Éditions Intervista, 145 pages, 2007.
Quatrième de couverture :
À presque 101 ans, très loin de là où elle est née, Irina Sasson entretient chaque matin sa mémoire en récitant, dans les sept langues que sa destinée l'a amenée à parler, la recette du fameux gâteau café-café qui lui avait valu le succès que l'on sait dans la colonie européenne de Batenda.
Surgissent alors les jours incandescents de sa vie. Des jours qui n'ont rien perdu de leur douceur ni de leur éclat, ni de leur douleur non plus. Et sans doute, dût-elle vivre cent ans encore, et sa mémoire s'effilocher chaque jour un peu plus, ils resteraient longtemps en elle, noyaux rebelles à l'oubli... Ce jour-là, venue du nord du Continent, sa petite fille est à son chevet. Pour une raison précise.
Il y a eu tellement de billets enchanteurs sur ce petit livre voyageur que je ne peux que vous confirmer qu’il se dévore en une bouchée ! Le style de Joëlle Tiano est savoureux et l’on se délecte à chaque citation de la recette du gâteau café-café qui se dévoile au fil des pages tout comme les souvenirs d’Irina où se mêle un dialogue très spécial entre trois générations de femmes. Une histoire délicieuse à consommer sans modération et bien prometteuse pour un premier roman !
Merci à Moustafette pour cette douceur !
Les autres avis de celles et ceux qui ont succombé : Alice, Anne, BelleSahi, Laurence & Dda (Biblioblog) , Bladelor, Cathulu, Chiffonette, Emeraude, Elfe, Eugénie, InColdBlog, Katell, Lily, Pascal, Rennette, Rose, Stéphanie, Tamara, Valdebaz, Yueyin...