Éditions Gaïa, 1993, 208 pages.
Traduit du danois par Susanne Juul et Bernard Saint Bonnet.
Présentation de l’éditeur :
« La nuit polaire est longue au Groenland. Pour la meubler, les chasseurs disséminés sur le désert de glace se racontent leurs aventures, véridiques ou pas, leurs racontars, devant une bouteille de schnaps. Un soir, à court d’idées, Mads Madsen invente Emma. Qui prendra vie d’une manière assez imprévisible. »
Jørn Riel, cet écrivain baroudeur, très populaire en Scandinavie, a passé seize années au Groenland. Du fatras des glaces aux aurores boréales, il en a rapporté des anecdotes de trappeurs paumés, bourrus bienveillants aimant se retrouver pour causer à bâtons rompus autour d’un tord-boyaux qui les aide à affronter la nuit polaire, les grandes tempêtes verglaçantes de l’Arctique, la solitude et surtout le seul être qui manque cruellement à la banquise : la femme. Cette créature qui devient pour ces hommes une entité lointaine et imaginaire à laquelle on ne fait allusion qu’avec des tournures vagues et prudentes.
Ces récits sont drôles parfois rudes comme le climat qui règne sur le désert de glace. Mais ces chroniques sur les mœurs des chasseurs du Grand Nord sont entraînantes et j’ai pris beaucoup de plaisir à suivre leurs aventures rocambolesques.
Karine, Grominou, Antigone, Papillon, Bladelor, Gachucha, Amanda, Camille, Caro[line], Fanyoun, Joelle, Ori, Mammig, Thracinée, Yvon, L'encreuse, Cathe, Gambadou, Jules, Clochette, Chimère, Stéphanie, Lisa, Floaimelesmots, Gawou, Sandrounette, Arlette, Goelen, Nina, Virginie, Yueyin, Praline, Sole, Sophie, Katell, Patacaisse, Solenn, Allie, Marie, Elfique...
Pour plus de détails et autres avis voir chez Sylire ou Lisa