Éditions Sabine Wespieser, 2003, 736 pages.
Traduit de l’anglais (Irlande) par Stéphane Camille.
Quatrième de couverture :
« Avec Chimères, Nuala O'Faolain confirme son formidable talent de conteuse. Quand elle s'empare du destin de Kathleen de Burca, rentrée en Irlande pour enquêter sur une affaire d'adultère survenue au XIXe siècle, elle fait resurgir de sa conscience d'Irlandaise opprimée des tragédies intimes ou historiques, en même temps qu'elle évoque les questions lancinantes de l'exil, de la solitude, de la sexualité et des chimères de l'amour.
Parce que la passion est la grande affaire de sa vie, Kathleen veut écrire sur le scandale que suscita, peu après la grande famine, la liaison entre une aristocrate anglaise et son palefrenier irlandais. Mais ses recherches la confrontent insidieusement à son propre passé: dans un va-et-vient entre l'Irlande de 1850 et celle de son enfance, elle met en lumière les fatalités de l'histoire, bien loin de découvrir les recettes de cet amour romantique.
Ce roman invite à un voyage réel dans une Irlande que la narratrice a quittée pour échapper au malheur familial et qu'elle apprend à l'écoute de joies simples, d'êtres apaisants et d'une nature enchanteresse.
C'est aussi un voyage au cœur de l'identité d'une femme d'aujourd'hui, la bouleversante Kathleen de Burca.
La lucidité et la tendresse qui caractérisent l'écriture de Nuala O'Faolain donnent sa force et sa richesse à un livre dont l'issue est aussi inattendue que magnifique. »
J’ai lu ce roman de Nuala O’Faolain il y a quelque temps et je ne résiste pas à l'envie de partager avec vous cette très belle découverte qui nous transporte dans les vertes plaines d’Irlande sur les traces de Kathleen de Burca dont la vie mouvementée est remplie de doutes de passions et de souffrances. Une belle histoire vertigineuse et cruelle qui rend ce « pavé » émouvant !! Lisez-le !!
Existe en format poche
Voir l'avis de celles et ceux qui sont tombés sous le charme : Flo, Clarinette, Clochette, Papillon, Lilly, Loupiote & Thom (si j'en oublie, dites-le-moi !)