Éditions Métailié, janvier 2006, 407 pages.
Traduit de l'espagnol par André Gabastou
Prix Primavera 1997
Lucia, auteur de livres pour enfants, et Ramon son mari décident de passer les fêtes de fin d’année à Vienne. Dans la salle d'embarquement de l'aéroport, Ramon se rend aux toilettes et disparaît...
« La plus grande révélation que j’ai eue dans ma vie a commencé par l’observation de la porte battante de toilettes publiques. »
Pour Lucia, le mystère est total. Après avoir demandé l'aide de la police, elle décide d’entreprendre en parallèle une enquête personnelle avec l'aide de deux de ses voisins : Adrian, un jeune homme séduisant de 20 ans, et Fortuna, un octogénaire anarchiste et ex-torero.
Entre attente et impatience, peur et incertitude, le trio s’organise et se prépare à riposter face à l’efficacité de ses drôles de kidnappeurs...Cela faisait un moment que j’avais envie de lire ce roman, mais c’est à cause du titre que j’en retardais l’échéance, car je m’attendais à toute autre chose…En fin de compte, j’ai passé un très bon moment entre rebondissements cocasses et sombres, avec en toile de fond l’enfer du couple et la déraison du monde moderne.
Existe en poche
Ce qu'elles en on pensé :
"Entre rires et larmes, Rosa Montero réussit ainsi un très beau portrait de femme qui m'a beaucoup touché." Solenn
"[...] c'est assez drôle, avec des personnages haut en couleurs !" Clarabel