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  • : Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
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  • : "Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde. Bonne visite à tous !
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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 09:27

 

PETITE INFO COMPLÉMENTAIRE POUR L'ARTICLE CI-DESSOUS

L'EMI DE PAMELA REYNOLDS...

 

Je vous invite également à lire l'interview de Pamela Reynolds sur le site de L'INREES :

Aux frontières de la mort avec Pamela Reynolds


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15 mars 2011 2 15 /03 /mars /2011 09:38

Le chirurgien cardiologue, Michael Sabom, l'un des fondateurs de l'association internationale pour la recherche sur la mort imminente, exerce à l'hôpital Saint-Joseph dans l'Atlanta quand il tombe sur un cas inhabituel : celui d'une patiente, Pamela Reynolds, qui était morte selon les critères actuels de la médecine et dont les médecins possèdent toutes les données minute par minute, même les mesures des courants cérébraux.

Dans le cas de cette patiente, il s'agissait d'enlever un anévrisme dans le cerveau qui se trouvait à un endroit très difficile d'accès. Pour que cette intervention puisse se faire, pas une goutte de sang ne devait circuler dans le cerveau. Après le début de la narcose, pour protéger le cerveau contre le manque d'oxygène, le corps a été placé en hibernation à 15,5°.

Après lui avoir mis des écouteurs sur les oreilles, émettant un cliquetis très rapide et très fort de l'ordre de cent décibels, pour enregistrer l'activité électrique du cerveau, mis du sparadrap sur ses yeux, pour les maintenir clos afin d'éviter tout dessèchement, et l'anesthésier complètement, l'intervention commença :

« Une incision avait été pratiquée sur l'artère fémorale droite, mais elle s'est révélée trop étroite, aussi a-t-il fallu refermer et ouvrir l'artère de la jambe gauche. Pam Reynolds dit s'être réveillée hors de son corps pendant cette procédure alors qu'elle entendait un bourdonnement. Étant musicienne, elle a pu identifier la note précise de ce bourdonnement. C'était le son de l'instrument qu'on utilisait pour lui ouvrir le crâne. Elle a parfaitement décrit cet instrument bien qu'il soit très inhabituel. [...] Elle rapporte également que lorsqu'elle est sortie de son corps, et regardait l'opération, elle a entendu la femme chirurgien dire : "Ce vaisseau est trop petit. Il va falloir ouvrir l'autre côté." Pam Reynolds n'avait pas rencontré ce médecin auparavant et ne savait même pas qu'il s'agissait d'une femme¹. »   Dr Bruce Greyson, professeur de psychiatrie, directeur de la Division of Perceptual Studies et du département de médecine psychiatrique de l’Université de Virginie.

 

 

En plus, c'est l'une des premières fois que les médecins ont les enregistrements médicaux. Ils ont pu donc étudier l'activité des ondes cérébrales, ils ont pu également analyser tout ce qui s'est passé dans le corps physique au moment où cette expérience s'est produite.

Cette étude leur a permis de répondre à des questions telles que :

- L'EMI* est-elle déclenchée par une crise du lobe temporal ou par une certaine activité électrique dans le cerveau ? La réponse a été non, parce que les ondes cérébrales étaient plates et que le tronc cérébral était inactif au moment précis où cette expérience a eu lieu...(voir la vidéo)

Tous les médecins, les neurologues, les chercheurs qui se sont penchés sur les EMI en arrivent à la même conclusion : une partie de nous a la possibilité de percevoir, de ressentir, de se souvenir sans le support matériel du corps, sans que le cerveau soit actif. Quelque chose peut continuer d’exister pleinement lorsque le corps est hors d’état de fonctionner. Conscience²... Voilà, le mot est enfin lâché !

 

* Expérience de Mort Imminente

1. Extrait, p.93, du livre de Stéphane Allix "La mort n'est pas une terre étrangère" aux éditions Albin Michel

2. Ibid. p.96.

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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 09:33

 

Ces-voix-venues-de-l-au-dela.jpg

Ce qu'il faut avant tout savoir :

J.Riotte

Jean Riotte, ancien avocat de droit international, naguère admis à l'honorariat, était un rationaliste et "réaliste" convaincu avant de s'intéresser au phénomène de la transcommunication instrumentale. 

Résumé du livre :

Pilote de chasse, Pascal a préféré mourir aux commandes de son appareil afin de le détourner des habitations.

République du Centre du 9 juin 1988

article-journal.jpg

Demeurés inconsolables, ses parents, après avoir reçu des signes troublants de Pascal, se sont penchés sur le phénomène de la transcommunication instrumentale qui avait été mis en évidence, dans les années 50, par des prêtres catholiques qui avaient capté et enregistré des messages de disparus.

stylo bleu reduit

Mais bien avant cela, plusieurs savants de grand renom avaient déjà consacré à l'étude de ces signes reçus de l'au-delà une grande partie de leurs temps en déployant la même rigueur scientifique que pour leurs autres travaux. Des gens comme l'astronome Camille Flammarion, Victor Hugo, le physicien et chimiste William Crookes, Pierre et Marie Curie, le colonel Albert de Rochas, administrateur de l'École polytechnique, Sir Oliver Lodge, Charles Richet, prix Nobel de médecine, William James, professeur de psychologie et de philosophie à l'université de Harvard, Edison, l'inventeur de l'ampoule électrique et des premiers phonographes, Marconi, qui a établi les premières communications radio...la liste serait trop longue et comme le dit si bien le père François Brune qui a préfacé ce livre :

" il est vrai que les travaux de ses scientifiques n'avaient pas obtenu la reconnaissance nécessaire pour faire reculer le matérialisme dominant. Loués, admirés universellement pour leurs découvertes dans la mesure où elles avaient des applications directes dans notre monde matériel, leurs recherches sur le monde des esprits étaient passées sous silence comme s'il s'agissait de faiblesses un peu honteuses."

Et à Jean Riotte de rajouter :

" Edison et Marconi ont, chacun de son côté, proclamé la survie de nos disparus malgré ce que nous appelons improprement leur mort. L'un comme l'autre ont même affirmé, vers 1920, qu'un jour prochain les progrès de la science nous permettraient de fabriquer des appareils aptes à recueillir les paroles de nos aimés. Ils ajoutaient que ceux-ci tentent constamment de se faire entendre de nous et attendaient ce tournant technique historique avec fébrilité."

Depuis ce fait dramatique, Jean Riotte et son épouse ont reçu un nombre considérable de messages de leur fils Pascal. Dans cet ouvrage, ils retracent leur cheminement, avouent leurs doutes et rendent compte de leurs résultats, après analyse critique de chaque message, en montrant comment ils ont réagi devant chacun des contacts, éliminant peu à peu par le raisonnement toute autre interprétation possible pour en arriver à la conclusion qu'il s'agit bien à chaque fois d'un authentique contact.

"Certains se contentent, se refusant à approfondir un phénomène aussi paradoxal, de l'évincer prestement en le baptisant “syndrome de deuil”, ce qui ne signifie rien, si ce n'est que les survivants, même à l'état de veille et en possession complète de leurs sens et de leur intelligence, les auraient perdus un instant, un très long instant de raison ou plutôt de déraison. Le mérite de cette explication, indépendamment de son aspect peu scientifique, est son caractère expéditif. Malheureusement pour les tenants de l'égarement, la révélation que je reçus trois semaines plus tard me confirme que mon esprit ne s'est nullement égaré."

Ce témoignage très documenté que nous livre l'auteur est aussi émouvant qu'étonnant, car, comme le dit le père François Brune :

"En quelques pages, le lecteur trouvera ici une synthèse particulièrement accessible qui lui permettra de comprendre qu'en admettant le témoignage de l'auteur (et d'autres chercheurs), il n'est pas invité à quitter la pensée rationnelle, mais seulement à élargir sa vision de l'univers. On ne lui demande pas de rompre avec toutes les connaissances scientifiques accumulées depuis des siècles, mais seulement de tenir compte des découvertes récentes les plus avancées."

 

Pour aller plus loin :

Depuis plus de dix ans, Jean Riotte et son épouse communiquent ainsi avec Pascal. Dans ce témoignage, ils avouent leurs doutes du début et rendent compte de leurs résultats éclatants et de la puissance de l'amour.

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 12:50

Voici un extrait du livre de Gontran Spoulfoch "Qui cherche trouve" que je n'ai pas encore lu, mais ce passage, entendu sur la radio Ici & maintenant, qui relate le quotidien est tellement réaliste, quand on s'enferme dans nos habitudes, que j'ai eu envie de vous le faire découvrir :

 

Qui-cherche-trouve.jpg

Un jour de plus ou un jour de moins :

Ce chapitre s'adresse aux personnes de 40 ans et plus :


"Quand on est jeune, on s'interroge sur tout. Comme de nombreuses questions restent sans réponse, on les oublie. La vie continue, chacun doit prendre sa place au sein de la société : l'école puis le travail, le couple puis la famille, c'est le modèle de base le plus utilisé. Bien entendu, chaque cas est unique, mais les règles biologiques déterminées de la vie sur terre : respirer, dormir, boire, manger, se reproduire valent pour tous. Les applications sociales : se loger, travailler, se marier, consommer, payer ses factures, etc., dérivées de ces règles élémentaires, te conduisent à tomber dans un piège mortel.

Rapidement, et sans que tu t'en rendes compte, tu t'enfermes dans un rythme routinier, écrasé par la mécanique du système. Après ou avant le travail, il faut faire les courses, la cuisine, le ménage, la lessive, etc. Toutes ses occupations obligatoires et nécessaires rongent le peu de temps libre dont tu disposes en dehors de ton travail. Quelques moments de repos, vacances, arrêts maladie ou autres sont une bien maigre consolation.

Les semaines, les mois, les années passent à une vitesse folle, finalement, en deux temps trois mouvements, tu arrives à la retraite, tu es vieux, ta mort est proche, que reste-t-il de ta vie ? Ton corps est usé, ta tête fatiguée et même si tu veux encore, tu ne peux plus grand-chose. Tu t'es bien fait avoir, la multitude des vicissitudes de ton quotidien t’a éloigné des questions fondamentales, tu as subi ta vie. En définitif, tu n'es pas plus avancé que lorsque tu avais 15 ans, bref, tu t'es mal occupé en attendant la mort..."

 

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21 février 2011 1 21 /02 /février /2011 17:54

 

La-mort-EKR.jpg

 

Ce qu'il faut avant tout savoir :

E.Kubler-Ross

Née en 1926, médecin, psychiatre, thanatologue de réputation internationale, Elisabeth Kübler-Ross a avant tout été une pionnière en matière d'accompagnement des personnes en fin de vie. Professeur honoraire de médecine du comportement et de psychiatrie à l'université de Virginie, fondatrice du centre de Shanti Nilaya où sont accueillis des enfants atteints du sida, elle a été nommée docteur honoris causa de nombreuses universités. Elle est décédée le 24 août 2004.

Résumé du livre :

Un voyage fabuleux au-delà du monde sensible. Les expériences scientifiques du docteur Kübler-Ross, reconnues dans le monde entier, tentent de démontrer l'existence d'une vie après la mort. Il s'agit bien du passage à un autre état de conscience dans lequel on continue à sentir, à voir et entendre, à s'épanouir. Les témoignages saisissants livrés ici en sont une preuve. La mort est renaissance et vie. La mort est un nouveau soleil.

stylo bleu reduit Elisabeth Kübler-Ross a passé des centaines d'heures au chevet de mourants et noté leurs comportements qu'elle a classés en cinq phases (déni, colère, marchandage, dépression et acceptation). Aussi longtemps qu'elle consigna et publia le vécu et les souffrances de ses malades jusqu'à leur mort clinique, ses collègues l'approuvèrent. 

"En commençant ce travail, je ne m'intéressais pas à une vie après la mort, je n'avais même pas une idée précise quant à la définition de la mort, mis à part la définition médicale qui m'était évidemment familière. [...] Je suis de nature une demi-croyante sceptique, pour le dire prudemment. Comme telle je ne m'intéressais pas à l'éventualité d'une vie après la mort. Mais certaines observations se répétant avec une telle fréquence, je fus contrainte de me pencher sur le problème."

Mais lorsque, dans des conférences et interviews, elle commença à rapporter que des mourants lui faisaient souvent part d'expériences extracorporelles, voire de l'Au-delà, que, confortée par ses propres expériences, elle n'était plus prête à écarter comme des hallucinations, beaucoup de gens se détournèrent d'elle et dirent d'elle qu'elle était "dérangée". On ne put admettre que tout d'un coup elle se tournât vers un domaine de recherche considéré comme non sérieux, à savoir la question de la vie après la mort. Il ne pouvait y avoir de vie après la mort, puisque d'après la pensée matérialiste, l'homme et son corps, composé d'atomes et d'énergie, étaient une seule et même chose, de sorte qu'avec la mort du corps, son âme et donc toute son existence devaient être considérées comme terminées.

Le fait qu'Elisabeth Kübler-Ross n'arrêtait pas sa recherche là où elle franchissait la limite de ce qu'on estimait pouvoir explorer mais que, malgré toutes les manifestations d'hostilité, elle continuait courageusement à parler de ses observations et des déductions en résultant sembla à beaucoup de gens une trahison de son intégrité scientifique.

Dans une interview, elle fit la déclaration suivante : 

" A mon avis, est scientifiquement honnête celui qui note ses découvertes et explique comment il est arrivé à sa conclusion. On devrait se méfier de moi et même m'accuser de prostitution si je ne publiais que ce qui plaît à l'opinion générale. Il n'est pas dans mes intentions de convaincre, voire de convertir, qui que ce soit. Je considère que mon travail consiste en la transmission des résultats de la recherche. Ceux qui y sont prêts me croiront. Et ceux qui ne le sont pas, argumenteront avec ratiocinations et pédanterie."

Alors qu'elle est devenue aux Etats-Unis une célébrité, ses publications en France, en Suisse et en Allemagne sont de plus en plus remarquées. 

"Non seulement aux Etats-Unis, mais également au Canada, en Australie et ailleurs nous avons rassemblé des expériences du seuil de la mort d'hommes d'origines culturelles et religieuses très différentes, le plus jeune avait deux ans, le plus âgé avait atteint quatre-vingt-dix-sept ans. Comme par exemple celles d'Esquimaux, d'aborigènes d'Hawaii ou d'Australie, d'hindous, de bouddhistes, protestants, catholiques, juifs et de ceux qui n'appartiennent à aucune religion, y compris ceux qui se considèrent comme agnostiques ou athées. Il était important pour nous de recenser des cas dans des domaines religieux et culturels aussi diversifiés que possible, afin d'être sûrs que les résultats de nos recherches ne puissent pas être refusés à cause d'un manque d'arguments. Au cours de nos investigations, nous avons pu prouver que cette expérience du seuil de la mort n'est pas limitée à un certain milieu et qu'elle n'a rien à voir avec une religion ou une autre."

Pour elle, le fait de se préoccuper de la mort n'est pas une fuite devant la vie, au contraire. L'intégration de la mort dans sa pensée permet à l'homme de vivre de façon plus consciente et plus concentrée et le préserve de gaspiller trop de temps pour des choses sans importance. 

"L'opinion que les gens ont de vous est leur problème et non pas le vôtre. Il est très important de le savoir. Si vous avez bonne conscience et que vous faites votre travail avec amour, on vous crachera dessus, on vous rendra la vie difficile. Et dix ans plus tard on vous donnera dix-huit titres de docteur honoris causa pour le même travail. C'est ainsi qu'est ma vie maintenant."

Grâce à cette pionnière, à cette femme médecin qui n'avait pas froid aux yeux et qui était débordante d'énergie a découvert au cours de ses recherches que nous n'avons rien à craindre de la mort, que cet épouvantail de l'humanité moderne, qu'on préfère ignorer, écarter sciemment comme l'ennemi de la vie, n'est pas une fin, mais plutôt un commencement rayonnant.

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