En visitant le site de Sylvie Simon, journaliste et écrivain, je suis tombée sur un de ses articles dans lequel Jesse Ventura, ancien gouverneur du Minnesota, ancien militaire de la Marine et ancien acteur des États-Unis, ne mâche pas ses mots :

Jesse Ventura, lettre à la Classe dirigeante :

Vous allez assiter à notre révolution !

Vous contrôlez notre monde. Vous avez empoisonné l’air que nous respirons, contaminé l’eau que nous buvons, exigé des droits sur la nourriture que nous prenons. Nous nous sommes battus dans vos guerres, nous avons perdu la vie pour vos causes, nous avons sacrifié nos libertés pour vous protéger. Vous avez dilapidé notre épargne, détruit la classe moyenne et vous avez utilisé nos impôts pour renflouer votre insatiable cupidité. Nous sommes les esclaves de vos sociétés, les zombies de vos dictats, les serviteurs de votre décadence.

Vous avez volé nos élections, assassiné nos leaders, aboli nos droits fondamentaux d’êtres humains.

C’est vous qui possédez nos biens, qui avez délocalisé nos emplois, détruit nos syndicats. Vous avez profité des désastres, déstabilisé nos monnaies et alourdi le coût de la vie. Vous avez monopolisé notre liberté, vous avez démoli notre éducation et avez pratiquement éteint la flamme de nos vies. Nous sommes blessés… nous sommes ensanglantés, mais nous n’avons plus le temps de saigner. Nous allons mettre les géants à genoux et vous allez assister à notre révolution　!

Sincèrement vôtre : Les serfs

Traduit par Sylvie Simon
Rense.com : http://weaintgottimetobleed.com/  

Des soldats américains partagent leur prise de conscience :

Sur le même sujet de révolte, un jeune vétéran de la guerre d'Irak, Mike Prysner, lors d'un colloque organisé par l'association IVAW "Vétérans d'Iraq contre la guerre", appelle la population à plus de lucidité, à sortir de cet état d’hypnose dans lequel on se trouve afin de prendre conscience de ce qui se passe réellement pour reconnaître qui sont les véritables instigateurs de cette guerre...

Bonne lecture, bonne écoute et bon week-end !