Ce qu'il faut avant tout savoir :
Franz-Olivier Giesbert, né le 18 janvier 1949 à Wilmington dans l'État du Delaware, est un éditorialiste, biographe et romancier français. En 1971, il est recruté au service politique du Nouvel Observateur. Il est promu “grand reporter” (septembre 1979) puis correspondant aux États-Unis en janvier 1980. ll est rappelé à Paris en 1981 pour prendre la tête du service politique. Il quitte le Nouvel Observateur le 8 septembre 1988 pour Le Figaro. Il quitte ses fonctions en septembre 2000, et entre à l’hebdomadaire Le Point en qualité de directeur. Il a écrit plus d'une dizaine de romans.
Résumé du livre :
« Si j'ai écrit ce livre, c'est pour tirer les leçons d'une vie passée avec les animaux depuis la petite enfance, à la ferme, puis en ville. Au fil des pages, je vous parlerai de plusieurs de mes amis auxquels, si grands soient mes hommages, je ne pourrai jamais rendre les bonheurs qu'ils m'ont donnés, avec leur candeur et leur humour : un jeune bouc, un vieux perroquet, des chats, des araignées, des bovins ou des chiens. Pourquoi traitons-nous avec tant d'égards les animaux de compagnie, substituts de l'homme, et si mal les bêtes à manger, machines à fabriquer de la viande ? Alors que nous consommons chaque année des milliards d'animaux issus de la terre et de la mer, il est temps que nous descendions de notre piédestal pour les retrouver, les écouter, les comprendre. J'ai voulu aussi lancer un appel pour que cesse le scandale des abattages rituels, halal ou casher, qui imposent à nos soeurs et frères les bêtes des mises à mort dans d'inutiles souffrances. »
Dans cet ouvrage l'auteur témoigne de toutes les leçons de joie et d'amour qu'il a apprises en grandissant en compagnie des animaux. C’est un très bel hommage et également un cri du cœur qu'il leur rend dans lequel il nous invite à nous réconcilier avec le monde animal et surtout à changer nos comportements. Enquêtant sur le monde de la viande, il dénonce également ces abattoirs, cette industrie de la mort où les cadences sont tellement devenues infernales qu'on ne respecte plus l'animal, notamment depuis la production de la viande halal.
« De plus en plus répandue, la pratique de l'abattage rituel a désorganisé davantage encore le système. Qu'elle soit casher dans le rite juif ou halal dans le rite musulman, cette méthode consiste à saigner la bête à vif sans l'avoir étourdie, au prix de souffrances supplémentaires qui, bien sûr, sont niées contre toute évidence par les autorités religieuses. »
Et c'est sans parler des risques sanitaires liés à cette méthode d'abattage : « Quand un bœuf est saigné à vif, toute la merde qui est près de la gorge peut venir souiller le devant de l’animal (épaule, collier, poitrine) », intervient l’artisan charcutier Éric Ospital sur le site 20minutes.fr..
C'est donc un constat affligeant, écœurant que nous dévoile l'auteur !! Je ne pensais pas que l'on était arrivé à un tel point de torture sur nos semblables, car il ne faut pas oublier que nous avons des similarités génétiques reconnues, que ce soit avec le chimpanzé ou le cochon... Alors OUI « Ce sont bien nos frères et nos sœurs » comme le disait Saint-François-d'Assise et il va vraiment falloir les traiter autrement !!
Pour aller plus loin :
Franz-Olivier Giesbert dans l'émission On est pas couché du 11 octobre 2014. Extrait...
Pour aller encore plus loin :
Cette viande, d'animaux abattus dans d'atroces souffrances au nom de croyances islamiques rétrogrades, est maintenant imposée à presque tous les consommateurs, partout en France, malgré les importants risques sanitaires (bactérie e.coli, entre autres) liés à cette méthode d'abattage rituelle et religieuse imposée par l'islam et les consommateurs musulmans.
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