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Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
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"Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde.
Bonne visite à tous !
Découvrez ce long métrage documentaire pour découvrir les valeurs, la pratique et les enjeux de la pédagogie Montessori à travers le quotidien d’une classe maternelle.
Cliquez sur l'image pour obtenir le flyer
«Quelle valeur peut avoir la transmission de la connaissance, si la formation de l’homme est négligée ?» Maria Montessori
Nous rêvons tous d’un avenir radieux pour nos enfants : une vie personnelle féconde et une vie sociale harmonieuse. L’école les y prépare en partie. Alors, quelle pédagogie choisir ? Je vous invite à découvrir celle de Maria Montessori.
Ce documentaire vous invitera à découvrir les grands concepts de cette pédagogie et surtout comment ils se mettent en œuvre dans la réalité du quotidien d’une classe maternelle où Alexandre Mourot a tourné durant toute l’année 2015.
Le programme :
Partir à la rencontre des enfants, observer leur vie libre, et découvrir comment, au fil du temps, grâce à la confiance qui leur est accordée et à l’écoute de leurs besoins, ils gagnent en autonomie, en concentration, en confiance en soi, en auto-discipline, en ouverture sociale… et comment s’éveille en eux l’enthousiasme d’apprendre.
L’enjeu du film est aussi de restituer tous les défis que doit relever Christian Maréchal, qui cherche à exercer toujours au mieux son rôle d’éducateur avec les 28 enfants de 3 à 6 ans de sa classe. Comment s’y prendre pour installer et maintenir une ambiance paisible ? Pour que chaque enfant soit heureux, construise son estime de soi, nourrisse ses potentialités… ?
En voix off : des clefs pour comprendre les valeurs et le fonctionnement de cette pédagogie et Maria Montessori elle-même, grâce à des archives inédites, retrouvées dans le cadre de la préparation de ce film. Seront aussi évoquées les dernières recherches en neurosciences et en psychologie qui viennent confirmer les intuitions de la pédagogue.
Si l’on pense comme Maria Montessori que « l’enfant est le père de l’homme » se laisser guider par ce maître en amour, en enthousiasme, en intelligence, c’est ouvrir un chemin vers la paix et l’élévation de l’humanité.
Pour que ce film puisse se terminer et sortir à l’automne dans les salles, aidez-les à financer ce tout premier film sur la pédagogie Montessori :
Franz-Olivier Giesbert, né le 18 janvier 1949 à Wilmington dans l'État du Delaware, est un éditorialiste, biographe et romancier français. En 1971, il est recruté au service politique du Nouvel Observateur. Il est promu “grand reporter” (septembre 1979) puis correspondant aux États-Unis en janvier 1980. ll est rappelé à Paris en 1981 pour prendre la tête du service politique. Il quitte le Nouvel Observateur le 8 septembre 1988 pour Le Figaro. Il quitte ses fonctions en septembre 2000, et entre à l’hebdomadaire Le Point en qualité de directeur. Il a écrit plus d'une dizaine de romans.
Résumé du livre :
« Si j'ai écrit ce livre, c'est pour tirer les leçons d'une vie passée avec les animaux depuis la petite enfance, à la ferme, puis en ville. Au fil des pages, je vous parlerai de plusieurs de mes amis auxquels, si grands soient mes hommages, je ne pourrai jamais rendre les bonheurs qu'ils m'ont donnés, avec leur candeur et leur humour : un jeune bouc, un vieux perroquet, des chats, des araignées, des bovins ou des chiens. Pourquoi traitons-nous avec tant d'égards les animaux de compagnie, substituts de l'homme, et si mal les bêtes à manger, machines à fabriquer de la viande ? Alors que nous consommons chaque année des milliards d'animaux issus de la terre et de la mer, il est temps que nous descendions de notre piédestal pour les retrouver, les écouter, les comprendre. J'ai voulu aussi lancer un appel pour que cesse le scandale des abattages rituels, halal ou casher, qui imposent à nos soeurs et frères les bêtes des mises à mort dans d'inutiles souffrances. »
Dans cet ouvrage l'auteur témoigne de toutes les leçons de joie et d'amour qu'il a apprises en grandissant en compagnie des animaux. C’est un très bel hommage et également un cri du cœur qu'il leur rend dans lequel il nous invite à nous réconcilier avec le monde animal et surtout à changer nos comportements. Enquêtant sur le monde de la viande, il dénonce également ces abattoirs, cette industrie de la mort où les cadences sont tellement devenues infernales qu'on ne respecte plus l'animal, notamment depuis la production de la viande halal.
« De plus en plus répandue, la pratique de l'abattage rituel a désorganisé davantage encore le système. Qu'elle soit casher dans le rite juif ou halal dans le rite musulman, cette méthode consiste à saigner la bête à vif sans l'avoir étourdie, au prix de souffrances supplémentaires qui, bien sûr, sont niées contre toute évidence par les autorités religieuses. »
Et c'est sans parler des risques sanitaires liés à cette méthode d'abattage : « Quand un bœuf est saigné à vif, toute la merde qui est près de la gorge peut venir souiller le devant de l’animal (épaule, collier, poitrine) », intervient l’artisan charcutier Éric Ospital sur le site 20minutes.fr..
C'est donc un constat affligeant, écœurant que nous dévoile l'auteur !! Je ne pensais pas que l'on était arrivé à un tel point de torture sur nos semblables, car il ne faut pas oublier que nous avons des similarités génétiques reconnues, que ce soit avec le chimpanzé ou le cochon... Alors OUI « Ce sont bien nos frères et nos sœurs » comme le disait Saint-François-d'Assise et il va vraiment falloir les traiter autrement !!
Pour aller plus loin :
Franz-Olivier Giesbert dans l'émission On est pas couché du 11 octobre 2014. Extrait...
Pour aller encore plus loin :
Cette viande, d'animaux abattus dans d'atroces souffrances au nom de croyances islamiques rétrogrades, est maintenant imposée à presque tous les consommateurs, partout en France, malgré les importants risques sanitaires (bactérie e.coli, entre autres) liés à cette méthode d'abattage rituelle et religieuse imposée par l'islam et les consommateurs musulmans.
De plus en plus de citoyens ressentent une saturation temporelle difficile à vivre. L’accélération de notre développement économique et technologique entraîne une désynchronisation croissante avec nos rythmes naturels et avec ceux de la Terre mère.
Petit à petit nous réalisons que ce n’est pas seulement la planète, mais aussi nous-mêmes que nous menons à l’épuisement. Et pourtant, malgré tous les signaux démontrant que l’on touche aux limites du système (environnementales, psychologiques, sociales ou financières), loin de décélérer, nous accélérons davantage !
Ancien trader, Gilles Vernet a travaillé dans les années 90 dans les plus grandes banques internationales (Société Générale, Indosuez, JP Morgan, UBS). Vivant à un rythme frénétique, il a tout quitté en 2001 après avoir appris que sa mère était atteinte d’une maladie incurable. Ce saut dans le vide l’a emmené à se recentrer sur ses passions : l’écriture et la transmission. Il est devenu professeur des écoles dans le 19ème arrondissement de Paris.
Passionné de longue date par la question du temps et du développement exponentiel de la modernité, c’est la lecture du livre « Accélération » d’Hartmut Rosa qui l’a décidé à réaliser un film sur ce sujet. Pour la première fois, un livre proposait une analyse philosophique de ce phénomène dont ses années dans la finance lui avaient montré en même temps le pouvoir et l’absurdité.
En partageant ses interrogations avec ses élèves de CM2 sur l’accélération vertigineuse de notre monde, il a été tellement sidéré par la justesse de leurs réflexions que Gilles Vernet a décidé de les filmer puis d'aller à la rencontre d'experts du sujet.
Pourquoi nos sociétés recherchent-elles toujours plus de croissance ? À quel impératif obéit cette accélération alors même que ces enfants de 10 ans mettent en évidence ses limites?
Un film de Gilles Vernet – 82’ - Distribué par Kamea Meah Films
SORTIE NATIONALE LE 20 AVRIL 2016.
Pour plus d'information, rendez-vous sur le Le site officiel du film toutsaccelere.com
Avec le soutien du CNC - Coup de coeur de la Fondation Nicolas Hulot - Sélectionné au festival de l'éducation d'Evreux.
Pour aller plus loin :
Accélerer ? Mais jusqu'à quand et pour aller où ? Hartmut Rosa, philosophe et professeur de sociologie à l'université d'Iéna, nous livre sa vision de la société moderne à travers le prisme du temps.
Pour aller encore plus loin :
En France, 66% des actifs ont déjà envisagé de changer de métier. C’est un fait, de plus en plus de Français décident de se reconvertir professionnellement. Mais comment allier ses désirs et ses besoins ? Faut-il toujours suivre ses envies ? Les deux invités principaux de l'émission Toute une Histoire ont fait ce choix de changer de vie. Comment un trader est devenu instituteur et un fromager a touché le cœur de millions de Français grâce à la musique ? Vous allez découvrir le parcours hors du commun de Gilles Vernet et Lilian Renaud…
Lilian et Gilles ont tout plaqué pour redonner un sens à leur vie
Un dialogue constructif entre Pierre Rahbi et Paul Watson amène à reconsidérer la place de l’homme et toute perception de la vie sur terre. Une vidéo, réalisée pour le Webzine Colibris avec Zango Médias, immortalise cette rencontre. - See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/31289/pirate-paysan-rencontre-entre-pierre-rabhi-paul-watson#sthash.7FqBmTEx.dpuf
Un dialogue constructif entre Pierre Rahbi et Paul Watson amène à reconsidérer la place de l’homme et toute perception de la vie sur terre. Une vidéo, réalisée pour le Webzine Colibris avec Zango Médias, immortalise cette rencontre. - See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/31289/pirate-paysan-rencontre-entre-pierre-rabhi-paul-watson#sthash.7FqBmTEx.dpuf
Un dialogue constructif entre Pierre Rahbi et Paul Watson amène à reconsidérer la place de l’homme et toute perception de la vie sur terre. Une vidéo, réalisée pour le Webzine Colibris avec Zango Médias, immortalise cette rencontre.
Quand un des pionniers de l’agriculture biologique se retrouve aux côtés d’un "éco-terroriste", leurs voix, celles de la terre et de la mer, font révérence à la nature et marquent, en même temps, le refus de se sentir supérieur à elle. Les deux hommes alertent l’humanité et agissent chacun à leur manière pour prévenir des dégâts environnementaux causés par l’homme. Ils détaillent leur point de vue dans une vidéo de 25 minutes.
Trouver l'harmonie
« Il faut qu’on apprenne que nous sommes la nature », martèle Pierre Rahbi. À sa gauche, l’activiste Paul Watson rappelle le rôle primordiale des océans : « nous ne survivrons pas si l’océan se meurt ». Tout, dans la nature, fonctionne en interdépendance et ces défenseurs de la biodiversité se rejoignent là-dessus.
Pierre Rahbi, fait référence à son ouvrage co-signé avec Jean-Marie Pelt, Le Monde a-t-il un sens ?. Dans cette oeuvre, le philosophe a expliqué l’arrivée de l’homme et décrit un système dynamique basé sur la coopération et l’association bousculé, par la suite, par l’introduction d’une vision duelle née de « l’angoisse de la mort et d’une recherche de sécurité ».
L'homme a besoin de la nature
Les limites de Paul Watson pour s’opposer à tout ce qui vient détruire la vie sont extrêmes. Sans scrupule, il endosse le rôle de "guerrier non-violent" parce que, comme le décrit Pierre Rabhi, il se trouve dans la « nécessité d’intervenir ». Le pirate des océans a été blessé de ne jamais plus revoir de castors lorsqu’il était enfant, car tués par des trappeurs.
Cet instant de philosophique filmé pourrait avoir déclenché d’autres coopérations. Paul Watson et Pierre Rahbi se tournent chacun vers les jeunes et s’inscrivent dans des actions pédagogiques.
Quand un des pionniers de l’agriculture biologique se retrouve aux côtés d’un « éco-terroriste », leurs voix, celles de la terre et de la mer, font révérence à la nature et marquent, en même temps, le refus se sentir supérieur à elle. Les deux hommes alertent l’humanité et agissent chacun à leur manière pour prévenir des dégâts environnementaux causés par l’homme. Ils détaillent leur point de vue dans une vidéo de 25 minutes. - See more at: http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/31289/pirate-paysan-rencontre-entre-pierre-rabhi-paul-watson#sthash.7FqBmTEx.dpuf
Entretien Pierre Rabhi & Paul Watson : Le pirate et le paysan from Mouvement Colibris on Vimeo.
Retrouvez l'article "Le pirate et le paysan" sur bioalaune.com
En dépit du Japon qui a demandé qu'il soit persona non grata, le défenseur des baleines s'est rendu à la COP21 avec le chef Raoni. Lire l'article sur lepoint.fr
Pour aller encore plus loin :
Objectif de la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques à Paris : maintenir la hausse des températures en deçà de 2 degrés. Percutant, dramatiquement réaliste, Urgence ! Si l'océan meurt nous mourrons est un appel au monde à se mobiliser pendant qu'il en est encore temps.Le « capitaine » Watson s'appuie sur ce qu'il définit comme les trois grands piliers de l'écologie la diversité, l'interdépendance et les ressources limitées et affirme que les germes, les vers de terre, les abeilles et les arbres sont plus importants que l'humanité. Provocation ? Conviction. « Nous avons besoin d'eux, l'inverse n'est pas vrai. » Avec un credo : « l'eau est le sang de la planète », l'océan est à la base de tout.Quand on agite les océans et les esprits depuis plus de quarante ans, on ne baisse pas les bras.
La crise écologique est plus grave que jamais, et pourtant la crise financière de 2008 a semblé reléguer la question environnementale au second plan. Mais derrière les écrans fatigués des médias, la pensée écologique s’est remise à bouillonner, et on observe un activisme croissant des citoyens contre la destruction du monde.Il est encore trop tôt pour prétendre unifier l’état actuel de la conscience collective sur l’écologie. […] Entretiens avec des représentants de la nouvelle pensée écologiste post-crise financière, comme Pierre Rabhi, Marie-Monique Robin, Serge Latouche, Catherine Larrère, Jacques Caplat ou Dominique Méda, pour aborder ces préoccupations nouvelles : rejet du dogme de la croissance, préoccupation du bien commun, aspiration à une nouvelle éthique, renouveau du lien avec la nature, etc.
Christiane Singer, née à Marseille en 1943 et décédée le 4 avril 2007 à Vienne en Autriche, à 64 ans, était une écrivaine, essayiste et romancière française. Lectrice à l'université de Bâle, puis chargée de cours à l'université de Fribourg, Christiane Singer se consacrait depuis plusieurs années à ses activités littéraires. Épouse du Comte Georg von Thurn-Valsassina, architecte, elle vivait dans son château médiéval de Rastenberg, non loin de Vienne. Ses parents étaient originaires d'Europe Centrale. Elle a également suivi l’enseignement de Graf Karlfried Dürckheim (disciple de C.G.Jung). Ses romans comme ses essais sont autant de réflexions sensibles pour approcher cette connaissance de soi sans laquelle le monde nous reste opaque et incompréhensible.
Résumé du livre :
Il est difficile au milieu du brouhaha de notre civilisation qui a le vide et le silence en horreur d'entendre la petite phrase qui, à elle seule, peut faire basculer une vie : «Où cours-tu ?» Il y a des fuites qui sauvent la vie : devant un serpent, un tigre, un meurtrier. Il en est qui la coûtent : la fuite devant soi-même. Et la fuite de ce siècle devant lui-même est celle de chacun de nous. «Où cours-tu ?» Si au contraire nous faisions halte - ou volte-face -, alors se révélerait l'inattendu : ce que depuis toujours nous recherchons dehors veut naître en nous.
Le titre résume l'essence de ce livre, puisque Christiane Singer nous invite à nous échapper du brouhaha de notre civilisation afin de mieux nous retrouver. Nombreux sont ceux qui cherchent un sens à la vie et ce n'est pas en courant ainsi que l'on changera ou améliorera notre condition, on va juste finir par s'essouffler. Comme s'essouffle déjà notre civilisation, puisque le monde du dehors ne reflète que l'état du monde intérieur...
Tout sur terre nous interpelle, nous hèle, mais si finement que nous passons mille fois sans rien voir. Nous marchons sur des joyaux sans les remarquer. Les sens nous restituent le sens. Quand l'instant lâche sa sève, la vie est toujours au rendez-vous.
Chercher un sens à tout prix nous empêche de voir les choses essentielles qui peuvent surgir dans notre existence, mieux vaut ne rien chercher du tout, juste accueillir la vie puisque tout est déjà en nous.
La vie n'a pas de sens, ni sens interdit, ni sens obligatoire. Et si elle n'a pas de sens, c'est qu'elle va dans tous les sens et déborde de sens, inonde tout. Elle fait mal aussi longtemps qu'on veut lui imposer un sens, la tordre dans une direction ou dans une autre. Si elle n'a pas de sens, c'est qu'elle est le sens.
Pour aller plus loin :
Deux ans avant sa mort, Christiane Singer parle de comment retrouver la gratitude dans les moments les plus difficiles de notre vie. Comment chaque être peut faire la différence sur cette Terre, et pourquoi s'aimer soi-même dans tous ses opposés est la clé la plus importante et la plus difficile pour cheminer et manifester vers la paix ? De nombreux indices pour avancer vers la guérison au sens global et spirituel du terme.
Émission de 2005, par André Kolly et Daniel Wettstein, avec Evelyne Thevenaz
Je vous invite également à écouter cette petite et magnifique histoire d'un vieux rabbin de Vienne qui, sentant la mort s'approcher, se demande comment il pourrait faire pour aider l'humanité une dernière fois...
Un grand merci à Camille Ré pour cette belle et émouvante découverte !