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  • : Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
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  • : "Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde. Bonne visite à tous !
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7 mars 2023 2 07 /03 /mars /2023 11:33

Edition Faërie's Craft

 

Ce qu'il faut avant tout savoir :

Pascal Cazottesécrivain et historien de passion (plus particulièrement spécialisé dans les périodes médiévales et napoléonienne), mais aussi un amoureux de la langue française. Cela fait également plus de 25 ans qu’il s’intéresse à la cryptozoologie, à l’ufologie, aux anciennes civilisations, à la Gnose, à l’Alchimie et au paranormal en général. Il se définit lui-même comme un historien des mystères de notre monde.

Résumé du livre :

Parmi tous les personnages qui marquèrent l’Histoire, certains se distinguèrent par l’aura de mystère qui les enveloppait. Tel est le cas des dix hommes et femmes dont la vie, souvent extraordinaire, est ici rappelée. Au nombre de ces êtres d’exception, nous trouvons des thaumaturges (ou faiseurs de miracles), comme Apollonius de Tyane et Maître Philippe de Lyon, des voyants, à l’instar de Mlle Lenormand et Papus (ce dernier ayant, de surcroît, développé d’immenses connaissances dans le domaine des sciences dites “ésotériques”), des alchimistes, tels que Nicolas Flamel et le comte de Saint-Germain, auxquels on pourra ajouter Cagliostro (de son vrai nom Joseph Balsamo) qui était également voyant et guérisseur, des aventuriers à l’odeur de soufre, comme le furent Raspoutine et Mata Hari, et, enfin, Kaspar Hauser dont la seule existence demeure l’un des plus grands secrets de l’Histoire. Non seulement le parcours de ces dix personnages est ici dévoilé, mais encore pouvons-nous prendre connaissance de faits à ce point étranges (et fantastiques) qu’ils nous confortent dans cette opinion que la réalité dépasse parfois la fiction…

Extrêmement bien documenté, détaillé, l’ouvrage de Pascal Cazottes lève le voile sur de mystérieux personnages qui marquèrent l’Histoire. Chacune de ces biographies, joliment illustrées, nous amène à reconsidérer le réel, car certains de ces hommes étaient dotés de capacités extraordinaires qui dépassent l’entendement. 

Dès la première histoire, nous entrons en plein dans le prodigieux avec Apollonius de Tyane surnommé "Le Christ grec", car il présente d’indéniables points communs avec Jésus-Christ. Grâce aux écrits de Philostrate, Pascal Cazottes remet en lumière ce fascinant thaumaturge. 

C’est au tour de Nicolas Flamel de passer sous la plume de Pascal Cazottes en nous invitant à suivre le parcours extraordinaire de cet écrivain alchimiste. Puis le comte de Saint Germain, un être exceptionnel aux talents multiples, réapparaît sous nos yeux.

À chaque page, je suis allée d’étonnement en étonnement en découvrant le guérisseur Cagliostro, Mademoiselle Lenormand, la fabuleuse sibylle du Faubourg Saint-Germain, sans oublier l’énigmatique Kaspar Hauser…

Et d’émerveillement en émerveillement avec l’admirable Maître Philippe de Lyon dont l’histoire m’a beaucoup touchée, émue, comme celle du Dr Gérard Encausse dit Papus, un être empli de bonté et de sagesse.

Raspoutine et Mata Hari, ces deux autres personnages qui clos l’ouvrage, sont à l’inverse de ceux présentés précédemment, car même s’ils étaient dotés de certaines capacités que l’on pourrait juger extraordinaires, voire sulfureuses, ils avaient malgré tout le diable dans le corps.

En refermant ce livre, en découvrant tous ces faits rapportés et très bien documentés, je suis restée interloquée par ces compétences prodigieuses collectées par Pascal Cazottes. 

Face à toutes ces capacités spectaculaires, on se dit que l’on est bien loin de comprendre et de connaître ce que nous renfermons au plus profond de nous, sans oublier tout ce mystère, ces réalités visibles et invisibles dans lesquels nous baignons tous.

 

Pour aller plus loin :

Dans cette vidéo, Antoine de MiasmeTV nous présente les nouveaux livres parus aux éditions Faërie’s Craft, dont celui de Pascal Cazottes préfacé par Monseigneur Paul Sanda, où vous pourrez admirer les illustrations de ce bel ouvrage.

 

  • Pour commander l'ouvrage en couleur, c'est ICI ou dans sa version noir et blanc, c'est

 

En bonus :

Pour découvrir l’incroyable destin de Mademoiselle Lenormand, que je vous invite à lire, cliquez sur les liens ci-dessous :

 

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12 février 2023 7 12 /02 /février /2023 18:18

 Carl Gustav Jung a décrit cet incroyable "rêve" dans son autobiographie qui l'a beaucoup marqué...

Une nuit, je ne dormais pas et pensais à la mort subite d’un ami que l’on avait enterré le jour précédent. Sa disparition me préoccupait profondément. 

Brusquement, j’eus le sentiment qu’il était dans ma chambre. J’avais l’impression qu’il se tenait au pied de mon lit et me demandait de venir avec lui. Je ne pensais pas qu’il s’agissait d’une apparition ; au contraire, j’avais de lui une image visuelle intérieure que je pris pour une imagination. Mais en toute honnêteté, il me fallut me demander : 

« Quelle preuve ai-je qu’il s’agit d’une imagination ? Et si ce n’en était pas une ? Si mon ami était réellement présent et que je le prenne pour une figure imaginaire, ne serait-ce pas une inconvenance de ma part ? »

Cependant, j’avais tout aussi peu de preuves pour le croire debout devant moi comme une apparition, c’est-à-dire “réel”. Alors je me dis : 

« Preuve ou non, au lieu de déclarer qu’il ne s’agit que d’une imagination, je puis, avec autant de justification, l’accepter comme une apparition et, au bénéfice du doute, lui accorder réalité, au moins “pour voir” ! »

À l’instant même où je pensais cela, il se dirigea vers la porte et me fit signe de le suivre. En somme, il fallait que je joue le jeu avec lui.

Cela, certes, n’était pas prévu. Je dus par conséquent me fortifier dans mon argumentation. Alors seulement je le suivis en imagination.

Il me conduisit hors de la maison, dans le jardin, dans la rue et finalement dans sa propre maison. (En réalité quelques centaines de mètres la séparaient de la mienne.) 

J’entrai, il me fit pénétrer dans son bureau. Il monta sur un tabouret et m’indiqua le second volume d’une série de cinq, reliés en rouge ; ils se trouvaient tout en haut sur la seconde étagère.

Alors, la vision s’évanouit...

Je ne connaissais pas sa bibliothèque et j’ignorais quels livres il possédait. D’autre part, je n’aurais pu, d’en bas, lire les titres des volumes qu’il avait indiqués puisqu’ils se trouvaient sur la seconde étagère d’en haut.

Cet évènement me parut si étrange que le matin suivant, je me rendis chez la veuve de mon ami et lui demandai de m’autoriser à pénétrer dans la bibliothèque du défunt pour une vérification. 

De fait, il y avait au-dessous de l’étagère vue dans mon imagination un tabouret et, de loin déjà, j’aperçus les cinq volumes reliés en rouge. Je montai sur le tabouret pour en lire les titres. C’étaient des traductions des romans de Zola. 

Le titre du deuxième volume était : Le Voeu d’une Morte

 

Si le contenu parut à Carl Gustav Jung dépourvu d’intérêt, le titre était, par contre, très significatif...

 

Source :

 

 

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26 novembre 2022 6 26 /11 /novembre /2022 15:06

Voici une histoire qui m’a particulièrement marquée. Je l’ai lu bien avant de prendre connaissance des ouvrages qui expliquent l’interaction de notre futur dans notre présent. Mais là, c’est plutôt étonnant, car il s’agit d’une scène du futur qui se déroule au présent et devant plusieurs personnes…

Guy Breton, dans le premier tome des Histoires magiques de l'histoire de France, précise que ces personnes qui eurent cette vision n’étaient pas médiums et que, n’ayant jamais connu auparavant de phénomènes paranormaux, elles n’en connurent plus par la suite.

Cette histoire est rapportée par le professeur allemand Rolf Reissman dans un ouvrage qu’il a consacré à ces phénomènes, et que Guy Breton rapporte dans son livre :

« J’avais alors quinze ans, écrit-il. J’étais en vacances avec quelques cousins chez un de mes oncles, dans un village situé près de Schleswig.

Un soir que tous les hommes de la famille étaient à la Société chorale, les femmes, les enfants et quelques voisins se trouvèrent réunis au salon. C’était au mois d’août, il faisait chaud. Personne n’avait envie d’aller se coucher et nous nous attardions en jouant à différents jeux.

Soudain, par les fenêtres grandes ouvertes, nous voyons une voiture de livraison tirée par deux chevaux s’arrêter devant la maison.

- Qui peut venir à onze heures du soir ? dit ma grand-mère.

Nous nous approchons de la fenêtre et nous voyons deux hommes extraire de leur voiture un grand cercueil. Chargés de cet objet sinistre, ils s’approchent de la maison, ouvrent la porte - qui n’était jamais fermé à clé - et pénètrent dans le vestibule.

Terrifiés, nous voyons alors les deux hommes essayer d’entrer dans le salon où nous étions. Mais le vestibule étant trop étroit et trop court, il ne parviennent pas à faire tourner le cercueil. […]

Les deux hommes retournent dans la rue et, voyant une fenêtre ouverte, pénètrent par ce chemin dans une chambre voisine du salon. Au bout d’un court moment, nous entendons alors très distinctement que l’on cloue le cercueil. 

Puis nous voyons les deux hommes sortir par la fenêtre et remonter dans leur voiture qui disparaît bientôt.

Ma tante, ma mère, ma grand-mère, les voisins et moi-même étions pétrifiés de peur. Au point que personne n’osa aller se coucher. Quand les hommes rentrèrent de la chorale, ma tante leur raconta ce que nous avions vu.

- Un cercueil ? dit mon oncle en riant. Quelle est cette plaisanterie ?  Allons voir cela !

Et il entraîna ses frères et beaux-frères dans la chambre voisine. Nous entendîmes alors mon oncle éclater de rire.

- Ah ! vous nous avez bien fait marcher ! dit-il.

Nous jetâmes un coup d’oeil par la porte. Il n’y avait aucun cercueil dans la chambre…

Mon oncle revint vers nous :

- Alors, on me fait des farces maintenant !

- Mais non, dit ma tante très troublée, je t’assure que nous avons tous vu ces personnages entrer avec un cercueil… Dites-le-lui, vous autres…

Ma mère, ma grand-mère, les voisins en choeur confirmèrent ses propos. Moi-même précisai un détail concernant la forme de la voiture. Mais mon oncle ne voulait rien entendre :

- La farce est finie, disait-il. Allons nous coucher ! 

Ce que nous fîmes finalement, sans parvenir à comprendre ce qui nous était arrivé… Or, une semaine plus tard, mon oncle mourut subitement.

Comme il faisait très chaud, le médecin demanda une mise en bière immédiate. Nous attendîmes tout l’après-midi les employés des pompes funèbres. 

A onze heures du soir exactement, leur voiture s’arrêta devant la maison. Ils y prirent un cercueil, et nous assistâmes alors à toute la scène qui s’était déroulée devant nous, heure pour heure, minute par minute, huit jours auparavant… »

 

Sources

 

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20 novembre 2022 7 20 /11 /novembre /2022 16:52

Editions Véga

 

Ce qu’il faut avant tout savoir :

Caroline Duban est docteure en histoire, auteure et conférencière spécialisée dans l’étude des mentalités, des sociabilités et des croyances. Passionnée par les superstitions et l’ésotérisme, elle cherche à comprendre les nombreux liens entre les peuples, l’évolution de leurs convictions et de leurs pratiques au fil des siècles.

 

Lawrence Rasson est peintre, illustrateur et graphiste diplômé de l’école Émile Cohl, à Lyon. Passionné d’ésotérisme, d’histoire, de fantastique et de féerie, il illustre des ouvrages en lien avec ces thèmes. Il expose ses œuvres et participe à de nombreuses rencontres avec le public. 

 

Résumé du livre :

Les arbres, et plus généralement les forêts, en tant que reflets, sont le parfait miroir de l'humanité. En effet, ce sont des artefacts créés par nos soins à travers les légendes contées au fil des âges. Ils renferment chaque parcelle de nos moindres émotions et relient les forces surnaturelles à notre plan d'existence. L'arbre est à la fois un hôte pour les créatures sylvestres et celles des royaumes divins, mais la forêt, peuplée de fantômes et d'esprits effrayants, peut être un lieu de déperdition de l'âme humaine. Une histoire fascinante entre deux règnes - végétal et animal - liés par un pacte silencieux, indéfectible et éternel. Fondé sur des informations historiques confirmées, ce livre est illustré de nombreuses légendes populaires, connues pour certaines, mais méconnues ou inconnues pour la plupart. Australie, Scandinavie, Afrique, Sibérie, Amériques du Nord et du Sud... les forêts du monde entier déploient leur feuillage et vous invitent à l'introspection, à la connaissance de vous-même et de l'autre, ainsi qu'à la rencontre des sphères subtiles de l'invisible. Soyez les bienvenus, voyageurs et voyageuses !

Préparez-vous, en ouvrant ce livre, à effectuer un fabuleux voyage historique autour des arbres, nos doubles du règne végétal et de leur symbolique dans les cultures de l’humanité. 

« C’est incroyable comme la forêt est une projection de l’âme humaine ! Il est indubitable que l’arbre est une entité à la fois intelligente et sensible, qui reflète avec une parfaite exactitude les recoins de notre être dans sa complexité, sa dualité, sa splendeur et son côté obscur. »

Tout comme l’être humain, si l’arbre s’isole, se coupe de toute communication, de toute substance nutritive avec son espèce, cela l’affaiblira. Ils ont besoin des uns des autres pour exister. 

Caroline Duban nous apprend que les arbres ressentent et peuvent se rapprocher entre eux à chaque saison par des mariages interraciaux. Par contre, comme il a été observé dans la canopée, ils respectent et maintiennent l’espace vital avec les autres. Ce que nous ne faisons pas, ni avec eux, réduisant comme une peau de chagrin leur royaume alors qu’ils nous nourrissent, nous abritent et purifient l’air que nous respirons… 

À travers cette fascinante exploration, ces histoires contées, à chaque fois la forêt devient la scène de théâtre privilégiée, de refuge pour toutes sortes de personnages. Elle peut aussi bien être un repère pour les malandrins et protéger les malheureux. 

Ce paradis terrestre, initiatique et au pouvoir révélateur, miroir de nos propres démons intérieurs, peut parfois se muer en décor d’apparitions éphémères nous offrant des faits remarquables, des récits étonnants, parfois rocambolesques, mais que l’imaginaire collectif a su modeler en véritables légendes.

Cet ouvrage merveilleusement illustré par les splendides dessins de Lawrence Rasson va vous entraîner dans toutes ces forêts merveilleuses à la découverte de tant de personnages que ce soit la fée de Brocéliande et le Chevalier au Lion de la fontaine de Barenton, le petit peuple des folklores autochtone, l’archétype de l’Homme Sauvage, l’arbre aux esprits… tant de récits et légendes incroyables qui nous invitent à une meilleure connaissance de soi. 

 

Pour en contempler quelques pages, cliquez sur les flèches ci-dessous :

Pour aller plus loin :

 

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3 octobre 2022 1 03 /10 /octobre /2022 15:33

Un jour de 1696, François Michel se voit visiter par un mystérieux fantôme qui le presse de porter un message à Louis XIV.

François Michel était maréchal ferrant à Salon, en Provence, ville où vécut et mourut Nostradamus. Il était âgé d'environ trente cinq ans et passait pour un homme honnête et sensé lorsqu’un jour, revenant tard chez lui, il se voit visiter par une mystérieuse et lumineuse apparition qui le presse de porter un message à Louis XIV ou, à défaut, à un de ses ministres.

Dans un premier temps, François Michel est très réticent, car il sait d’avance que ses propos vont le faire prendre pour un extravagant et le maréchal de Salon ne s’empressa point de quitter sa Provence. C’est donc à deux reprises que le fantôme lui rappela sa mission.

Vers le milieu du mois de décembre, François Michel décida de se rendre à Aix pour conter son aventure à l’intendant de Provence. Après l’avoir éconduit plusieurs fois, ce dernier lui donne les moyens de se rendre à Versailles.

François Michel se met en route, accompagné d’un de ses frères. Tous deux accomplissent la plus grande partie du trajet avec un détachement de recrues jusqu’à La Ferté-sous-Jouarre.

Entre temps, le bruit de cette aventure s’était répandu, non seulement à la Cour, mais à travers tout le pays. 

Au printemps 1697, à peine arrivé à Versailles, au milieu d’une curiosité qui éclipsa toutes les autres affaires du temps, François Michel s’adressa au major des gardes du corps déclarant qu’il voulait être conduit auprès du roi pour lui parler en particulier.

Louis XIV le fit renvoyer à M. de Barbezieux. Mais le provençal, fidèle aux ordres qu’il avait reçus, dit qu’il ne voulait parler qu’à un ministre d’État.

Le roi désigna Pomponne qui reçut le maréchal trois fois et, à chaque entrevue, demeura plus de deux heures avec lui. Sur le rapport de Pomponne, le roi réunit un Conseil d’État où il appela ses ministres puis il manifesta le désir de causer lui-même avec François Michel. 

« Il ne s’en cacha point ; il le vit dans ses cabinets et le fit monter par le petit degré qui en descend sur la cour de Marbre, par où il passe pour aller à la chasse ou se promener… »

Il eut par la suite au moins une audience de plus d'une heure auprès de Louis XIV, lequel rabattit l’ironie de certains courtisans en affirmant qu’il avait eu affaire à un homme plein de bon sens. Après ces paroles du roi, la cour fut encore plus curieuse de le connaître. 

Ces entrevues mystérieuses intriguèrent la cour. Spéculations, suspicions de manigance, hommes et femmes de tout milieu cherchent à identifier le spectre et à percer le secret qui fait alors grand bruit en France et en Europe. 

Le Roi-Soleil renvoya François Michel, lui fit remettre quelque argent et écrivit à l’intendant de Provence de veiller au sort du maréchal, sans le détourner de son état. Le bonhomme rentra dans son pays avec un bon cheval et quelques hardes qui, par protection royale, ne furent point visitées dans les bureaux des fermes par où il passa. 

François Michel reprit son métier et répondit au curieux qu’il lui était défendu de parler. « Il ne parut point différent de ce qu’il était auparavant, ne parlait ni de Paris ni de la cour… Surtout, nulle vanterie… » Personne ne put lui arracher son secret.

Plus tard, le roi consentit à faire savoir quel signe lui avait donné de sa mission le maréchal de Salon : « Un jour, Louis XIV avait vu apparaître un fantôme dans la forêt de Saint-Germain ; il n’en avait jamais rien dit à personne ; et c’était ce souvenir que François Michel lui avait rappelé. »

Pour le reste, le secret fut bien gardé...

 

Sources :

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Praticienne en Fleurs de Bach et Fleurs de l'Atlas

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