Photography
© The Art Institute of Chicago
Éditions Phébus, 2007, 189 pages.
À l’issue d’un concert, une femme vive et sensible voit son amant s’éclipser aux bras d’une autre femme la laissant seule sans un mot d’explication.
Ivre de douleur et de désespoir, elle entreprend de lui écrire sa peine. En l’espace de vingt-quatre heures, elle va éprouver tout ce que l’amour peut inspirer d’ivresse, de trouble et de jalousie.
Ce bien beau petit livre, contenant ces quarante-six lettres pleines de doute, de larmes et d’espoir, a été publié en 1824 par l’une des poétesse et dramaturge la plus brillante de son époque. Constance de Salm, celle que ces contemporains surnommaient « La Muse de raison », nous montre dans cet unique roman qu’elle savait peindre les sentiments avec beaucoup de finesse et d’énergie.
Merci beaucoup Liliba pour cette belle découverte et à Lili Galipette de me l'avoir fait parvenir !
Beaucoup d’entre vous ont déjà lu et aimé ce roman épistolaire : Liliba, Lili Galipette, Lilly, Clarabel, Laure, Praline, Aelys...