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  • : Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
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  • : "Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde. Bonne visite à tous !
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2 février 2008 6 02 /02 /février /2008 12:28


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undefinedJe n’ai plus les idées claires en ce moment, la fatigue se fait trop ressentir.

Pour retrouver l’énergie nécessaire afin de vous parler de mes lectures en cours, dont le premier tome d’une jolie trilogie qui s’intitule « Les Petites Filles de Décembre », je vais prendre une petite pause de quelques jours.

Je vous laisse avec une photo du magnifique bassin d’Arcachon où je demeure en vous souhaitant un bon week-end et une bonne semaine à venir.

Bisous à tous et à toutes !

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31 janvier 2008 4 31 /01 /janvier /2008 11:54

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Éditions Actes Sud, 2006, 653 pages.
Traduit du suédois par Lens Grumbach et Marc de Gouvenain.



Mikael Blomkvist a retrouvé son poste de rédacteur au journal Millénium avec une satisfaction colossale, comme une vengeance et une brillante réhabilitation après son séjour dans le caniveau journalistique. Mais sa satisfaction ne va guère durer, au bout de quelques semaines, il en a déjà marre de toute cette agitation autour de l’affaire Wennerström. Il ne pense qu’à une chose : retrouver Lisbeth Salander qui s’est volatilisée du jour au lendemain sans laisser d’adresse ni d’explication.

Dag Svenson recherche un éditeur pour publier son livre sur le trafic sexuel des jeunes filles issues du pays de l’Est. Une enquête explosive que Millénium n’hésite pas à prendre en charge. Mais faire la lumière sur le plus gros iceberg dans le paysage de la criminalité suédoise ne va pas plaire à tout le monde et une série de meurtres va se succéder.

Après le coup de coeur pour la première partie de cette trilogie, la deuxième est encore plus prenante, explosive. Elle fourmille de détails, de rebondissements. Dès les premières pages, le ton est donné et le lecteur se trouve sans cesse sollicité, interpellé par l’auteur qui fait avancer son histoire sur plusieurs fronts enchaînant ainsi les révélations.

Malgré son poids, 653 pages, je suis restée scotchée au livre. À aucun moment, je ne voulais le lâcher. On se laisse happer avec délice par le formidable suspense qui va crescendo tout au long du roman. C’est du grand art, un polar à vous couper le souffle !! Maintenant, j’ai hâte de savoir ce qui m’attend dans la troisième et dernière partie !


Découvrez sans plus tarder le tome 1 et le tome 3


Petite précision complémentaire : Cet écrivain, grand rédacteur en chef d’un mensuel spécialisé dans la dénonciation des mouvements néofascistes, menacé de mort a plusieurs reprises pour ses enquêtes dérangeantes, a été foudroyé en 2004 par une crise cardiaque à l’âge de 50 ans, juste la veille d’avoir remis les trois tomes de la trilogie Millénium à son éditrice en lui disant « j’ai écrit ça en pensant à mes vieux
jours… », hélas, il n’aura jamais vu de son vivant un seul exemplaire imprimé !
Pour plus d'informations voir sa biographie.




Vous êtes déjà nombreux à avoir lu et aimé ce livre comme Nina, Ptitlapin, Cathulu, Gachucha, Fashion, Amanda, Camille, Emeraude, Cathe...(Désolée, mais il y en a tellement que je n'ai pas le temps de tous les rechercher, alors n'hésitez pas à laisser votre lien en commentaire, je le rajouterai !)





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30 janvier 2008 3 30 /01 /janvier /2008 15:15

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Éditions Actes Sud, 117 pages, 1993.


Quatrième de couverture :

Françoise Lefèvre s’en prend ici aux rabat-joie, aux empêcheurs de danser en rond, de donner son amour, d’assouvir ses désirs, d’organiser ses partages. Maîtres d’école, censeurs familiaux, amants fourbes, écrivains avides, éditeurs tyranniques, plombiers défaillants, tous sont exécutés d’une plume vengeresse, tous… pour que réparation soit faite, pour que place nette soit acquise enfin (sous l’œil complice de Victor Hugo) aux choses les plus tendres, les plus belles, les plus sensuelles…


Dans ce livre, Françoise Lefèvre ouvre encore plus son cœur, se met à nu, parle de son métier d’écrivain, sa passion pour l’écriture, ses difficultés…Elle ose dévoiler l’homme à la gabardine qui la protège depuis toute petite, qui marche dans ses pas et lui dicte ses mots.

« Parfois, je regardais derrière moi si on me suivait. Quelqu’un cherchait à me parler. Une présence me collait aux talons. On me soufflait des phrases. On marchait à mes côtés, une main sur mon épaule. Je me sentais invincible. »

Cela m’a fait penser à un passage d’un film que j’ai vu il y a très longtemps. Une femme qui ressent, comme l’auteur, une présence derrière elle « un protecteur, un ange gardien ». Un jour, sentant la solitude la submerger, elle lui demande : « pourquoi quand je marche dans le sable et que je me retourne, je ne distingue que l’empreinte de mes pas ? » et la voix lui répond « car à ce moment-là, c’est moi qui te porte. » L’auteur nous invite à pénétrer dans son intimité la plus secrète et la plus mystérieuse.

C’est aussi un cri, un coup de gueule qu’elle vocifère à tous ces empêcheurs de penser comme elle le désire, de vivre comme bon lui semble, loin de cette société où il faut faire comme tout le monde au risque de se sentir rejetée ou passer pour une illuminée.

Elle revient également sur Blanche, cette cantatrice éloignée de la scène par un mal terrible, qu’elle évoque dans Le Petit Prince cannibale. D’un seul coup, elle dit toute la vérité. J’ai beaucoup aimé cette continuité de l’histoire où elle révèle l’amour de cet homme qui l’attend sur le quai de la gare…
 
Quelque temps après la parution de son livre, Françoise Lefèvre a reçu une lettre émouvante d’une dame très âgée qui termine sa confidence par ces quelques mots : « Blanche, c’est vous, Blanche c’était moi.»







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27 janvier 2008 7 27 /01 /janvier /2008 12:56

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Éditions Dargaud, 2000, 48 pages.

Prix du meilleur premier album au festival de Lys-lez-Lannoy en 2000.
Nominé pour l’Aph-Art coup de cœur du Festival international d’Angoulême.
Prix spécial au festival du Roeulx (Belgique).
Prix interfestivals.
Prix Némo au festival de Maisons-Laffitte.
Prix du meilleur album et meilleur dessin au salon de Barcelone (Espagne).
Prix du meilleur dessinateur de bande dessinée réaliste décerné par la magazine Diaro de Avisos (Espagne, Canaries) en 2001.
Prix découverte au festival de Sierre (Suisse).
Prix du meilleur dessin au Festival de Chambéry (2001).



« Quelque part entre les ombres » est la première aventure du détective John Blacksad.

Blacksad est un chat noir au museau blanc qui exerce la fonction de détective privé dans le New York anthropomorphisme des années 1950. Cet ancien vadrouilleur est souvent d’humeur sombre et a perdu toutes ses illusions sur le monde qui l’entoure. Mais cela ne l’empêche pas de se battre pour un peu de justice.

L’actrice Natalia Wilford est retrouvée morte. John Blacksad décide de prendre l’affaire en main pour retrouver coûte que coûte l’assassin de son ex-fiancée.

J’ai été subjuguée par cette bande dessinée digne d’un scénario de polar grandement mené. Le graphisme est somptueux, les détails sont d’une précision étonnante ainsi que les expressions humaines qui transparaissent sur ces visages qui nous font presque oublier le faciès animal. Pour résumer, Blacksad, qui a remporté de nombreux prix comme vous pouvez le constater, est une création artistique et scénaristique de talent qu'il faut à tout prix découvrir !





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25 janvier 2008 5 25 /01 /janvier /2008 19:35

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Éditions Buchet Chastel, 2003, 176 pages.



Quatrième de couverture :

Un matin de mai 1984, un jeune homme se met en règle avec sa conscience. Victime d’une malédiction familiale, il se sait condamné à mourir bientôt. Sa vie est, en effet, dominée depuis l’enfance par la figure d’un double : celle d’un oncle et parrain précocement disparu dont il a acquis la certitude d’être la réplique et de reproduire le destin. Ne voulant recevoir sa mort de personne d’autre que de lui-même, il décide de se supprimer le jour de ses vingt ans.

Les petits et grands événements de cette journée d’anniversaire vont alors s’entrelacer avec le manuscrit qu’il rédige pour expliquer son geste. Souvenirs, passage de sa fiancée, visite des parents, irruption d’un ami, d’un importun ou d’une jolie voisine sont autant d’occasions pour lui d’apurer ses comptes, de procéder à la liquidation de son passé.

Cependant, tandis que les heures passent, que des émotions de plus en plus violentes l’assaillent et que son histoire se précise, une question se pose avec une acuité grandissante : est-il vraiment le maître de son destin? Ou n’en est-il que le jouet ?


Avant de créer ce blog, je tenais un cahier de lecture où je consignais toutes mes appréciations. En le feuilletant, je suis tombée sur ce livre dont l’histoire m’est soudain revenue en mémoire. Voici ce que j’en avais pensé :

Sous une plume saisissante et persifleuse, ce roman d’humour noir, racontant les vingt-quatre heures d’un jeune homme de vingt ans qui veut en finir avec la vie prenant modèle sur son parrain disparu tragiquement au même âge que lui, se présente en 24 chapitres ce qui permet, heure après heure, de suivre le déroulement de cette folle et angoissante journée.

Me laissant emporter par les émotions de ce jeune homme, plus je tournais les pages et plus je me posais la question face à ses introspections en me demandant sans cesse comment tout cela allait finir. Puis le jour fatidique arrive, Marc est assailli par le doute, la peur, il décide de rédiger un manuscrit de 70 pages s’intitulant
« Méditations d’un renégat » afin d’expliquer son geste, mais tout ne va pas se passer comme il l’avait imaginé…Un roman plein de finesse et d’humour dévastateur !


Le site officiel de l'auteur



Existe en poche
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