27 janvier 2008
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Publié par Florinette
25 janvier 2008
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Éditions Buchet Chastel, 2003, 176 pages.
Quatrième de couverture :
Un matin de mai 1984, un jeune homme se met en règle avec sa conscience. Victime d’une malédiction familiale, il se sait condamné à mourir bientôt. Sa vie est, en effet, dominée depuis l’enfance par la figure d’un double : celle d’un oncle et parrain précocement disparu dont il a acquis la certitude d’être la réplique et de reproduire le destin. Ne voulant recevoir sa mort de personne d’autre que de lui-même, il décide de se supprimer le jour de ses vingt ans.
Les petits et grands événements de cette journée d’anniversaire vont alors s’entrelacer avec le manuscrit qu’il rédige pour expliquer son geste. Souvenirs, passage de sa fiancée, visite des parents, irruption d’un ami, d’un importun ou d’une jolie voisine sont autant d’occasions pour lui d’apurer ses comptes, de procéder à la liquidation de son passé.
Cependant, tandis que les heures passent, que des émotions de plus en plus violentes l’assaillent et que son histoire se précise, une question se pose avec une acuité grandissante : est-il vraiment le maître de son destin? Ou n’en est-il que le jouet ?
Avant de créer ce blog, je tenais un cahier de lecture où je consignais toutes mes appréciations. En le feuilletant, je suis tombée sur ce livre dont l’histoire m’est soudain revenue en mémoire. Voici ce que j’en avais pensé :
Sous une plume saisissante et persifleuse, ce roman d’humour noir, racontant les vingt-quatre heures d’un jeune homme de vingt ans qui veut en finir avec la vie prenant modèle sur son parrain disparu tragiquement au même âge que lui, se présente en 24 chapitres ce qui permet, heure après heure, de suivre le déroulement de cette folle et angoissante journée.
Me laissant emporter par les émotions de ce jeune homme, plus je tournais les pages et plus je me posais la question face à ses introspections en me demandant sans cesse comment tout cela allait finir. Puis le jour fatidique arrive, Marc est assailli par le doute, la peur, il décide de rédiger un manuscrit de 70 pages s’intitulant
« Méditations d’un renégat » afin d’expliquer son geste, mais tout ne va pas se passer comme il l’avait imaginé…Un roman plein de finesse et d’humour dévastateur !
Le site officiel de l'auteur
Existe en poche
Publié par Florinette
25 janvier 2008
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Biographie :
Philippe Ségur est né en 1964.
Cet enseignant en droit à l'université de Perpignan durant plusieurs années est avant tout un écrivain talentueux et reconnu. Parmi ses ouvrages les plus importants, on peut citer Métaphysique du chien (2002) et Poétique de l'égorgeur (2004), tous deux récompensés de plusieurs prix littéraires, ou plus récemment Seulement l'amour en 2006 et Écrivain (en 10 leçons) en 2007.
De sa plume drôle et percutante, il aborde des thèmes universels ou plus personnels. Philippe Ségur a développé un style singulier, marqué par des inspirations qu'il puise dans la musique ou encore le cinéma.
Le site officiel de l'auteur
Bibliographie :
Romans :
* 2002 - Métaphysique du Chien, (Éditions
Buchet-Chastel),
* 2003 - Autoportrait à l'ouvre-boîte, (Éditions
Buchet-Chastel),
* 2004 - Poétique de l'égorgeur, (Éditions
Buchet-Chastel),
* 2006 - Seulement l'amour, (Éditions Buchet-Chastel),
* 2007 - Écrivain (en 10 leçons), (Éditions
Buchet-Chastel)
Poésies :
* 2007 - Messal, (Éditions Noir & Blanc)
Essais :
* 1996 - Le pouvoir et le temps, (Éditions Albin Michel),
* 1998 - La crise du droit d'asile, (Éditions Presses
Universitaires de France)
Publié par Florinette
24 janvier 2008
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Interprétée par Katie Melua
À chaque fois que j'entends cette chanson, j'ai des frissons...
Publié par Florinette
23 janvier 2008
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Éditions du Rouergue, Collection doAdo, 2006, 74 pages.
A partir de 10 ans.
L’entrée au collège est un cap difficile à passer et Boris n’échappe pas à la règle. Il commence par être la risée de ses petits camarades à cause de ses chaussures rouges qui lui valent le surnom de « Boris le clown ». Maintenant sa vie vestimentaire devient un vrai casse-tête.
Pour ne plus se faire remarquer et être tranquille, Boris va se ranger du côté des durs, des meneurs, même si bien souvent il n’est pas d’accord avec leur façon de faire, leur volonté de diriger en terrorisant tout le monde.
Du plus faible à l’enseignant, la violence et les injures n’épargnent personne et Boris, qui ne peut se défaire de leur emprise, se retrouve expulsé pour avoir participé à un jeu stupide d’une extrême cruauté qui a envoyé Teddy à l’hôpital. Face à l’abattement de son père, Boris réalise qu’il est préférable de lutter contre la peur, l’agressivité, de prendre son courage à deux mains afin de faire les choses comme on les entend sans s’impliquer dans des situations avec lesquelles on n’est pas d’accord.
Ému par des images lors des informations télévisuelles, Boris a une idée, il va faire une action qui lui donne envie de grandir et ce coup-ci, son père sera fier de lui.
Cette petite histoire, composée de sept chapitres, montre bien la cruauté de certains collégiens prêts à tout pour se rendre intéressants en écrasant et terrorisant les plus faibles qui par peur choisissent le camp des bourreaux à celui des victimes en commettant des actes qui regrettent par la suite.
Avec émotion et justesse, Hélène Vignal (que j’ai découvert récemment grâce à Lily avec Trop de chance) amène à la réflexion sur la façon de se comporter, qu’il est préférable de faire un choix en accord avec soi-même et non contre sa volonté.
Joelle et Laurent l'ont également lu et aimé.
Publié par Florinette