commettre l’irréparable, lui, cet homme qui se complait dans le mensonge pour se montrer irréprochable à la face du monde.
Pourtant, Simon a tout pour être heureux ; un métier dans lequel il excelle, une belle jeune femme, une petite fille de quatre ans adorable. La seule ombre au tableau, c’est sa fille aînée Hélène née d’un premier mariage raté qu’il juge trop grosse et préfère ignorer et malgré les apparences ce n’est pas avec elle qu’il a décidé d’en finir, ce n’est pas elle qu’il transporte dans son errance, au volant d’une Porsche volée quelques heures plus tôt à l’un de ses amis, mais le corps sans vie de sa toute petite fille de quatre ans parce qu’il est incapable de gérer ses émotions et a compris trop tard ce qu’était d’aimer.

L’avis de tous celles et ceux qui ont participé, comme moi, à la petite expérience de marketing éditorial de Nicola Cauchy. (dans l'ordre chronologique) :
Clarabel (bien avant l'opération marketing), Laure, Tamara, Holly, Majanissa, Lily, Anne, Laurence, Sandra, Sophie, Thom, Livrovore & Lhisbei
Je vous invite à lire également l’interview de l’auteur chez Livrovore.
Voir également le blog ainsi que le site de Nicolas Cauchy.