11 novembre 2007
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Éditions Le Dilettante, 156 pages
Lors de leur séjour en Italie, Alain et sa petite amie Clara se font aborder par un étrange individu vêtu d’un long manteau beige qui leur propose de les prendre en photo devant la fontaine de Trevi.
De prime abord, l’intention semble anodine et amicale, mais en redonnant l’appareil photo à Alain, l’individu au regard intense et autoritaire lui déclare « Il ne vous reste qu’une photo à prendre » et repart en lui laissant au préalable sa carte de visite.
Alain, qui vient de ressortir cet appareil après vingt ans de placard suite à la mort tragique de son premier amour M., est intrigué par cette phrase qui résonne dans sa tête comme un ultimatum, un avertissement de la même sorte que « Il ne vous reste plus qu’un jour à vivre ; il ne vous reste que dix mots à dire ». Il décide de se rendre à l’adresse indiquée sur la carte.
Le voilà maintenant face à un drôle de défi, engagé dans un jeu tout à fait pacifique avec quatre autres participants qui ont tous le même pacte à respecter : une dernière image à capter.
Encore une fois, après Le Cri, Laurent Graff a su capter mon attention, tout en déclenchant en moi une foule de questions restées sans réponse, quelle serait ma dernière photo si j’avais à choisir ?
Dans cette histoire qui tend vers le fantastique, c’est plus qu’un simple clic-clac qui nous est révélé, elle nous mène à réfléchir sur nos priorités, car cette dernière prise peut être le symbole d’une fin, mais aussi d’un commencement.
Les avis de Clarabel, Dda (Biblioblog), Tamara, Eric, Emeraude, Clochette, Stéphanie & Caro[line]
Publié par Florinette
9 novembre 2007
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Éditions Joelle Losfeld, 278 pages
Traduit de l’anglais par Lazare Bitoun.
Mike Hannah est un détective privé qui vient de fêter ses quarante ans. C’est un âge qu’il n’a jamais trouvé particulièrement intéressant et il ne croit pas que sa vie en soit arrivée à un point où elle va commencer, il pense qu’elle va tout simplement se poursuivre.
Mais depuis qu’il s’est blessé au dos en jardinant, il se retrouve en partie paralysé et passe le plus clair de son temps à observer ses voisins, comme James Stewart, le héros de « Fenêtre sur court » son film préféré. À force de surveiller les autres, Mike passe par toutes les interrogations, multiplie les allégations et se rend vite compte qu’il est passé à côté de son existence.
Pourtant, jusqu’à présent Mike menait une vie bien tranquille dans une banlieue cossue de Londres, avec sa femme et ses deux fils. Mais depuis son immobilisation, il ne peut s’empêcher de repenser au passé, plus particulièrement à Sarah, une ancienne petite amie qu’il n’a pas revue depuis vingt ans et qu’il rêve de retrouver juste comme ça pour savoir qu’elle aurait été sa destinée s’il l’avait épousée.
Que dire de ce roman si ce n’est que je me suis ennuyée, attendant un quelconque rebondissement pour me sortir de ma torpeur, mais hélas cela n’a pas été le cas, jusqu’au bout ce fut le calme plat. Dommage !
L'avis (similaire) de Laurence
Publié par Florinette
9 novembre 2007
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Devant l’engouement qu’a suscité le livre « Belle mère » de Claude Pujade-Renaud si vous le désirez, vous pouvez vous inscrire pour permettre à ce livre de voyager. Le premier qui se manifestera, dans les commentaires, recevra le livre et s’engagera à le faire suivre aux autres participants ! C’est à vous !
P.S. : Ce petit livre a pris son envol pour aller à la
rencontre de :
YueYin, Maijo, Nathalie, Amanda, Gambadou, Antigone, Ptitlapin, Sophie, Véronique, Malice, Katell, Lucy, Goelen, Martine Galati, Mireille, La Pyrénéenne, Jumy, Alex des Couassous, Denis & Fabienne, Karine, InFolio...
Publié par Florinette
9 novembre 2007
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Je ne trouve pas les mots pour exprimer ce que je ressens dès que j'écoute cette chanson, ce moment d'émotion je veux tout simplement le partager avec vous...
Publié par Florinette
8 novembre 2007
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Éditions Boréal, 1976, 185 pages.
Ce livre comporte six histoires, des histoires d’enfants quand Gabrielle Roy était une toute jeune et novice enseignante dans la province canadienne au Manitoba. Ce récit est un concentré de tendresse qui se lit lentement, se savoure. Chacune de ses expériences est chargée d‘émotion et elle décrit avec beaucoup de pudeur et d’humanité le portrait de chacun de ses élèves qui ont marqué sa mémoire.
C’est une traversée dans le monde de l’enfance avec ses joies et ses peines. L’amour et ce besoin de partage, qui animent tout le livre, aident Gabrielle Roy à se sentir plus proche de ses élèves, à lutter pour obtenir le meilleur de chacun. Lire ce livre, c’est s’offrir un moment de pur bonheur, merci Alice pour cette magnifique découverte !
Je vous conseille de visiter un site très intéressant qui parle de Gabrielle Roy : ICI
Alice, Sylire & Lily sont également tombées sous le charme de ce petit livre
Publié par Florinette