Éditions Joelle Losfeld, 278 pages
Traduit de l’anglais par Lazare Bitoun.
Mike Hannah est un détective privé qui vient de fêter ses quarante ans. C’est un âge qu’il n’a jamais trouvé particulièrement intéressant et il ne croit pas que sa vie en soit arrivée à un point où elle va commencer, il pense qu’elle va tout simplement se poursuivre.
Mais depuis qu’il s’est blessé au dos en jardinant, il se retrouve en partie paralysé et passe le plus clair de son temps à observer ses voisins, comme James Stewart, le héros de « Fenêtre sur court » son film préféré. À force de surveiller les autres, Mike passe par toutes les interrogations, multiplie les allégations et se rend vite compte qu’il est passé à côté de son existence.
Pourtant, jusqu’à présent Mike menait une vie bien tranquille dans une banlieue cossue de Londres, avec sa femme et ses deux fils. Mais depuis son immobilisation, il ne peut s’empêcher de repenser au passé, plus particulièrement à Sarah, une ancienne petite amie qu’il n’a pas revue depuis vingt ans et qu’il rêve de retrouver juste comme ça pour savoir qu’elle aurait été sa destinée s’il l’avait épousée.
Que dire de ce roman si ce n’est que je me suis ennuyée, attendant un quelconque rebondissement pour me sortir de ma torpeur, mais hélas cela n’a pas été le cas, jusqu’au bout ce fut le calme plat. Dommage !
L'avis (similaire) de Laurence