Voici une petite compilation d’anciens témoignages sur des apparitions d’ovnis, que l’INA a regroupés, et que je trouve toujours très intéressants à écouter, car ils n’étaient pas influencés par quoi ou qui que ce soit.
Pour celles et ceux qui n’ont pas accès à YouTube, je vous en ai extrait quelques-uns en recopiant leur témoignage et en les classant par date en fonction du déroulement des enquêtes :
Le 07 octobre 1954 à Poncey-sur-L’ignon, en Bourgogne-Franche-Comté :
« C’était le soir, il faisait déjà un peu sombre, j’allais fermer les volets et puis j’ai vu cette boule un peu lumineuse jaune-orange, entre l’arbre puis le toit. Puis j’avais l’impression que ça venait sur moi, car ça grossissait de plus en plus. J’ai tout laissé ouvert, j’ai pris le bébé qui avait 8 mois et je suis partie chez la voisine derrière. Quand on est rentré au bout d’une heure et demie, quand les hommes sont revenus du village, on est allée voir et on a vu les traces. La trace faisait 1 mètre de long puis 50 cm de large. […] L’herbe n’a pas repoussé durant quatre ans… Ça avait la forme d’un cylindre. »
Ces traces si nettes, relevées à Poncey, on les retrouvera 13 ans plus tard le 21 avril 1967 en Amérique dans l’État de Virginie, une extraordinaire ressemblance, un calque presque parfait…
Le 12 mai 1967, à quelques kilomètres plus loin, suite à la venue d'un ovni dans un champ, la gendarmerie procède à une enquête extrêmement minutieuse. Un hélicoptère prend des photos verticales qui montrent bien l’empreinte en étoile matérialisée à la chaux.
Des croquis sont faits. Les trous d’ancrages du système d’atterrissage sont dessinés et cotés. Quand le rapport est terminé, on s’aperçoit qu’il correspond exactement à celui qui a été établi en 1965 par les gendarmes de Dignes, dans les basses Alpes, lors de l’atterrissage de Valensole, ainsi cette similitude parfaite entre les trous de Marliens et de Valensole.
Un an plus tard, le 21 juin 1968, c’est à Brazey-en-Morvan, toujours dans la région de Bourgogne-Franche-Comté, Mr Michaud, un cultivateur, témoigne de ce qu’il a vu dans un champ près du sien.
« Nous sommes ici sur le lieu de l’atterrissage. Nous avons retrouvé une brebis qui avait péri […] et qui avait certainement reçu des rayons, indépendamment des deux qui n’ont jamais été retrouvées […]. On avait remarqué aussi, principalement là-bas vers le bois, les limaces étaient d’une couleur assez brune, alors qu’ici, dans notre région, elles sont plutôt rose, rouge, mais pas brune. J’en ai récupéré une dizaine, que j’ai envoyé au professeur Lothier et, d’après l’analyse, il y avait quand même eu une irradiation de ces bêtes […]. Et, moi-même, à la suite de cet incident, j’avais les yeux tout rouges, etc. j’ai reçu des rayons qui venait de l’engin là-bas. J’ai eu des brûlures dans l’épine dorsale pendant 1 mois qui provenait de cette irradiation. »
Brazey, c’est l’élément déterminant, car, en étudiant quelques années plus tard les atterrissages qui se sont produits en Côte d’Or et en reportant ceux de Poncey, Marliens et Brazey sur une carte au deux cent millième, Raymond Lavier découvre que Marliens et Brazey sont tous deux distants de 43km200 de Poncey et que, de plus, les lignes sont perpendiculaires.
C’est le point de départ d’une étude qui va porter sur les quelques 200 atterrissages signalés en France depuis le premier d’entre eux, près de Rouen en juillet 1947. Ce tracé mettra à jour, grâce aux travaux d’un chercheur néo-zélandais, un quadrillage appelé "Harmonic 33" sur lequel un pourcentage élevé de ces atterrissages se situent…
Le 10 août 1960
Le reportage débute avec le témoignage de Mr Daniel Hiot, cultivateur à Moringhem, dans le Pas-de-Calais. Alors qu’il rentrait chez lui le soir avec sa femme, Mr Hiot a été stupéfait de voir une "boule rouge" leur couper la route et les suivre durant un petit moment.
« En dessous c’était une boule rouge et au-dessus il y avait une masse. […] C’était comme un soleil, mais au-dessus on ne peut pas dire que c’était rond. […] On peut dire qu’il y avait quelqu’un dedans certainement, puisqu’il y avait des arbres et elle est passé entre-deux. Alors certainement qu’il y voyait clair. »
Le 14/02/1965
C'est dans le Puy-de-Dôme, entre Le Bouchet et Vauriat, qu'une dizaine de personnes ont été témoins de la visite d'objets volants non identifiés... Voici le témoignage de ces trois personnes qui ont relaté les faits :
Le premier témoin : « On aurait dit derrière que c’était des pattes d’araignée, comme des écrevisses. Ça dégageait comme du gaz. […] Du bruit comme un grincement. » […]
Les deux autres personnes : Jean : « On l’a vu ensemble […] J’étais absolument hypnotisé par cet objet insolite, lorsque Chimène me prend par le bras et me dit : « Jean regard ce qui vient par là ». Nous avons regardé. Alors là, franchement, nous avons eu peur l’un et l’autre, mais vraiment peur, car les trois objets qui apparaissaient à l’horizon étaient en tout point semblable au premier. » […]
Chimène : « Ils s’amusaient ensemble. Mais alors, des mouvements symétriques : "verticale, horizontal, vertical, horizontal". » […]
Jean : « Lorsqu’au moment précis où il semblait que tout allait s’effondrer au milieu d’un choc effroyable, le premier objet est monté en altitude […] Il est monté avec une vitesse extraordinaire, j’estime à plus de 2000 à l’heure. Au bout d’un moment, on n'a plus vu qu’un seul petit point noir. […] On ne peut pas parler d’hallucination. »
Deux ans plus tard, un vieil homme se souvient de cette soirée du 5 février 1967 quand il s’est trouvé nez à nez avec un extraterrestre après avoir fermé son portail à clef…
« Tout d’un coup, qu’est-ce que je vois, un objet qui passe par dessus le cimetière, on voyait les tombeaux si bien éclairés qu’en plein jour. […] J’appelle la patronne : "Vient vite voir, vient vite voir l’appareil. Mais regarde donc l’engin" : "J’ai eu peur, j’ai dit ça va brûler la maison et nous avec. Je me suis sauvée dans la cuisine et puis je n’ai pas bougé.” » […]
« On a vu une boule simplement qui se reformait. Il est sorti des flammes rouges, tel que l’objet lui-même, sans bruit, sans rien du tout. Tout d’un coup, il s’est posé par terre. Qu’est-ce que je vois, un petit bonhomme qui sortait des flammes orange et puis il s’est tourné, il s’est tourné vers moi. J’aimerais mieux vous dire franchement, comme un petit cosmonaute, mais tout petit, s’il avait un mètre de hauteur, c’est tout ce qu’il peut avoir. » […]
Ensuite, ce monsieur rentre de nouveau précipitamment chez lui pour dire de venir voir ce petit bonhomme qui vient de sortir. Sa femme n’a pas voulu, elle a eu trop peur, ce n’est que sa petite fille qui a suivi son grand-père :
« Nous avons vu une boule simplement qui se reformait, énorme comme un gros ballon tout à fait aussi rouge que l’objet lui-même et qui est monté à une distance […] à hauteur des sapins […] il est monté tranquillement, sans bruit, sans rien. […] il s’est arrêté deux, trois secondes. J’ai dit tout de même, qu’est-ce qui va encore se produire ? Puis tout d’un coup, il est parti en vitesse dans la direction du sud-ouest. […] »
Le 24/02/1971 - Journal de 13h
Mr Lagarde, "soucoupiste", enquêteur du Centre d'Études "Lumières dans la Nuit" explique, sur une série de dessins et de croquis détaillés, les diverses caractéristiques techniques des ovnis :
« Les formes des ovnis sont extrêmement diverses, le type classique, c’est la soucoupe volante en forme d’assiette renversée. Le cigare […], le ballon de ruby, la forme discoïdale, la forme d’obus, la boule lumineuse… Tous ces objets sont divers et nombreux. […] Il y a également tous les jeux de lumière […] Mais les formes de ces engins se modifient devant le témoin même. Dans les Charentes, on a vu un objet qui a pris successivement six formes différentes devant six témoins. […] »
Le 18/01/1974 - Journal de 13h - Avec l’intervention de Jimmy Guieu, pionnier de l'ufologie.
Croire ou ne pas croire en l'existence d'objets volants non identifiés, telle est la question que Patrick ne se pose plus, toujours sous le choc de sa rencontre avec l'un d'entre eux...
Le 14/04/1990
La Belgique se mobilise : un objet volant non identifié a été détecté sur les écrans radars de deux avions F16 de l'armée belge. À en croire les déductions du Colonel DE BROUWER de la force aérienne belge, la vitesse de déplacement de l'engin, ne serait pas supportable pour des êtres humains...
Le 09/09/1991 - Journal de 20h
« Depuis plus de 10 ans, de mystérieux cercles apparaissent chaque été dans les champs de blé, toujours dans le Kent, une région située au sud-est de Londres. Des scientifiques ont observé attentivement ce phénomène qui selon eux serait paranormal. » […] Après l’intervention de ces deux sexagénaires se proclamant les auteurs de ces tracés, le mystère n’est pas totalement éclairci. « Des scientifiques de renom qui se sont rendus sur place ont constaté l’apparition mystérieuse de ces cercles, et si ces deux hommes n’étaient pas de gentils farceurs… »
Le 22/03/2007 - 19/20 « Les archives du CNES sur les OVNI »
Interview de Jean Jacques VELASCO, ancien responsable du GEPAN-CNES, qui évoque un certain nombre de phénomènes inexpliqués qui ont eu lieu en France, notamment en 1954. Alternance entre images d'illustration et interviews.
(1971, un pilote de mirage poursuivit par un ovni / Janvier 1981, une soucoupe métallique se pose dans un jardin à Trans en Provence, laissant des traces au sol / Janvier 1994, l’Airbus d’Air-France croise un gigantesque disque…
Ainsi que cette étrange histoire survenue à Cier-de-Rivière en 1954 durant une série de phénomènes.
Un homme qui circulait avec sa charrette à cheval à Cier-de-Rivière, en Haute-Garonne, a vu un objet surgir du buisson, puis s’élever, pour se positionner au-dessus de sa carriole, "aspirer" la jument puis disparaître dans le ciel…
Claude Poher, le premier directeur du CNES en 1977 qui avait dû démissionner, était convaincu de l’ampleur du phénomène et, selon lui : il faudrait inventer une science physique entièrement nouvelle pour le comprendre...
Source :
commenter cet article …