Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
  • Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
  • : "Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde. Bonne visite à tous !
  • Contact

Catégories

30 août 2006 3 30 /08 /août /2006 22:42

V.Moberg.png


Biographie :

Vilhelm Moberg est né à Algutsboda, Småland au sud de la Suède en 1898. Issu d’une famille de soldats et de petits fermiers, il est essentiellement autodidacte.

Il étudie à la Folk Academy de Grimslöv (1916-1917) et dans une école privée à Katrineholm (1917/1918).

Ensuite, il occupe différents emplois de fermier, de forestier ou d'ouvrier dans une usine de verre soufflé.

Sa première pièce écrite en 1919 est une comédie musicale : KÄRKEK OCH PENGAR. Elle n'a été jouée qu’une fois au profit d’une association caritative.

De 1919 à 1927, Vilhelm Moberg a été journaliste avant de devenir écrivain à plein temps. Le roman qui l'a révélé, Raskens, a été publié en 1927. Documenté avec soin, il évoque les traditions familiales et la vie quotidienne d’un soldat, Rask, et de sa femme Ida, à la fin du 19ème siècle.

Le succès de ce livre a permis à Moberg de se consacrer entièrement à l’écriture. Il publiera plusieurs romans décrivant la vie en Suède, en milieu rural ou citadin, toujours précisément documenté, sans doute à cause de l’influence de sa précédente carrière de journaliste. Le quotidien, les conditions de vie difficiles dans un monde agricole ou industriel en évolution constante, la souffrance à vivre privé de ses racines sont des thèmes fondamentaux dans l'oeuvre de Moberg.

En 1941, dans l’un de ses romans (Ride this night), il décriera ouvertement un épisode survenu durant le règne de la reine Christina. Quand des nobles allemands furent envoyés en Suède pour dominer les paysans suédois indépendants. Il devient alors un écrivain luttant contre la tyrannie et l’oppression. Son roman est un best-seller. Après une trilogie d’histoires assez lyriques, Moberg entreprend sa célèbre saga des émigrants. Il lui consacrera une douzaine d’années de sa vie. Elle sera publiée entre 1949 et 1959.

En 1970, Moberg commence une ambitieuse œuvre historique qui restera inachevée. Il se donne la mort par noyade en 1973.

Comme d’autres écrivains issus de la classe ouvrière de sa génération, notamment Iva Lo-Johansson et Mog Martinson, Moberg a dépeint la vie des petites gens, leurs traditions, leurs usages et leurs combats quotidiens. Son œuvre représente un document important de l’histoire sociale et montre les influences des divers mouvements sociaux et politiques en Suède.


Bibliographie :

* 1995 – Les fiancées de la Saint-Jean, (Éditions
Septentrion),

Ouvrages parus chez Gaïa éditions :

* 1999 – La saga des émigrants - Tome 1 - Au pays,
* 1999 – La saga des émigrants - Tome 2 - La traversée,
* 1999 – La saga des émigrants - Tome 3 - Le Nouveau
             Monde
,
* 1999 – La saga des émigrants – Tome 4 - Dans la forêt
             du Minnesota
,
* 1999 – La saga des émigrants – Tome 5 - Les pionniers
             du Ki-Chi-Saga
,
* 2000 – La saga des émigrants - Tome 6 - L'or et l'eau,
* 2000 – La saga des émigrants – Tome 7 - Les épreuves
             du citoyen
,
* 2000 – La saga des émigrants - Tome 8 - La dernière
             lettre au pays natal
.



Partager cet article

30 août 2006 3 30 /08 /août /2006 22:41


L.Lehtolainen.png


Biographie :

Née en 1964 dans le centre de la Finlande, Leena Katriina Lehtolainen est passionnée de musique, elle pratique le chant, la guitare et le piano.

Précoce, elle publie à 12 ans son premier roman pour la jeunesse, à 17 ans le suivant. C'est en 1993 que paraît Mon premier meurtre , le premier épisode des aventures de l'inspectrice de police Maria Kallio. Il sera suivi de sept autres. Lauréate de plusieurs prix littéraires finlandais, elle est traduite en de nombreuses langues. Certains de ses romans ont été adaptés à la télévision popularisant encore plus le personnage de l'inspectrice Maria.

« Il y a très exactement 29 ans, j’étais à Paris pour la première fois. J’avais 12 ans et j’avais payé mon voyage avec mes premiers droits d’auteur. »

Aujourd’hui, elle en a 41 et est de nouveau à Paris grâce à un livre. Mon premier meurtre est paru en français en septembre 2004 aux éditions Gaïa.

Entre son premier roman et celui dont elle vient de remettre le manuscrit à son éditeur finlandais, il y a eu treize autres livres, dont huit polars de la série Maria Kallio, du nom du personnage principal : une petite femme policière aux cheveux roux, à la volonté de fer et à la langue bien pendue. Dans un univers souvent très machiste, elle fait preuve d’une force de caractère à toute épreuve, tout en restant, dans son quotidien, une femme ordinaire qui jongle entre les horaires de la crèche et les tours de garde.

« J’avais envie que les lectrices puissent se reconnaître dans Maria. Toutes les femmes finlandaises connaissent ce jeu d’équilibriste entre le travail et la famille ! » s’exclame Lehtolainen. Ainsi, tout au long des romans, Maria se posera mille et une questions sur le mariage, tombera enceinte au moment même où une promotion lui est proposée et s’arrachera les cheveux pour faire garder un enfant malade.


Bibliographie :

Ouvrages traduits en français :

* 2004 - Mon premier meurtre, (Éditions Gaïa),
* 2006 - La poisse, (Éditions Gaïa)



Partager cet article

30 août 2006 3 30 /08 /août /2006 22:40


P.P--ju.png



Biographie :

Difficile de percer à jour cet écrivain né à Lyon, pratiquement dans la librairie que son père Raymond Péju ouvre l'année de sa naissance en 1946.

Le jeune Pierre voit y défiler les gloires du Nouveau Roman, de Nathalie Sarraute à Claude Simon, qui accompagnent le fondateur des éditions de Minuit, Jérôme Lindon, grand ami de la famille. Signatures, lectures, souvenir d'un Bernard Clavel attirant les foules...

La philo aura le dernier mot. Etudiée à la Sorbonne, il l'enseigne à Paris puis au lycée international Stendhal, à Grenoble, pendant quatorze ans. Selon sa femme, « Ce prof très aimé de ses élèves attendait qu'ils donnent le meilleur d'eux-mêmes avec une infinie patience, se souvient Philippe Ben Lahcen, l'ancien proviseur du lycée. C'est un esprit très positif ».

Un esprit rebelle aussi qui, en 1968, fondait la revue Chute libre. « C'était poésie et révolution, à l'extrême de la gauche », dixit l'ex-agitateur. Une sensibilité politique héritée du grand-père, Elie Péju, compagnon de la Libération et cofondateur du journal Franc-Tireur en 1941. « Il avait connu ma grand-mère aux Jeunesses communistes. Elle a protégé des juifs et se rendait à l'arrivée des trains qui ramenaient les rescapés. Très jeune, j'ai entendu leurs histoires terribles sur la Résistance et la déportation. J'étais à la fois admiratif et terrorisé. » D'où sa fascination pour les contes ? Martelant que l' « enfantin » n'est pas l' « infantile », Pierre Péju en fera un objet d'études au Collège international de philosophie de Paris. Pour Jean-Pierre Sicre, fondateur des éditions Phébus où sa biographie d'Hoffmann a paru en 1992, « Péju est un écrivain de l'imaginaire, un courant longtemps souterrain et je trouve bien qu'il ressurgisse aujourd'hui en pleine lumière ».

Romancier et essayiste, il est l’auteur de plusieurs romans à succès, tels La petite chartreuse, prix du Livre Inter, traduit en 14 langues et adapté au cinéma en 2005, et Le Rire de l’ogre, prix du roman Fnac 2005, ainsi que des essais sur le conte et sur le romantisme allemand .


Bibliographie :

Littérature :

* 1980 - Vitesses pour traverser les jours, (Éditions
            Maurice Nadeau),
* 1984 - Premiers personnages du singulier, (Éditions
            Robert Laffont),
* 1987 - La part du sphinx, (Éditions Robert Laffont),
* 1996 - La vie courante, (Éditions Maurice Nadeau),
* 1998 - Naissances, (Éditions Gallimard),
* 2002 - La petite Chartreuse, (Éditions Gallimard),
* 2005 - Le rire de l'ogre, (Éditions Gallimard),
* 2007 - Cœur de Pierre, (Éditions Gallimard)

Littérature jeunesse :

* 2004 - Comme deux gouttes d’eau, (Éditions
             Gallimard),
* 2004 - Le Monstrueux, (Éditions Gallimard),

Essais :

* 1981 - La petite fille dans la forêt des contes, (Éditions
            Robert Laffont),
* 1989 - L'archipel des contes,(Éditions Aubier),
* 2000 - Lignes de vies, (Éditions Corti)

Biographie :

* 1988 - Hoffmann et ses doubles, (Éditions Séguier),
* 1992 - L'ombre de soi-même, vie et oeuvre de E.T.A.
            Hoffmann, (Éditions Phébus)


 


Partager cet article

30 août 2006 3 30 /08 /août /2006 22:40




Biographie :

Marianne Rubinstein est née en 1966 à Paris. Elle est maître de conférence en économie à l'université Paris 7.

Elle s'est déjà fait remarquer en publiant chez Verticales une enquête consacrée aux petits-enfants de déportés morts dans les camps - ouvrage qu'avait tenu à préfacer Serge Klarsfeld. Le titre, emprunté au Jules Renard de Poil-de-Carotte, ironique et douloureux, annonçait la couleur : Tout le monde n'a pas la chance d'être orphelin.

Le Journal de Yaël Koppman, publié chez Sabine Wespieser éditeur, est son troisième livre.


Bibliographie :

* 2002 - Tout le monde n’a pas la chance d’être orphelin,
            (Éditions Verticales),
* 2005 - En famille (Éditions Phébus),
* 2007 - Le journal de Yaël Koppman, (Éditions
            Sabine.Wespieser
)


Partager cet article

30 août 2006 3 30 /08 /août /2006 22:40

Romain-Gary.png


Biographie :

Romain Gary, ce romancier français d’origine russe, de son vrai nom Roman Kacew, est né le 8 mai 1914 à Vilnius (Lituanie).
Après le départ de son père du foyer conjugal lorsqu'il était enfant Gary est élevé par sa mère. Il se prétendait juif par sa mère qui pourtant le baptisa catholique à Varsovie où ils vécurent de 1917 à 1928.

Gary arrive avec sa mère en France, à Nice, à l'âge de 13 ans. Il étudie le droit à Paris. Naturalisé français en 1935, il est appelé au service militaire pour servir dans l'aviation où il est incorporé en 1938.

En 1940 il rejoint la France libre où il sert dans les Forces Aériennes Françaises Libres. C'est durant cette période que Romain Kacew choisit le pseudonyme de Gary (signifiant brûle ! en russe). Il termine la guerre comme Compagnon de la Libération et commandeur de la Légion d'honneur.

Après la fin des hostilités, il entame une carrière de diplomate au service de la France. À ce titre, il séjourne en Bulgarie, en Suisse, à New York (aux Nations Unies, 1952-1954), en Bolivie, puis en qualité de Consul général de France à Los Angeles de 1957 à 1961, date à laquelle il se met en congé du ministère des Affaires étrangères.

Il fut l'époux de l'écrivaine Lesley Blanch et de l'actrice américaine Jean Seberg, dont il divorça, un peu plus d'un an après le suicide de celle-ci en septembre 1979 par ingestion de barbituriques. Profondément affecté par son propre vieillissement, il se donne la mort en se tirant une balle dans la bouche, le 2 décembre 1980 à Paris à l’age de 66 ans.

Après sa disparition, on apprit que, sous le pseudonyme d'Émile Ajar, il était également l'auteur de quatre romans dont la paternité avait été attribuée à un proche parent Paul Pavlovitch, lequel avait assuré le rôle d'Ajar auprès de la presse et de l'opinion publique.

Ajoutons qu'Ajar et Gary ne furent pas ses seuls pseudonymes puisqu'il a aussi commis un polar politique sous le nom de Shatan Bogat Les Têtes de Stéphanie, et une allégorie satirique signée Fosco Sinibaldi L'Homme à la colombe.

Romain Gary est ainsi le seul écrivain à avoir jamais été, par volonté de mystification ambiguë (Gary et Ajar signifient respectivement brûle ! et la braise en russe), récompensé deux fois par le Prix Goncourt, la première fois sous son pseudonyme courant, pour les Racines du ciel, en 1956 et la seconde fois sous le pseudonyme d'Émile Ajar, pour La Vie devant soi, en 1975.

Plusieurs de ses livres ont été adaptés au cinéma, notamment Clair de femme (1979) par Costa-Gavras, avec Yves Montand et Romy Schneider dans les rôles principaux, et La Vie devant soi (1977) par Moshé Mizrahi, qui remporta l'Oscar du meilleur film étranger, et dans le rôle de Madame Rosa, Simone Signoret remporta le César de la meilleure actrice.

Romain Gary a également réalisé deux films, pour lesquels il tint en même temps le rôle de réalisateur et celui de scénariste. Cette partie de son œuvre n'a guère connu de succès.

Son oeuvre, dans laquelle il décrit ses personnages avec tendresse et humanité, exploite les idéaux qui ont mené sa vie entière: la lutte contre toutes les formes de fascisme et la recherche de justice et de fraternité.


Pour en savoir plus sur cet auteur rendez-vous chez Binary Coffee


Bibliographie :

Sous le nom de Romain Kacew :

* 1937 - Le Vin des morts

Sous le nom de Romain Gary :

* 1945 - Éducation européenne, (Éditions Calmann Lévy),
* 1946 - Tulipe, (Éditions Calmann Lévy),
* 1949 - Le Grand Vestiaire, (Éditions Gallimard),    
* 1952 - Les Couleurs du jour, (Éditions Gallimard),
* 1956 - Les Racines du ciel, (Éditions Gallimard),
* 1961 - La Promesse de l'aube, (Éditions Gallimard),
* 1961 - Johnnie Cœur, (Éditions Gallimard),
* 1962 - Gloire à nos illustres pionniers, (Éditions
            Gallimard),
* 1963 - Lady L. (Éditions Gallimard),
* 1965 - Pour Sganarelle, (Éditions Gallimard),   
* 1966 - Les Mangeurs d'étoiles, (Éditions Gallimard),
* 1967 - La Danse de Gengis Cohn, (Éditions Gallimard),
* 1968 - La Tête coupable, (Éditions Gallimard),)
* 1969 - Adieu Gary Cooper, (Éditions Gallimard),
* 1970 - Chien blanc, (Éditions Gallimard),
* 1971 - Les Trésors de la Mer Rouge, (Éditions
            Gallimard),
* 1972 – Europa, (Éditions Gallimard),
* 1973 - Les Enchanteurs, (Éditions Gallimard),
* 1974 - La nuit sera calme, (Éditions Gallimard),
* 1975 - Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus
            valable, (Éditions Gallimard),
* 1977 - Clair de femme, (Éditions Gallimard),
* 1977 - Charge d'âme, (Éditions Gallimard),
* 1979 - La Bonne Moitié, (Éditions Gallimard),
* 1979 - Les Clowns lyriques, (Éditions Gallimard),
* 1980 - Les Cerfs-volants, (Éditions Gallimard),
* 1981 - Vie et mort d'Emile Ajar, (posthume), (Éditions
            Gallimard)

Sous le pseudonyme d'Émile Ajar :

* 1974 - Gros-Câlin, (Éditions Mercure de France),
* 1975 - La Vie devant soi, (Éditions Mercure de France),
* 1976 - Pseudo, (Éditions Mercure de France),
* 1979 - L'Angoisse du roi Salomon, (Éditions Mercure de
            France)

Sous le pseudonyme de Fosco Sinibaldi :

* 1958 - L'Homme à la colombe, (Éditions Gallimard)

Sous le pseudonyme de Shatan Bogat :

* 1974 - Les Têtes de Stéphanie, (Éditions Gallimard)



Partager cet article

Association loi 1901

Les Lectures de Florinette

à Audenge (33)

------------------------

Objectif de l'Association

------------------------

------------------------

------------------------

Conférences

à venir...

------------------------

Évènements passés

------------------------

Catalogue

Livres à disposition

 

------------------------

------------------------

 

@ Pour m'écrire

EnveloppeMail.png

FLEURS DE BACH

Praticienne en Fleurs de Bach et Fleurs de l'Atlas

Retrouvez moi sur mon AUTRE BLOG si vous désirez un conseil ou voir les différentes formules et préparations, y compris pour vos animaux :

 

 

Aujourd’hui il est reconnu que la majorité de nos symptômes physiques proviennent d’un déséquilibre émotionnel.

 

Grâce aux Fleurs de Bach ou Fleurs de l'Atlas (Fleurs de Bach sans alcool), vous allez pouvoir rééquilibrer vos émotions et comportements.

 

Recherche