Éditions 10/18, 2006, 151 pages.
Traduit de l’anglais par Pascale Haas.
En ce Noêl 1950, Henry Rathbone reçoit une lettre de sa nièce Antonia qui lui annonce la mort de son mari Judah dans un accident stupide. Elle lui demande également d’être présent lorsque les frères de ce dernier, qui se réunissent cette année pour le réveillon, arriveront afin de l’aider à leur annoncer l’affreuse nouvelle.
Depuis la mort de son mari Antonia doit faire face à de terribles accusations portées contre celui-ci, un juge pourtant respecté. Ashton Gower l’accuse de l’avoir accusé injustement et emprisonné pour s’emparer de son domaine revendu à vil prix. Henry, connaissant depuis de longues années l’intégrité de Judha, ne peut admettre de telle accusation. Avec l’aide des frères, il va tenter de faire la lumière sur cette affaire. Judah a-t-il été assassiné ? Chacun se perdra en conjectures sur l’identité du meurtrier. Et ces malheureuses insinuations qui avilissent l’honneur de toute une famille sont-elles réellement fonder ?...
Tout cela partait bien, mais hélas dans ce bref roman, il y a quelques longueurs. L’enquête tarde à démarrer et dès que l’histoire commence à devenir intéressante c’est déjà la fin. Anne Perry m’a habituée à mieux. Dommage.
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