Née en 1944, Sylvie Nach était professeur de français avant de devenir thérapeute, métier qu’elle exerce maintenant depuis plus de vingt ans. Elle est l'auteur de "Ces armes qui nous ont tués".
Résumé du livre :
Au fil de nos réincarnations, notre corps garde la trace des armes et des objets qui ont été à l'origine de notre mort physique ou qui nous ont blessés dans nos vies antérieures. Sylvie Nach nous présente ici une thérapie nouvelle, mais complémentaire d'autres médecines, qui permet souvent de comprendre l'origine de douleurs jusque-là inexpliquées et d'en venir à bout grâce à une action au niveau des corps subtils. Thérapeute depuis plus de vingt ans, l'auteur nous livre au travers de son expérience une série de témoignages édifiants liés à son travail de déprogrammation des mémoires karmiques. Toutes les histoires de vie racontées et les solutions apportées nous éveillent à la loi d'action-réaction, au karma, à l'équilibre qui s'instaure tout au long de nos différentes existences. Organisé en thèmes, l'ouvrage présente tour à tour des typologies d'objet qui correspondent chacune à un type de douleur physique. Chacun pourra ainsi s'interroger sur ses mémoires au travers de sa propre histoire, pour tendre vers un apaisement physique et spirituel.
Bien qu’il soit ostéopathe et acupuncteur, Dominique Barthélémy n’arrive pas à se débarrasser d’une douleur à la hanche. Il a tout essayé, rien n’y fait. Ayant entendu parler de Sylvie Nach et de son travail de déprogrammation des mémoires de nos vies passées, il tente le tout pour le tout. Ce qu’elle lui annonce est déconcertant : « Apparemment j’avais un certain nombre de flèches et de javelots plantés dans le bas du dos. Elle les a déprogrammés. En l’espace de 4 ou 5 jours, la douleur a pratiquement disparu. Depuis, elle n’est plus jamais revenue alors que cela faisait plus de 5 ans que j’en souffrais. » atteste l'ostéopathe. (Voir l’article sur le site de l’INREES)
De nos vies passées nous n’en gardons pas seulement des mémoires, mais également des blessures causées par des armes ou objets, tel est le constat que nous délivre dans son livre la thérapeute Sylvie Nach. Avant de s’attaquer aux armes, Sylvie Nach avait commencé depuis quelque temps déjà à nettoyer les traumatismes de morts karmiques* de vies antérieures, comme la peur de l’eau, du feu et d’autres phobies qu’elle nomme les cicatrices karmiques. Mais quand ces guides lui demandent de “déprogrammer” une arme, elle ignore totalement que cela puisse exister.
Je demandai à mes Guides de me dire comment retirer ce glaive et ils me répondirent de le prendre dans ma main comme s’il était physique et de tirer. J’entendais « Encore ! Encore ! » Il devait bien mesurer 1 m à 1,50 m ! Puis il fallut “recoudre” le trou laissé dans l’aura éthérique et astrale et procéder à la “déprogrammation” de la mémoire cellulaire, comme je le faisais déjà pour les autres mémoires karmiques.
Depuis 1997, et devant le soulagement durable qu’elle apporte à ses patients, y compris certains médecins, c’est devenu l’une de ses spécialités. Pour ma part, jusqu’à maintenant, je n’en avais jamais entendu parler et je dois dire qu’en lisant la description de certaines scènes cela m’a laissée interrogative en pensant que certaines douleurs chroniques pourraient bien s’expliquer…
Nous sommes construits comme des poupées russes. Dans et autour de notre corps physique se trouvent d’autres corps énergétiques emboîtés les uns dans les autres. Et certains de ces corps peuvent être marqués par des mémoires de nos vies antérieures.
Il serait tant que la médecine s’ouvre à une autre réalité du corps que celle du physique.
*Loi de cause à effet ou d’action-réaction, connue sous le nom de Karma qui signifie “action” en sanskrit.
Pour aller plus loin :
Je vous invite à écouter cet entretien du 25 novembre où Jean-Claude Carton reçoit Sylvie Nach qui nous parle en détail des corps subtils. Vraiment très intéressant !!
Il y a aussi celle de Lilou Macé lors du salon Zen de Paris.
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