Éditeur Christian Bourgeois, 105 pages, août 2008.
Traduit de l’anglais (Australie) par Jean Guiloineau.
Fuyant un mari violent, Olivia quitte l’Australie en compagnie de ses deux enfants pour se réfugier en France dans la vaste et austère demeure de chez sa mère qu’elle n’a pas revue depuis des années. Son frère et sa femme sont présents également, cette dernière tient encore contre sa poitrine, enveloppé dans une couverture rose, le cadavre de son bébé mort-né qu’elle ne peut se résigner à abandonner…
Que dire de ce roman très étrange venu d’ailleurs…(Au moins, il porte bien son titre). Je n’arrive pas à dire si j’ai aimé ou pas. Tout au long de ces centaines de pages plane un mystère permanent, angoissant qui se transforme en un sentiment de malaise une fois le livre refermé…d’où mon indécision. C’est un genre particulier qui se lit lentement pour bien en saisir l’étrangeté oppressante qui se développe jusqu’à la fin grâce, il faut bien le reconnaître, à la justesse du style de l’auteure. Un livre qui ravira les amateurs de ce genre !
Les avis enthousiastes de Lamousmé, Papillon, Cathe, Lily, Anna Blume, Sylvie,
Les avis plus mitigés de Solenn, Lilly, Chiffonnette, Kathel, Bellesahi & Lapinoursinette