Ce qu'il faut avant tout savoir :
Bruno Sammaciccia est né à Ancône en Italie le 22 avril 1926. Licencié en psychologie et en psychiatrie, il a reçu trois prix académiques internationaux, ainsi que de nombreux prix culturels et théologiques. Il a été également membre de nombreuses académies, Italiennes et étrangères et a participé à plusieurs comités de rédaction. Il a été très actif dans la diffusion de la culture morale, éthique et philosophique.
Résumé du livre :
Étude historique et scientifique du plus célèbre miracle eucharistique. Cette étude, confirmée par la science, est accompagnée d'une documentation de 24 photographies.
Dans le courant du VIIIe siècle, dans une église de Lanciano, un moine basilien célébrait la sainte messe en rite latin.
Après la double consécration, il se prit à douter de la Présence réelle de Jésus dans le Sacrement, quand il vit soudain l'hostie se changer en Chair et le vin en Sang. La première réaction du moine, stupéfait et bouleversé, fut de chercher à cacher ce qui venait de se passer, mais, maîtrisant son émotion, il manifesta le prodige aux fidèles qui, devenus ainsi ses témoins oculaires, en diffusèrent la nouvelle dans la ville.
Depuis ce jour, ces saintes reliques sont restées pratiquement intactes. Bruno Sammaciccia nous livre dans cet ouvrage les éléments scientifiques et historiques de cet évènement dit miraculeux puisque, d'après les diverses analyses publiées le 4 mars 1971 - effectuées sous la direction du Dr Odoardo Linoli, professeur d'anatomie, d'histologie pathologique, de chimie et de microscopie clinique - il s'agit bien de cinq caillots de sang humain et d'un morceau de muscle cardiaque issus d'une personne de groupe AB (comme le sang que l'on retrouve sur le Linceul de Turin…)
Et le casse-tête scientifique ne s'arrête pas là, car le diagramme du sang correspond à celui d'une personne vivante sur laquelle on aurait fait le prélèvement quelques minutes plus tôt et qu'aucune présence de substances chimiques utilisées pour la conservation des chairs n'a été détectée.
Ignorée des médias, l'enquête a été reprise au niveau international durant quinze mois, sous l'égide de l'Organisation mondiale de la santé. Plus de cinq cents examens, utilisant les techniques de pointe de la médecine nucléaire, auraient confirmé en 1973 tous les résultats initiaux. Le rapport souligna le caractère impossible de la conservation de tels “tissus vivants” dans des récipients non étanches.
La conclusion finale, publiée en décembre 1976 à New York et à Genève, a été la suivante :
La science, consciente de ses limites, s'arrête devant l'impossibilité de fournir une explication.
À ce jour, conservé depuis 1258 et enfermé dans un joli reliquaire exécuté en 1713, ce prodige demeure toujours visible à l'église Saint-François de Lanciano.
Pour aller plus loin :
Vidéo dans laquelle vous pouvez voir les documents photographiques et les explications extraits des analyses scientifiques présentées durant une exposition.
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